Programma van 4 tot 9 febr. 1922



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#437

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Broderies

Les objets de layette sont toujours bien reçus. Je ne suis pas en peine de l’accueil réservé à cette jolie bavette.

Ce bibelot ne manque jamais de ravir les jeunes mamans, et qui de nous hésiterait à entreprendre la confection de ce ravissant bavoir, en pensant au plaisir qu’éprouvera la maman lorsque vous lui en ferez cadeau, La photo montre suilisam-ment les parties à broder au

S oint de Richelieu, anglaise brides ou au plumetis. Le centre des roses se fera nu

S oint sablé, ou mieux, ajouré la grosse aiguille.

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« La foule vous aime et vous admire, jolie Miss, le savez-vous?»

Cette remarque était faite dernièrement à la gracieuse artiste de talent qu’est Betty Compton, nouvelle étoile qui vient d’acheter ses premières « pictures » au studio de la Côte Ouest, au service des « Famous Players Lasky ».

Et l’espiègle jeune femme de répondre — donnant par sa réplique une remarquable indication sur son caractère—: a Les spectateur m’aiment-ils? J’en bien heureuse; mais la raison de cet atl du monde à mon éga.u, c» u., moi aussi, j’aime mes milliers d'admirateurs. » Miss Compton a remporté des succès personnels à l’écran, et son étoile a brillé d’un plus vif éclat encore depuis qu’elle a tourne » avec les Lasky-players. Parmi ses dernières créations, il sied de mentionner son rôle de Lady Babbie dans Le Petit Ministre, une œuvre pleine d’intérêt et de vie, et qui verra prochainement l’écran en Europe.

Sachant nos lecteurs et lectrices friands de détails concernant la vie des plus jolies vedettes de l’écran, nous nous sommes informés de la façon dontMiss Betty Compton passe ses loisirs entre deux prises de vues:

« Le sport prend première place dans mes récréations: automobilisme, golf et natation, ce sont mes passe-temps favoris. Si je le pouvais, je passerais la majeure partie de mon temps dans los values; aussi, quand Un gé m’est accordé, c’est >ie que je vais le passer de la mer!... » wu, v.. notre jolie vedette se double d’une ondine. Sans doute, mettra-t-elle un jour ses prouesses nautiques au service du septième art. Nous savions déjà que les vedettes masculines d’Outre-Atlantique excellaient dans tous les sports, une nécessité pour obtenir les films d’aventures; leurs sœurs les imitent-elles, voilà qui promet d’augmenter encore l’intérêt des productions du ciné américain. X.


Ceux qui fréquentent les salles de spectacles geons du haut d’un phare ou d’un rocher, évo. cinématographiques s’habituent à ne plus lutiong d’un personnage au sommet d’un grat-s’émouvoir lorsaue se déroulent à l’écran les te-ciel, laissent le spectateur impassible.

« Dans les nues. »

situations les plus imprévues, les tours de D’où vient cette absence d’étonnement? Ce force les plus audacieux. Courses en automo- flegme extraordinaire? Tout d’abord le man-bile, chevauchées au bord d’un abîme, pion- que de nouveautés. La persuasion qui incite

Un reportage tragique, avec Houuini.

Fantomas en Amérique. — Adapté d’après Marcel Alassi et Pierre Souvcstre.

le public à croire que tout est truqué qu’il n'y a aucun danger pour l’acteur qui accomplit une prouesse originale.

Certes, le truquage est usité, mais pas dans la proportion que l’on voudrait croire; il n’ern-pèche nullement un acrobate de se dépenser dans deis scènes spéciales. La preuve la plus flagrante est le nombre d'interprètes* hommes et femmes, qui ont payé de leur vie, un excer-cice qui devait être le clou d’un film sensationnel.

Il y a quelques mois.

Miss Madeleine Davis tournait une bande dans l’Ktat de New-Jersey.

Elle devait, étant dans une auto roulant en, pleine vitesse, s’accrocher à une échelle suspendue à un aéroplane.

Elle réussit, mais les mouvements de l'échelle lui firent lâcher prise et elle tomba sur le sol d’une hauteur de cinq mètres. Elle mourut en arrivant à l’hôpital.

L’année dernière, le fameux aviateur acrobate Omer’s Locklaei-,

au cours d’une randonnée de nuit à bord de son avion passant de trop près, dans les rayons d’une fusée lumineuse éclairant le spectacle de ses prouesses, prit feu et vint s’abattre lourdement sur la plaine. Omer’s Locklaer fut tué sur le coup.

En avril 1920, Douglas Fairbanks s’est gravement blessé à la tête, au cours d’un éboule-ment. Charlie Chaplin lui-même ne fut pas non plus épargné, et quelque temps après, se faisait de graves brûlures à la suite d’une explosion de lampe à acétylène. Eliùo Lincoln et Eddie Polo, maintes fois, se sont fracturé les bras ou les jambes; malgré cela, ils continuent toujours leurs exploits.

Certains films à épisodes demandent l’emploi de fauves. Ici encore ce serait erreur de croire que les lions sont de braves gros chiens et que les tigres ne sont pas plus dangereux que ceux dont on fait une descente de lit.

La fameuse panthère Babylas, rapportée du

Tom Ml* dans Le Diable ermite.


Sénégal par M. Alfred Machin, promenée en fiacre à travers Paris — il s’agissait d’une prise de vues en plein air — agacées par les trompeé d’automobiles se lève en miaulant et plante quelques griffes dans le dos du cocher (un acteur déguisé) juste à l’endroit sensible. L’acteur comique Bartho, manque de servir de déjeuner à une lionne.

Parfois les choses tournent au tragique. Mlle Adrienne Costamagna, de la « Savaia », est renversée par un léopard qui lui enfonce ses crocs dans la gorge. Dans la Jungle, Warren Kerrigan, le comédien américain, faillit passer de vie à trépas. Une après-midi, au studio, un lion en furie l’étreignit et ne le lâcha que lorsqu’on lui eut envoyé deux coups de revolver. L’acteur Kirby a été mis à mort, il y a deux ans, à Universal City. Deux célébrités féminines, Miss Swayne, de la Vita-graph, et Miss Kettlyn William, de la Selig, furent copieusement mordues et griffées.

Miss Pearl White, de la Fox Fiml, et Hau-dine, de la Paramount, se sont fait une spécialité dans ce genre de films d’aventures. En France, Joë Hamman, (Arizona Bill) tout récemment en Camargue, fut renversé par un taureau furieux qui lui enfonça ses cornes dans les côtes. Ce n’est qu'au prix des plus grandes difficultés que Joë Hamman échappa à la mort.

Tout n’est pas rose dans la carrière d’acteur cinématographique et si cet article désillusionne quelques jeunes filles et jeunes gens qui rêvent «faire du ciné», c’est que j’aurai atteint mon but: apprendre à se méfier du beau côté d’un rôle,-car ici c’est la scène brillante et là les coulisses sombres.

Maurice WIDY.

A Traders la Presse

L’Histoire moderne.

Un

Il paraît que ces brillants épisodes de FHiis-toire contempo, raine ont été pris avec:1a plus grande exactitude. Les deux artistes qui jouent les rôles de Charles et de Zita sont d'admirables sosies de 'leurs anciens monarques.

Cinémathèque.

Oui, certes, le jour n’est pas éloigné où certains Mécènes — car il faut encore être riche pour se payer ce luxe-là — auront chez eux une cinémathèque ou. si vous le voulez, une bibliothèque de ifiliiis.

IDéjà, à iPar.is, depuis de longues années,

M. Albert Kahn a réuni une très curieuse collection de négatifs qui se rapportent presque tous à des événements qui se soirit déroulés à Paris.

iGette 'Cinémathèque, inédite et très importante, vient d’être mise à la disposition de la ville de Paris par M. Albert Kahn. La municipalité tirera 'das positifs qui viendront s’ajouter à ceux qu’elle possède déjà dans sa cinémathèque. {« Le Cinéma ».)

Constance Talmadge va divorcer.

L’étoile n° 2 de la « Talmadge family », qui comprend, on le sait, la trinité Norma, Constance et .Natalie, avait épousé l’an dernier un niche importateur de tabacs de New-York, John Pialoglou. Aujourd’hui, elle divorce. C’est le ciné qui en est la cause.

iM. (Pialoglou ne voyait pas d’un bon œil que sa femme continue à être une étoile de l’écran. 'Comme il n'avait pu la faire renoncer à sa profession, tous deux »’étaient séparés amicalement, le mart était retourné à ses tabacs •et sa femme à Los Angeles. Aujourd’hui, c’est le ’divorce.

Comme il ne faut jamais rien laisser perdre, cela pourra faire .l’objet d’un beau scénario « Le film triomphant... Plus fort que l’amour ». Les moralistes se lamenteront... Les marchands de tabacs diront de leur côté, à la suite de M. Pialoglou, que ce triomphe-là n'égale pas celui des délicieuses cigarettes

X. Y. Z... En Amérique, tout finit toujours par de la publicité.

Le Chasseur exigeant.

M. Pierre tBenoit a un grand ami dans la personne d’un chasseur de restaurant à la mode, comme le bœuf.

— Pourriez-vous me donner deux places pour voir T« Atlantide », au cinéma, demanda le chasseur à Pierre Benoit.

— Impossible! répondit l’auteur de « Pour don Carlos », sachez que je ne puis y aller moi-même qu’en payant ma .place!

Et le chasseur continu, mélancolique:

— C'est comme moi, quand j’ai voulu voir

le « Chasseur de chez .Maxim’s », j'ai payé, comme tout le monde... C'est vraiment désolant! (« Bonsoir ».)

Sans doute, j’étais venu curieux et intéressé, voir l’adaptation à l'écran de cette œuvre toute de grâce et de sentiment, qu’est « l.a Petite Fadette ». Mais je me sentais aussi sceptique, ne pouvant admettre que le metteur en scène aurait pu dégager tout le romantisme de l’œuvre de Georges Sand, et faire goûter au public la saveur un peu âpre des caractères à la fois simples et farouches, des personnages.

La vision fut une belle surprise: M. Raphaël Adam a réalisé de façon pittoresque le cadre

rustique qui sied; il a su reconstituer avec de sobres moyens, ce milieu campagnard, et surtout familial, où se développe l’affection réciproque des deux « bessons », comme on dit au Berry. Autour de cette amitié, de l’amour de l’un d’eux pour la petite Fadette, et du sentiment de jalousie né au cours de l’autre fête, gravite toute l’action.

Deux frères jumeaux sont liés entr’eux, depuis l’enfance, par les plus solides liens d’affection. Mais tandis que Landry a un caractère viril, celui de Silvinet est fait d’étroite


6 Sénégal par M. fiacre à travers prise de vues trompes d’ plante (un L’

de dé

jalousie pour tous ceux qui tenteraient de lui faire partager le cœur de son frère.

Landry se sent attiré vers la jolie Fadette, petite fille d’une vieille qui passe pour sorcière dans le pays. Fadette ayant rendu service à Landry, celui-ci promet de lui obéir quand elle le lui demandera. C’est ainsi qu’il doit danser avec elle, à la/ète; mais ce qu’il ne ilevait pas faire, arrive quand même: l’amour naît entre ces deux cœurs, l’un fruste mais aimant, l’autre partagé entre la pitié et la peur du « qu’en dira-t-on »

Car- les paysans tiennent en effet la guérisseuse et Fadette à l’écart Landry éprouve donc une vive résistance de la part de ses parents lorsqu’il laisse voir ses sentiments. En outre, Sylvinet est si désolé. de voir le cœur de son frère s’öuvrir à une autre affection qu’il tombe sérieusement malade. Fadette, pour en finir

s’en va travailler $ apprend la mort de risseuse » thésaurisait, qu’apprenant, les paren gent d’avis et ne demandent l’accepter pour bru. D’ailler même, conquis par la bonne gr se réjouit de leur bonheur.

L’interprétation de cette charman tion met en relief le talent de Mlle J Elsche, de Mme Boucher, de MM. Jean et Je«i Adam.

Mlle Jeanne Van Elsche est une artiste française, d’origine hollandaise, à l’école de danse de Jane Ronsay, et débute à l’écran.

Une mention spéciale doit être donnée à Mme Lauth-Sand, petite-fille de l’illustre écrivain, à qui fut laissé le choix de la principale interprète, sous la direction de qui les extérieurs, frais et ensoleillés, ont été tournée.

« La Petite Fadette» est un film qui mérite d’être vu.


« La Petite Fadette »

La question des décors, au cinéma

Am cours d'une excellente chronique, passée dernièrement dans « La Revue belge du Cinéma », notre confrère Raphael Rens nous rend compte d'une conférence concernant lu question des décors au cinéma, donnée par M.Clou-zot, le critique cinématographique averti du ajournai de Genève». Nous détachons de cet article l’intéressant passage qu'on va lire:

.Deux « écoles » sont actuellement en présence: l’une, celle du film tourné au sein de la nature ou dans des intérieurs réels, dans des décors véritables, sans studio; — l’autre, celle du film tourné au studio.

La France et l’Amérique, L Franse surtout, semblent se rattacher à la première école (du film tourné sans studio) dont Mercanton est le créateur; il possède un groupe électrogène et il va de ville en ville et de bourgade -n bourgade, choisissant ses intérieurs et ses sites et les tournant sur place.

L’autre école, qui est diamétralement à t’opposé de la première, est celle du film tour-aé entièrement, ou presque, au studio; c’est cole allemande et suédoise, et il faut bien Connaître que, là Aussi, d’admirables ré-

sultats ont été atteints. M. Clouzot en a fait la démonstration saisissante au moyen de nombreux clichés, pris au cours de sa visite des véritables villes cinématographiques le la Svenska Film de Stockholm, et surtout des imposantes

Le Richter susdit pousse à tel point les conséquences de sa théorie qu’il ne prend aucune vue d’extérieur en Egypte: il estime qu’une scène des Pyramides intercalée dans le film... détonnerait fortement (il est déroutant, le Monsieur!!), et que » les déserts artificiels construits à Berlin » cadreront beaucoup mieux » avec les intérieurs reconstruits ».

Possible! Kurt n’en a pas moins une, de santé!

Nous ne nous comprenons décidément pas, eux et nous. Je ne sais qui Ta dit le premier, meus il a dit vrai. Raphaël RENS.

J3 Appareil prise de

L’appareil de prise de vues se compose essentiellement: 1° d’un objectif; 2° d’un mécanisme cl’entraînement et 3° de deux boîtes magasin dont une d’elle contient la pellicule négative. Le tout est renfermé dans une boîte (de forme suivant le modèle).

Le mouvement intermittent de la pellicule est produit par un cadre porte-griffes animé d’un mouvement rectiligne alternatif de haut

ech

cond disque portant les mêmes permet le réglage de l’admission mière.

L'ensemble obturateur reçoit un mouvemë de rotation continu par l’intermédiaire de1 gnons réglés de telle portel, qu’il fasse une demi-révolution pendant le mouvement d’aller | et retour du cadre porte-griffes.

La platine arrière du mécanisme d’entraîne-

Le metteur en scène A. Du Prbssy et ses opérateurs Léon Deboeck (appareil Debrie) et Hepphlin (appareil Prévost),

durant la réalisation de: Ame Belge

en bas. Les griffes pénètrent dans les perforations ‘ du film et les entraînent dans le mouvement de descente; à l’extrémité de leur course, elles abandonnent les perforations et remontent sans entraîner la pellicule. Le cadre porte-griffeis reçoit son mouvement alternatif d’un mécanisme tel que la vitesse du cadre soit maximum dans le milieu de sa course et mette à l’instant dix les griffes prennent ou abandonnent la pellicule.

L’obturateur, dont la fonction est de démasquer l’objectif pendant l’immobilité de la pellicule, est constitué par un disque portant, opposées l’une à l’autre, deux échancrures semi-circulaires. Ce disque, placé en avant de> l’objectif, est visible lorsqu’on ouvre la porte antérieure de l’appareil. La position d’un semant est percée vis-à-vis de l’objectif d’une ouverture rectangulaire appelée fenêtre et dont les dimensions déteriîiinent celles de l’image négative. Au-dessous de cette fenêtre deux fentes verticales placées de part et d’autre de la fenêtre et dont l’écartement, correspond à la largeur de la pellicule forment une sorte de couloir tapissé de velours afin d’éviter le frottement de la surface sensible contre la platine. Le couloir dont le but est de guider la pellicule, est fermé par une porte percée à la hauteur de la fenêtre d’une ouverture un peu plus grande que celle-ci et obturée par la cadre pressant. Ce cadre, pressé contre la fenêtre par deux ressorts, assure la planéité de la pellicule pendant la durée de l’exposition. Sous le cadre presseur et fixées à la


griffes

remeiit

élas-ssorts Sarent lé iffes après dans la et concourent de la pellicule, affleurent très le velours du

Sénégal par M. fiacre à travers, prise de vues trompeé d’a plante (un ac L’actei de

loir et lont suffi sam

ent saillie pour entraîner

pellicule; mais leur arti-

'culation au cadre portegriffes ainsi que leur taille

en biseau provoquent leur

retrait et leur glissement

sur la pellicule pendant le

mouvement ascensionnel

du cadre. Pour éviter

les effets d’une traction

intermittente sur un grand

poids de pellicule, celleci est débitée d’une façon

Pauline Fredehiek cherchant à Palde du viseur de l'appareil Bed Howel, rangle sous lequel sera tourné une des scènes ne La Femme A...

continue par un cylindre denté situé à la partie supérieure du couloir. Un même dispositif, à la partie inférieure, permet d’obtenir la, régularité du rembobinage.

L’avantage des boîtes magasin mobiles et interchangeables, c'est la commodité du chargement en plein jour et la facilité dans la substitution d’une boîte à une autre. Chaque appareil renferme deux boîtes; l’une contient

la pellicule vierge (ces boîtes contiennent 120 mètres de pellicule, J’app ' iciI professionnel seul nj; l’autre sert à l’enunngasi-nage de la même pellicule après son impression.

La boîte, généralement en bois noirci et de forme rectangulaire, a sa grande paroi latérale mobile, la paroi opposée porte intérieurement et en son milieu un axe mobile qui se prolonge à l’extérieur et se terming par une broche. Deux fentes horizontf )) garnies de velours sont ménagées en haut et en bas de la face antérieure; en de dans et on regard de chaque fente un petit rouleau pros-seur en {bottant sur le velours facilite le passage de la pellicule en s’opposant à l’admission de toute lumière. Au centre de la face postérieure, un écran permet, l’adaptation de la boîte sur la paroi postérieure de l’appareil à l’aide1 d’une vis dont la tête molletée est maniable extérieurement.

L’arbre de la manivelle transmet son mouvement à une fourchette par l’intermédiaire d’un ressort à boudin faisant fonction de

Un grroupe de techniciens cinégraphistes eu studio de la nFanous Players », de Londres, occupés ft tourner une seine de The Great Day (Le Grand Fait), sous la direcUon du metteur en scène Hugh Ford. y

courroie et dont la tension ést réglée pour prévoir un certain patinage à la fin de l’enroulement. La broche de la boîte réceptrice engraine avec cette fourchette pour obtenir le rembobinage du film.

A la sortie de la boîte magasin, la pellicule vierge passe dans un système perforateur

dont le poinçon fait saillie s l’appareil.

Entre la glace dépolie du viseul veile se trouve le cadran du com aiguille indique le métrage de pell: pressionnée.

Et voilà l’appareil de prise de Vues d

-Henry A. PARY

<>ukz-vous du siicre, jlear?

V*’' mon cher Aristide, on pourI '' ur < n faire livrer 200,000 tonnes

(Clnémagazlne.)

[Ciné magazine.) '

(Ciné magazine.)

I.'IN i:\TI ABK

(>n dirait qu'elle ne von« reconnaît pu«...

voule/.-vouM? Kl le a commence a tourner, «lot*« va

11,1 Jl tournt* lu tète!...

(Le Courrier Cinématographique.)

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lomatie au Cinéma.

mot de M. Raymond Poincaré pour la méthode employée depuis deux ans „ consiste à rassembler les premiers mi es, à Paris, Londres, Boulogne, Lympne ou cur s, méthode que M. Poincaré n’approuve s.

Nous ne faisons pas ici de politique, nous nous bornons à enregistrer le mot de M. Poincaré qui prouve la place que le cinéma tient aujourd’hui dans les mœurs et jusque dans le langage des hommes d’Etat.

(La Cinématographie Française.)

Le Cinéma au Maroc.

Le maréchal Lyautey aime le cinéma, et il sait les services qu’en peut attendre la propagande de l’idée française. Sur sa demande, et d’accord avec le ministère des Belaux-Arts, notre distingué confrère Boisyvon, de l'Intransigeant, vient de s’embarquer pour faire, dans les principales villes du Maroc, quatorze conférences sur le cinéma, accompagnées de la projection de fragments de quelques-uns de nos plus beaux films français.

(La Cinématographie Française.)

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Sous le ciel rouge

L<* capitaine Yank Barslow, schooner <( La Croi.r du Sud » ne illusion quant è la valour morale son autorilé rigide sa direction

commandant le se faisait aucune de son équipage: feline, assuraient

seules la sécurité des passagers et celle du batiment.

Celui-ci voguait à destination d'un port américain, a\oc un chargement de pianos. Ceux-ci étaient consignés par Vance Clavton, qui se trouvait à bord avec sa femme Hélène et leur enfant de six ans. Peg.

Par le fail, les pianos dissimulaient des fusils cl des Humilions, que Yance'comptait bien débarquer en contrebande à Kamoii, futur président d'une république sud-américaine en pleine effervescence populaire. Dans ce hul Clavton excita l'équipage de o La Croix du Sud » à se mutiner. Pour tenir ses hommes en respect, le capitaine se voit obligé à faire usage de ses armes.

Arrivé à un poi l d'escale, un homme de l'équipage, Burke, dit « Dead Light » accuse Barslow de tentative de meurtre en liante mer. I n seul mol du capitaine et c'est la mort pour ses laches accusateurs. Mais cette mère? Cet enfant? Non! il ne peut pas, il ne doit pas parler!

Condamné avec son compagnon, Barslow parvient à s’évader, sauvant avec lui son camarade. Les fugitifs arrivèrenl ainsi à se réfugier parmi un monde de hors la loi; des voleurs, des déserteurs et criminels divers rassemblés par Baltimore Bucko, véritable brigand qui écumait la cote occidentale1. N près avoir terrassé Bucko, Barslow prit le commandement de celle bande.

Kntrelemps, Clavton avait débarqué sa contrebande, livré celle-ci à fia mon et renvoyé Burke quérir un second chargement. Au retour do celui-ci, la révolution ayant éclaté, Clayton avec les siens trouve un refuge temporaire au consulat américain (fui est bientôt cerné par les révolutionnaires.

Barslow. mis au cornant de l'insurrection par un déserteur, arrive au secours des assiégés avec sa bande, Après un combat acharné il délivre h1 consul et la pelile garnison. Au cours d un combat de rue, Clavton est luéel Burke mortellement blessé. Avant d'expirer il confesse la part qu il a pris«1 dans le mouvement populaire el reconnaît qu il avait faussement accusé le capitaine Barlow.

Quelques jours après, légère d une cargaison d’espérance et de bonheur, « La Croix du Sud », moulée cette fois par* un équipage de bravos el honnêtes matelots, franchissait à nouveau les passes rie la « Parle d'Or. ».

Pnpiime ilu 4 au!) férrltr

Gaumont-Journal (

ÎMIISOA DU

Comique

PARADIS

SI It i:\ks DU LA MI. H

Comédie en 2 parties

L'Oit 1*1 IL LIM«:

épisode: CHAGRINS D’AMOUR

SOUS LE CIEL ROUGE

Histoire glorieuse d’amour et d’aventures en haute mer, avec Elmo Lincoln dans le rôle principal.

van

Gaumont-Weekblad

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Klucht

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Tooneelspel in 2 deelen

episode:

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LIEFDESMART

ONDER DEN ROODEN HEMEL

Roemrijke geschiedenis van liefde en lotgevallen in volle zee, met Elmo Lincoln in den hoofdrol

Semaine prochaine deux films à grand succès EVA{ O VA fi fans

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C-A-IRIMUEL MYERS

LE CRIME DE LA BÊTE NOIRE

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Prochainement le grand succès

Ug Passe-partout du £ïable

Onder den rooden hemel

gedrag, zijn vast bestuur, ver-veilighcid \an passagiers en

kanilein Yank Barslow van den schooner « I.a Croix dit Sud » maakte zich geciie inbeeldingen van wat de inoreele waarde zijner manschappen hetrof. Zijn streng zekerden al leen de schip.

Hel schip had voor heslemming, met eene lading pianos, eene Ainerikaansohe haven. Me lading was op naam van Vance Clayton, welke zich met zijne vrouw en hun Jrind van 6 jaar, aan boord bevond. Doch de. pianos verbergde wapens en munitie welke Vance van plan was, in eene zuid-Amerikaan-scherepubliek binnen te smokkelen en aan Ramon, aanstaande voorzitter af Ie leveren. Tol dit doel zette hij de manschappen van « La Croix du Sud » aan te muilen; en om (leze in bedwang te kunnen houden is de kapitein verplicht van zijne wapens gebruik te maken.

In eene haven gekomen belicht een der manschappen Rarslow xan moord in volle zee. Een enkel woord van den kapitein zou de dood zijn voor deze va Ische belichters. Maar die moeder? Dat kind 1' Veen... hij kan niet, hij zal niet spreken.

Mei zijnen maat veroordeelt, gelukt Rarslow erin te vluchten en ook zijnen vriend Ie redden; en zoo komen zij in een wereld van buiten de wet zijnde: dieven, deserteurs en andere misdadigers, door Baltimore Bucko vereenigd en welke de w estelijke kiisl onveilig maakten. Na Buck o overwonnen Ie hebben nam Barslow liet kammando dezer bende op zich.

Clavton was erin gelukt zijne smokkelwaar te ontschepen, aan Ramon af te leveren en had Burke uitgezonden om eene tweede lading Ie vinden. Vis deze terugkwam was de revolutie uitgebroken, en Clayton had met de zijnen eene lijdelijke schuilplaats in hel Amerikaansch konsulaat gevonden, dat alras door de opstandelingen omsingelt weidt.

Door een deserteur op de hoogte gebracht, snelt Barslow met zijne tiende de belegerden 1er hulp. \a een verwoed gevecht, verlost hij den konsul en het kleine garnizoen. In een straatgevecht worden Clavton gedood en Burke doodelijk gewond, »vorens te sterven zegt hij. aan den opstand deel genomen Ie hebben, en bekend hij van kapitein Barstow xaischelijk beschuldigd Ie hebben.

Benige dagen nadien vertrek I « La Croix du Sud» met eene lichte lading van hoop en geluk en ditmaal met eene bemanning van brave en eerlijke matroozen overschreed het schip wederom de passen der « Gouden Pnorl ».

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