Programma van 5 tot 9 okt. 1919



Brochure

Bron: FelixArchief nr. 1968#176

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93. DIEPE­STRAAT, 93, ANT­WER­PEN Kor­te­lings ope­ning van een bij­win­kel. GE­MEEN­TE­STR. 17.

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' Le Di­rec­teur.

J. VAN SCHAE­REN.

Acier Trempé

Drame de mœurs in­ter­prété par Olga Pe­tro­va

Dans les contrées du sud des1 Etats-l ni s, les' vieil­les tra­di­ti­ons die fa­mil­le sont en­co­re pro­fondément en­ra­cinées dans les mi­li­eux die la riche bour­geoi­sie.

La femme y est con­sidérée comme un être de char­me, fait sfeu­le­me­nit pour plai­re; son rôle se borne aux soins du ménage et à l’em­l­bel­lis­sen­Tu­ry: de l'intérieur. Ja­mais on. ne la con­sul­te dans les af­fai­res séri­eu­ses et sa vie s’écoule en de­hors des res­pon­sa­bi­lités dont le «-.​an se réserve toute la char­ge.

Le co­lo­nel Kar­thers, riche prop­riétaire du Kenkuèckv, homme ri­gi­de et au­to­ri­tai­re n’admet au­cu­ne in­trusi­on de sa femme ou de sa fille dains le do­mai­ne des cho­ses séri­eu­ses.

Ma­da­me Kar­thers, qu'une lon­gue sou­mis­si­on a accou­t­ournée à obéir est faire à cette vie sub­al­ter­ne; mais 1 „utile, sa fille, in­strui­te et' cul­tivée, possédant le ca­ractère en­tier et vo­lon­tai­re de son père, rêve! de s’éman­ci­per. Elle écrit

La nou­vel­le étoile re­trou­ve à New-York de vieux amis de sa fa­mil­le: Ma­da­me Shel­d­on et son fils Ri­char­d1, le­quel fut un com­pag­non de jeux de son, en­fan­ce. Ri­chard Shel­d­on, au­jourd’hui dou­teur, n’a pas oublié la pe­ti­te ca­ma­ra­de de jadis et n’est pas in­différent â la beauté et au ta­lent de Lu­ci­le.... ,

Chez les SWek­km Lu­ti­le ren­con­tre le pre­mier im­pre­sa­rio de New-York Edwyn Ar­cher, qui la féli­ci­te et lui pro­po­se la création d’une nou­vel­le

pièce sen­sa­ti­on­nel­le à son théâtre.\rcher a la réputa­ti­on d’un vi­veur.

Ses conquêtes ga­lan­tes ne se comp­tent} plus et son idée, en en­ga­ge­ant Lu­ci­le est d’ajou­ter cette jolie fille à la liste déjà lon­gue de ses' maîtres­ses. L’ac­teur Ra­ta­kin, ja­l­oux des succès de son élève la met ed garde con­tre Ar­cher; Lu­ci­le croit de­voir s’ac­quit­ter en­vers lui en le fai­sant en­ga­ger {jour jouer avec elle dans la nou­vel­le pièce; mais Ra­ta­kin en­vi­eux et ja­l­oux, n’admet pas qu’il ne puis­se être autre chose que le pre­mier par­tout et re­fu­se sous prétexte que le rôle est in­dig­ne de lui. Sa colère l’aveu­g­le, il Se croit persécuté et ne rêve que ven­ge­an­ce.

Sur les in­stan­ces dte .son di­rec­teur, Ar­cher, Lu­ci­le a loué un somp­tu­eux ap­par­te­ment. Toute à «on art, elkj ne soupçonne pas lés pro­jet)»* amou­reux de l’imprésario et son, côur es* pris touty en­tier par le doc­teur Ri­chard, ce char­mant ca­ma­ra­de d’en­fan­ce qu’elle a re­trouvé et qui, de son côté est éper­du­ment amou­reux de l’ar­tis­te.


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DE­MAN­DEZ TA­RIFS ET PROS­PEC­TUS

Di­rec­ti­on belge: Fr. THYS 23, Place de Meir, à An­vers

Le jour de la première représen­ta­ti­on es. arrivé. Lucüe reçoit la vi­si­te de Ri­chard qui luif dit qu’il vien­da chez elle après le théâtre, ne pou­vant as­sis­ter à la représen­ta­ti­on. Le jeune homme est à peine sorti 'qu’ar­ri­ve Rapakin. Ce­lui-ci a puisé dans de co­pi­eu­ses li­ba­ti­ons le cou­ra­ge des réso­lu­ti­ons désespérées. 11 rap­pel­le à Lu­ci­le que c’est à lui qu’elle doit ses pre­miers succès et exige en récom­pen­se, qu’elle re­non­ce à paraître à la représen­ta­ti­on, dit* ce soir.

Lu­ci­le tente de cal­mer l’éner­gumène en lui démon­trant que ce se­rait une ca­ta­strop­he pour Ar­cher. Cette rai­son ne fait qu’ex­ci­ter la rage du ja­l­oux qui ac­cu­se l’ar­tis­te d’être la maîtres­se die l’imprésario. In­dignée, Lu­ci­le veut chas­ser l’in­so­lent, mais ce­lui-ci au pa­roxy­s­me.de la colère, sort de sa poche un fla­con' de vi­tri­ol: « Je n’en veux past à votre vio, dit-il, mais je vais éteind­re le feu de vos yeux et détrui­re l’har­mo­nie de vos traits; Ar­cher lui-même ne vou­d­ra plus de vous ».

Pen­dant cette scène un orage ef­f­roy­a­ble s’est déchaîné sur la ville, 1.' ton­ner­re grondé sans dis­con­ti­nu­er, les éclairs il­lu­mi­nent le drame, qui se prépare, de leurs lu­eurs in­ter­mit­ten­tes. Lu­ci­le a pu enfin sai­sir son re­vol­ver dans un ti­roir et la bra­que­ant sur le misérable lui or­don­ne die­ter à terre le ter­ri­ble poi­son. A ce mo­ment un coup die ton­ner­re, plus for­mi­da­ble que les au­tres, ébran­le l’at­mos­phère le coup part et Ro,-ikin tombe foud­royé.

La son­ne­rie du téléphone ramène Lu­ci­le à la réalité. 1.’Inure tie I; représen­ta­ti­on s’avan­ce et Ar­cher, in­qui­et de ne pas voir ar­ri­ver l’étoile, se décide à venir la cher­cher.

Je ne peux pas, pas ce soir..., je suis ma­la­de... bal­bu­tie la pau­vre

femme. Mais en face du dése­spoir de son di­rec­teur qui évoqué la ruine dont il es. menacé, Lu­ci­le re­trou­ve son éner­gie na­ti­ve et se rend au théâtre. Son émo­ti­on ajou­te en­co­re à son ta­lent et c’est sous- un tonin' rre d'ap­plau­dis­se­ments que le. ri­de­au se bais­se après le der­nier acte.

Ar­cher, avec le per­son­nel du théâtre, a résolu d’or­ga­ni­ser une pe­ti­te fête au do­mi­ci­le de l’ar­tis­te pour célébrer son tri­omp­he., Ils se ren­dent après la représen­ta­ti­on chez Lu­ci­le; mais cel­le-ci les sup­plie

Ar­cher va sor­tir le der­nier lorsqu’il aperçoit un cha­peau d’homme oublié sur le /tapis. Il se répand alors en re­pro­ches amers. « Je vous ai res­pecté, dit-il, con­trai­re­ment à mes ha­bi­tu­des; parce qvie je vous croy­ais pure. Pour­quoi ca­chez-vous votre amant? » Alors Lu­ci­le te pre­n­ant par la main, le mène de­vant le ca­da­vre de Rat akin: « Kt vous avez joué quand même? — « J’ai fait mon de­voir pour ne pas cau­ser votre ruine.» —• « Ah! s’écrie l’imprésario, vous1 êtes bien une dign>* fille du Sud. Acier. ACIER TREM­PE! »

Selon sa pro­mes­se, ar­ri­ve le doc­teur Ri­chard Shel­d­on. Mis au cou­rant de la si­tu­a­ti­on, il exa­mi­ne le ca­da­vre r-t con­sta­te que lai mort n’est pas duo à la balle de re­vol­ver, mais que le pau­vre Ra­ta­kin a été tué par la foud­re qui a brûlé en même temps le cadre de! la fenêtre.

Récon­ci­liée enfin avec son père, Lu­ci­le en a assez! de la gloi­re fac­ti­ce des plan­ches et au co­lo­nel qui lui dit: « Vous au­riez du naître homme », elle, répond: k Merci bien, pour l’in­stant je suis fort heu­reu­se d’être femme. E: le dol \r Ri­chard, son jeune époux, est tout à fait dè cet avis


AVIS- — A par­tir du mois de no­vem­bre tous les SA­ME­DIS, représen­ta­ti­on pu­bli­que à 8 H. du soir.

REPRÉSEN­TA­TI­ONS des Di­man­che 5 oct. à 3 et 8 H., Lundi 6 et Jeudi 9 oc­to­b­re à 8 H.

1. Fan­ta­sia, pour Orgue j. S. Bach

2. En Suède

3. Gau­mont-Jour­nal

4. Les deux Pi­ge­ons, (Scène de bal­let) A. Mes­sa­ger

5. Bis­cot se trom­pe d’étage, Vau­de­vil­le

6. Loui­se O. Char­pen­tier

Prélude du 3e acte et aire de LOUI­SE Vi­o­lon solo: Mr. E. Din­ge­mans

7. SANG FROID DE LADY PHIL­LIPS

Comédie dra­ma­ti­que en 3 par­ties.

8. ACIER TREMPÉ

Drame de la vie de théâtre, en 4 par­ties, in­ter­prété par Mme. Olga PE­TRO­VA.

Ie et 2e par­ties

9. Scènes Als­a­ci­en­nes, (Sous les til­leuls) J. Mas­senet

Flûte solo: Mr. F. Valck Cello solo: Mr. H. Ceu­le­mans.

10. Acier trempé, 3e et 4e par­ties.

Avis pour les Représen­ta­ti­ons du Soir. — Afin de ne pas déran­ger les au­di­ti­ons mu­si­ca­les, le Pu­blic oc­cu­pant les pla­ces du Rez-de-chaussée aura ex­clu­si­ve­ment accès aux La­va­to­ries et W. C. (pour Dames et Mes­si­eurs) in­stallés au Jar­din d’hiver et au Café (accès par la Salle des Mar­bres).

Ge­tem­perd Staal

ln de Zui­ders lau­ert der Ver­ee­nig­de Sta­ren, zijn de oude fa­mil­re­over­le­ve-rin­gen nog diep ge­wor­teld ge­ble­ven in de rijke bur­ge­rij.

De vrouw wordt er aan­zien als lie­ve­lings­weaen, gehören om be­val­lig te blij­ven; hare op­dracht be­perkt zich, bij de be­zor­ging van het huis­hou­den en de ver­fraaing van den haard. Nooit raad­pleegt men haar over ern­sti­ge zake n en haar leven ver­loopt bui­ten de ver­ant woor­de­lijk­heid die haar echt­ge­noot zich voor­be­houdt. ,

Ko­lo­nel Rar­thers, rijk grond­be­zit­ter van Ken­tuc­ky, een stren­ge en ge­bien­den­de man, laat geene in­men­ging in ern­sti­ge zaken:oe aan vrouw of doch­ter.

Me­vrouw Kar­thers, aan eene lange on­der­da­nig­heid ge­woon, be­rust in zulk on­der­ge­schikt leven; doch l.​ucile, hart- doch­ter, ge­leer­den be­gaafd, en van ka­rak­ter zoo ei­gen­zin­nig als haar vader, wil zich vrij wer­ken.

Zij schrijft tooneel stuk­ken waar­in hare on­er­va­ren­heid te mer­ken is; haar wen­seh is zelf op te tre­den. Zij spreekt) daar­over met Miss Rose .Ma­d­den,, be­stuur­ster van een tooneèlbladl van New-York, die zich in Ken­tuc­ky be­vindt om er rlerr ver­maar­den tooneel­si>eler Ra­ta­kin te in­ter­vie­wen. Ra­ta­kin heeft wel ta­lent, doch hij meent dai hij er nog meer bezit en, houdt zich voor1 den groot­sten kun­ste­naar van, zijn tijd. Lu­ci­le door Rose Ma­d­den aan Ra­ta­kin voor­ge­sneld, zegt hem da,* zij ook «to­neel­speel­ster wil wor­den en trots ’s va­ders gram­schap ver­trekt het jonge meis­je naar New-York, waar ze wel­dra op­ge­merkt wordt en bij­val oogst' aan de zijde van Ra­ta­kin in tie « Nijl­si­ren« ».

De jonge tooneel speel­ster ont­moet in New-York oude! vrien­den harer fa­mi­lie: Me­vrouw Shel­d­on en haar zoon Ri­chard', een speel­ka­me­raad uit hare jeugd. Ri­chard Shel­d­on, thans dok­ter, heeft zijn s|>tel­ka­me­raad niet ver­ge­ten en blijft niet on­ver­schil­lig aan de schoon­heid en ho" ta­lent van Lu­ci­le.

Bij de Se­held­ons ziel Lu­ci­le tie gool­ste im­pre­sa­rio van New-York: Edwyn Ar­cher, die haar ge­luk­wen­scht en haar voor­slaagt een nieuw sen­sa­tie­stuk in zij­nen' schouw­burg te Creee­ren. Ar­cher heeft tien naam een licht­zin­nig leven te lei­den. Men lelt zijne over­win­nin­gen niet meer en hij denkt er aan, als hij Lu­ci­le aan zij­nen schouw­burg hecht, halar tot min­na­res te kun­nen nemen na zoo­veel an­de­ren.

Ra­ta­kin na­ij­ve­rig op den bij­val zijn er leer­lin­ge, waar­schuwt haar tegen Ar­cher; Lu­ci­le meent hare ver­plich­tin­gen te­gen­over hem te del­gen met hem te. dben voor­stel­len met haar in het nie iwe stuk op te tre­den. Doch Ra­ta­kin, ja­loersch, meent niet an­ders dan de eer­ste plaats te kun­nen ver­gen en wei­gert onder voor­wend­sel dat de rol hem te min is. In zijn dolle woede waant hij zich ver­volgd en droomt van wraak. Op aan­drin­gen van haar be­stuur­der Ar­cher heeft Lu­ci­le een prach­tig ver­trek be­trok­ken. Ge­heel aan haar kunst­le­ven ge­wijd, ver­moedt zij niet eens de in­zich­ten van den im­pre­sa­rio en haar hart is in­ge­no­men door Dok­ter Ri­chard die van zijn kant dol ver­liefd is op de looi­noel­speeJ­si­ter.

De dag «1er eer­ste voor­stel­ling is aan­ge­bro­ken. Lu­ci­le ont­vangt het be­zoek van Ri­chard dh haar zegt d.-« hij na de ver­toon­ing bij haar aan


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huis /al komen daar hij zelf d« ver­toon­ing nit\ bij­wo­nen kan. IV jonge man is nog maar even weg als Ra­ta­kin zich aan­meldt. Deze heef ge­dron­ken om alzoo den moed te heb­ben van wan­ho­pi­ge daden. Hij herin, nert aan Lu­ci­le dat hel rum hem is dat zij haar eer­ste bij­val!<• dan­ken heeft en vergt als ver­gel­ding dat /ij z.​al af­zien op te tre­den in de ver­too-ning van dien avond.

Lu­ci­le tracht den op­ge­won­den man tot be­da­ren te bren­gen en houdt hem voor dat zulks een ware -slag zou zijn voor Ar­cher. Deze reden doedt de ra­zer­nij nog stij­gen. Ra­fa­kin be­weert nu dat Lu­ci­le de min­na­res is " van den im­pre­sa­rio. Ver­ont­waar­digd wjl Lu­ci­le den on­be­leefd­ten de deur wij­zen, doch deze woe­dend, haalt een fie­sch­je vi­tri­ool te voor­schijn: Hij zegt « Ik wil u niet dooden; d

Tij­dens deze ge­beur­te­nis is er een ver­schrik­ke­lijk on weder over de stad los­ge­bro­ken. De don­der rolt zon­der op­hou­den en blik­sem­schich­ten ver­lich­ten het tooneel dat zich voor­be­reidt... Lu­ci­le heeft een re­vol­ver kun­nen vat­ten en de snood­aard onder hare be­drei­ging hou­dend! ge­biedt zij hem het ge­vaar­lij­ke vocht op den grond te wer­pen. Op dat oog­enbük valt er een don­der­slag, enger dan de voor­gaan­dien. Een schot knalt en Rat­jnr kin ligt daar ne­der­ge­blik­sem­d1.

Een te­le­foon ge­klin­gel roept hem terug in de wer­ke­lijk­heid. Het uur der ver­toon­ing is na­kend en Ar­cher, on­ge­rust! over het uit­blij­ven zij­ner tooneeÜste, wil haar op­zoe­ken.

« Ik loin niet... heden avond... Ik ben krank...» lis­pelt die arme vrouw. Doch bij het zicht van de wan­hoop vani haar be­stuur­der, die zegt hoe hij zou ten grondt» ge­richt zijn, vindt Lu­ci­le hare wils­kracht weder <11 be­geeft zich naar den schouw­burg. Hi ure op­win­ding ver­hoogt haar ta­lent en het is onder een don­der van toe­jui­chin­gen da£ de voor­hang ne-dler­gaat na de laat­ste akt.

.Ar­cher met de tooneets|x*lers, heb­ben iieslo­ten eenl hoest­je in itc rich­ten ten huize van Lu­ci­le om haren bij­val tc vie­ren. Zij be­ge­ven zich ten ha­rent na de ver­toon­ing, doch zij smeekt hen haar rust fe gun­nen onder voor­wendl­sel van eene voor­bij­gaan­de on­ge­steld­heid. Ar­cher wil de laat­ste bui­ten gaan als hij een op’ de ta­pijt ver­ge­ten mans­hoed op­merkt. Dap valt: hij in bit­te­re ver­wij­tin­gen uit. « Ik heb u geëer­bie­digd tegen mijne ge­woon­ten in omdat ik u beter dan de an­de­ren waan­de. Waar­om ver­duikt gij uw min­naar? » Dan neemt I.​ucile hem bij de hand en brengt hem voor het lijk van Ra­ta­kin: « En toch hebt gij ge­speeld?...» «Ik heb mijne plicht ge­daan om ii vour ver­lie­zen te red­den ».. « Wel, roept*, hij uit, ge zijf eene waar­di­ge doch­ter van het Zui­den en van Ge­hard IJ­ze­rI »

Zooals hij be­loofd had, komt) nu Dok­ter Ri­chard Shel­d­on. Op de hoog­te ge­bracht van den toe­stand, on­der­zoek» hij hint lijk en bestätigt dat

Ten lan­gen laaüstc ver­zoend met haren vader, heeft Lu­ci­le ge­noeg van tooneel­roem. De ko­lo­nel zegt haar dat zij man moest ge­bo­ren zijn. Zij ant­woordt dat zij 1/ "ge­luk­kig is vrouw te zijn.


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» Cinéma ZUDÜDBIE

Les PRO­GRAM­MES SEN­SA­TI­ON­NELS

du mois d’Oc­to­b­re

Du 12 au 16

LA FUGUE DE LILY

Grand film d’art Gau­mont, in­ter­prêté par: Mlles Yvet­te An­dre­yor

et Ivon­ne Dario et MM. Cresté, Leu­bas, Mi­chel, Mathé, Le­vesque; etc.

Ma­de­moi­sel­le Pa­tri­cia

Drame en 4 par­ties, in­ter­prêté par Vi­o­let MER­SE­REAU.

Du 19 au 23

L’ILE DU SALUT

Comédie en 4 par­ties de la Pa­ra­mount Pic­tu­res Co. in­ter­prétée par le grand ar­tis­te améri­cain DOU­G­LAS FAIR­BANKS.

LES BOT­TI­NES ô’EVA (An an­ci­ant Evil)

Film à thèse en 3 par­ties, in­ter­prêté par Miss Mary Mac Lar­ren

Du 26 au 30

LA BEL­GI­QUE MAR­TY­RE

Grand drame pa­tri­oti­que en 5 par­ties. — PRE­MIER film édité en BEL­GI­QUE et in­ter­prêté par des ar­tis­tes BEL­GES

VERS LA­mOUR

Comédie dra­ma­ti­que en 3 par­ties, in­ter­prété par Miss Doro­thy PHIL­LIPS