Source: FelixArchief no. 1968#841
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Les Deux Gosses
Hésurnè de ia première partie
Deux aventuriers, «La Limace» et sa compagne Zépbyrine, volent des lettres appartenant à Robert d’Alboise et qui furent écrites par Carmen ne Saint Hÿriex. Cetle dernière est sauvée du déshonneur par sa belle-sœur, Mme de Kerlor. Et M. de Kerlor croit sa femme coupable et son enfant bâtard et donne le bambin à la «Limace», venu pour le cambrioler, afin qu'il en fasse un voleur. Puis, il part pour l’Afrique.
Des années passent. Le petite .lean de Kerlor (Fanfan) en compagnie du petit Claudinet, partage la vie de misère et de douleur de la «Limace» et de Zépbyrine, qui les rouent de coups. Entretemps de St. Hyriex est mort, Carmen revient en France et apprend la terrible méprise dont elle est cause.
DI I MF MK PARTIE
Carmen adjure son frère de revenir. Apprenant alors la vérité, il tombe aux pieds de sa femme et n’a plus d’autre but. que de retrouver «La Limace» et Zépbyrine. Les gosses mendient, volent dans un but honnête: sauver Claudinet, frappé de tuberculose. Mais ils refusent, surtout Fanfan, resté pur, d’aider les voleurs dans leurs viles besognes.
Lors de cette vie Fanfan s’en évade juste au moment où Kerlor vient de réclamer à la «Limace». On substituera Claudinet au fils d’Hélène, mais ils se retrouveront à l’hôtel même de Kerlor. Peu â peu les souvenirs de son enfance reviendront à Fanfan qui voudrait se taire pour laisser à Claudinet son illusion. Mais il saura tout Hélène apprend que, Claudinet ne peut être son fils. Kerlor. qui sait que la «Limace» l'a trompé, part pour le rerouver.
Garotté, menacé par La Limace il sera sauvé par Fanfan, revenu chercher les lettres de Carmen qu’il sait en possession des bandits qui, ne voulant pas abandonner la partie, partent à l’hôtel de Kerlor, y trouvent Claudinet alors qu’ils cherchaient Fanfan. Bravant la mort, Claudinet sauvera son petit camarade, et le petit Gosse au grand cœur frappé d’un coup de couteau par Fadart, s’éteindra doucement, entouré de ceux quai avait aimés et qui n’auront qu’une ombre à leur bonheur... la mort du brave petit Claudinet.
PROGRAMME du 23 au 29 JANVIER
j. 1 Preciosa
(Ouverture)
C. M. v. Weber
PROGRAMMA van 23 tot 29 JANUARI
Preciosa
(Openingstak)
C M. v. Weber
2 PATHE - REVUE V
2 PATHÉ - REVUE V
Les Deux Gosses
d’après le Roman de P. DECOURCELLE
(Suite et fin)
Pendant la Pause
« Récital pour Orgue
De Twee
Verstootelingen
naar den Roman van P. DECOURCELLE
(Vervolg en einde)
Tijdens de Poos
Récitaal voor Orgel
Semaine prochaine
COLLEEN MOORE
MALCOLM MAC GREGOR
CLAIRE WINDSOR
EERNEST TORRENCE
dans le film sensationnel
CHAÎNES BRISÉES
I De Twee Verstootelingen *|
Samenvatting van het eerste deel
Twee avonturiers « de Slak » en zijn minnares Zephyrine stelen brieven, Loebehoorende aan Robert d’Alboise en geschreven door Carmen de Saint Hyriex. Deze laatste wordt echter van de oneer gered door tiaar schoonzuster, Helena de Kerlor. Vf. de Kerlor, zijn vrouw van ontrouw beschuldigend, geeft hun kind, hetwelk hij een bastaard denkt, aan «de Slak » — die gekomen was om in te breken — om er een dief van te maken, evenals bij zelf. Waarna hij naar Afrika vertrekt.
laren gaan voorbij. De kleine de Kerlor (Fanfan) deelt nu het eilende-leven van den kleine Claudinet bij die onmenseben die zich « de Slak » en Zephyrine noemen.
Intusschen is St Hyriex in het buitenland gestorven en Carmen keert naar Frankrijk lerug.
Daar veneemt zij de vreeselijke vergissing waarvan zij de schuld is.
TWEEDE DEEL
Carmen bezweert haar broeder terug te keeren. Vernemend dan de waarheid valt de Kerlor zijn vrouw te voet en beeft nog slechts één levensdoel: « de Slak » en Zepherine terug te vinden.
Moe van het brutale, harde leven bij de twee bandieten die de twee kinderen aanzetten te stelen, vlucht Fanfan uil de armzalige krocht, juist op het oogenblik dat Kerlor zijn zoon terug komt opeischen bij « de Slak ». Tn plaats van Fanfan zal men de Kerlor, mits de « goede som » Claudinet geven .Doch de twee knapen zien mekaar, door het toeval geleid, in bet hôtel de Kerlor terug. Langzamerhand komen de jeugdherinneringen in Fanfan op en hij begrijpt. Toch wil hij zwijgen om aan den armen Claudinet zijn teere illuzie te laten. Doch hij zal alles weten — de Kerlor vernemend dat Claudinet niet zijn zoon is trekt nog denzelfden avond naar de krocht waar « de Slak » en medeplichtige huizen.
Vastgebonden en bedreigd door « de Slak » wordt de Kerlor gered door Fanfan, gekomen om de brieven van Carmen — welke hij in het bezit der bandieten wist — te stelen. Toch geven de schurken de partij niet op en trekken naar het hôtel de Kerlor, de Kerlor en fanfan die wisten te vluchten, achterna zéttend. Tn die achtervolging zal « de Slak » echter omkomen. De medeplichtigen vinden in de Kerlor’s huis Claudinet in plaats van Fanfan. Den dood trotseerend om zijn jonge vriend te redden zal de kleine knaap, met het groo-te hart, getroffen worden door een messteek van Fadart. En omringd van diegene welken hij had liefgehad in zijn kort maar zoo treurig en somber leven, sterft de kleine, arme verstooteling, in de zekerheid Fanfan gelukkig te weten.
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Souuenirs
d’interuieurus
A gauche; Mary Pick-ord et Douglas Fairbanks dans un -rôle
cow-boy
Au milieu: Mary home ...
A droite: Doug et son beau-frère Jack Pickford
Epis mûrs sous le zéphir d'août. Vagues de mer bleue ensoleillée. Perles blanches de Ceylan. Réflexes qu'engendre dans mon cerveau comme des ondes, la vue de Mary Pickford, toute menue, si blonde de cheveux, si bleue d'yeux, si blanche de dents.
Smokings, habits, robes décolletées, robes sévères.
tous se tournent vers elle. Elle sourit, d’un sourire si doux, que chaque homme souhaite qu’elle soit sa fiancée; chaque mère, sa fille; chaque femme, sa sœur.
Dans les cœurs, elle réveille de vieux souvenirs et rajeunit des frissons.
— Douglas is very idle... he will not learn his french lessons,... and he find very difficult to... his verbs...
Bribes de conversations saisies, et apportées dans une bouffée d'air. Un voisin complaisamment me dit:
-- Douglas est très paresseux, il ne veut pas ap
prendre son français et il trouve très difficile de retenir ses verbes.-
Lecteurs, encouragez-moi, c'est pour vous que je vaincs ma timidité.
A mon étonnement. Mary entame la conversation en un français impeccable, et si ce n'était ce petit accent d outre-la-mare-aux-harengs, je me permettrais de douter que Mary soit Américaine.
— A Los Angeles, je lis sou- »P" \ J
vent votre petit journal, d’ailleurs, dear friend, it's a fine magazine...
•lack Pickford et J. Coghan, son partenaire dans Garrisso/t’s 1rnisch.
et chaque fois que je tourne un film je vous envoie et vous enverrai des photos, pour vos lecteurs belges, dont l’opinion m’est très chère... è ce propos, dites moi quel genre de mes interprétations est le plus goûté en Belgique
— Dad — Pol — Lit — Ros — Dor —:
— Vous parlez—
— Etrangement, en effet, je me rappelais vos derniers films Daddy Long Legs, Pollyana, Little Lord Fauntleroy, Rosita, Dorothy Vernon, et crois pouvoir vous affirmer que vous êtes adorable dans tous...
— Cependant, aux States, l’on préfère mes interprétations
de petites filles, mais il est si difficile de trouver de bons scénarii..
Dans la cellule scénarii de mon cerveau, je préparais une dissertation et un flot de questions sur ce sujet brûlant, lorsque comme un bolide incandescent. Douglas, le sympathique Doug, vient se présenter lui-même, et me demander si j’ai lu The Life of the bees; comme lui ne parle pas beaucoup le français, et que pour ma part j’ai point fait d’études a Oxford, nous pataugeons, et croyant qu'il me demandait
où se trouvait l’usine belge de locomotives, — étant, donné qu’il imitait lebour-l donnement des abeilles — je lui expliquai que notre principale usine se trpu-vait à Seraing, mais ce n’était pas cela, car il m ’ expliquait copieusement et finalement il exprima le nom de Maeterlinck, avec beaucoup de bonne volonté, et je compris son bourdonnement: il me parlait de la vie des abeilles, livre merveilleux d’un belge.
— Très bonne livre, Yes
indeed, one of the best books 1 ever read....
— Yes very good book... Deux éclats de rire
s’égaraient dans les pavillons récepteurs disséminés autour de nous...
Doug et notre collaborateur
' Bromberger. (Voir suite p, 12.)
—:— Les Rouleaux “ ANIMATIC,, —:— OO /{«présentant général: MICHEL MATTHYS rendent le jeu de l’artiste à la perfection OO 16, Rue de Stassart, BRUXELLES Téléphone; 153.92
Ce que nous verrons sur l'écran;
La Lumière qui s’éteint
Paramount nous convie à la présentation d’u" film de George Melford; une grande aventure dn matique d’après un fameux roman de Rudyard Kipling. L’interprétation eût été au goût du maître. Le scénario, écrit par J. Mac-Grew Willis et Jack Cunningham, semble avoir été fait tout exprès pour
première rencontre, il reçoit un terrible coup de sabre sur le crâne. Et voici que, dans son délire. Une apparition délicieusement puérile se lève: c’est Maizie (Sigrid Hofmquist), la petite compagne de jeux qu’il n’a jamais oubliée, quoiqu’il l’ait perdue, la jolie reine-enfant dont il acceptait avec
En Orient.
mettre en lumière le beau talent des artistes, auquel il faut rendre un hommage mérité. Jacqueline Logan se distingue surtout par un jeu égal et des plus ' impressionnants.
Avant de retracer à grands traits Jes phases du drame, disons encore combien la photo est au dessus de toute critique.
Voici le récit poignant et animé qu’évoque l’écran: Dick Heldar (Percy Marmont), jeune dessinateur qu’une petite aisance rend indépendant, est parti en amateur pour l’Egypte où les troupes anglaises font colonne. Remarqué par Torpenhow (David Torrence), correspondant de guerre d’un grand journal londonien, il est engagé aussitôt pour prendre des croquis militaires. Mais, dès la
allégresse l’esclavage amoureux de la douzième année, alors "que, tous deux orphelins, étaient la proie d’une gouvernante féroce désignée par un notaire indifférent. Et c’est ce nom: Maizie! qui, après vingt ans, au cœur du désert égyptien, revient obstinément sur ses lèvres' moribondes. Par miracle il en réchappe, revient à Londres où son talent est consacré par une vertigineuse renommée et y retrouve Maizie par hasard. Aussitôt, l’amour ancien ressurgit tyrannique et enlève momentanément à Dick le goût du travail: l’artiste abandonne ses toiles pour se vouer au culte de cette froide idole. Il la décide pourtant à retourner avec lui aux décors de leur enfance, espérant que l’évocatrice magie du paysage amollirait le cœur de la
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à tirer des effets d'un imprévu, dun grotesque parfois, mais toujours d’un réel humour, qui font rire aux larmes. On peut préférer à son genre, celui de Chaplin, de Jannings, de Vibert, — mais il est indéniable que dans son genre, qui s’apparente en. plus d'un point à celui de Linder, — il est inbattable.
Chacun de ces derniers films de cés trois dernières années, est là pour nous le faire voir.
Après Monte Ià-d'sus et Dr Jack, ses avant-dernières trouvailles, voici IVhy Worry qui vaut ses prédécesseurs. 11 est pourtant difficile de le prouver au cours d’une courte étude comme celle-ci, tant l’intérêt de l’action tient aux mille saillies, drôleries et jongleries dont le protagoniste émaillé son jeu.
Voici pourtant en résume, de quoi il s'agit:
On nous transporte dans le guêpier que constituent à l’état presque endémique, ces républiques sud-américaines où toujours les factions se livrent à des luttes souvent vaudevillesques, et parfois sanglantes.... Des chevauchées épiques, des conseils d’état-major, des uniformes chamarrés de généraux et de colonels, de grands sombreros clairs, des habits courts brodés sur toutes coutures: voilà ce qui constitue le cadre de l’action.
A cette action participe Harold Van Pelham, jeune, svelte, aventurier et riche jeune homme, qui consulte un nombre respectable de docteurs et de « nurses » chargés de veiller sur sa précieuse santé; celle-ci est parfaite, mais pour remplir ses loisirs, Harold se persuade qu’il est atteint de toutes les maladies imaginables, sauf la petite vérole.
C’est pourquoi, il soigne et recherche le climat des tropiques. Il débarque dans ces régions torrides, accompagné de l’infirmière attachée à sa personne et d’un domestique mâle. L’infirmière jeune et jolie ma foi, mettait toute son âme et tout son cœur — surtout son cœur — à s’acquitter de sa mission;
veiller à la bonne santé de Master Harold. Quand elle lui demandait de tâter son pouls, — son propre pouls battait la chamarde: car elle était vraiment malade, la pauvre enfant, le mal d’âmour tout simplement!
Le trio devait atteindre Paradiso. Ç’avait été endant longtemps un pays calme et enchanteur, justÿ a jour où Jim Blake, un aventurier américain, avait trouvé bon d’y combattre le gouvernement établi, aux fins de s’enrichir aux dépens du bon peuple. Ses cohortes avaient précisément pris pied dans la ville, au moment où Harold, ignorant tout de cette nouvelle guerre civile, débarquait l'âme sereine.
En moins de temps qu’il n’en faut pour le « tourner » notre jeune intrus est arrêté, et mis en cellule en compagnie de Colasso, un géant de la trempe de Maciste mais de mœurs un tant soit peu moins policées. On rom-/ t vite la glace, ce qui n’alla pas tout d’abord sans V change de horions, — mais bientôt les deux prisonniers en vinrent à s’estimer réciproquement et à faire alliance. Colasso se mit complètement à la disposition d’Harold auquel il ne demandait qu’à obéir.
Entretemps, la « nurse » de notre ami avait à se défendre des assiduités de Jim Blake; elle se déguisa pour lui échapper et se réfugia dans une hutte. Harold étant
parvenu à se joindre à elle, lui reprocha de s’amuser à jouer au bal masqué, alors qu elle aurait dû veiller sur sa précieuse santé.
Fureur de la jeune fille, qui n'accepte pas sans sourciller des reproches aussi immérités. La petite était très jolie, encore plus jolie que d’ordinaire, dans son courroux, et Harold admirait à l’envi son regard chargé de feux, et sa toute svelte petite personne, — lorsque Jim Blake apparut. Le révolutionnaire reconnut immédiatement sa prisonnière, malgré son déguisement masculin. Mais, à sa grande surprise, Harold, son puissant ami et sa « nurse » parvinrent à s’échapper à nouveau, et se prépa-
Où allez-vous après le spectacle???
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déguster ses vins fins
rèrent à combattre le trouble-fête de Paradiso.
Par ruse et par stratégie, le géant et ses deux alliés combattirent pour la bonne cause. Et notre Harold, tant il était pris par la conduite des opérations militaires, en oublia ses malaises, ses remèdes et ses pilules. Mais il se découvrit bientôt des atteintes d’un nouveau mal, le même dont souffrait la « nurse »: le cœur était atteint d’incurable façon cette fois. Pour mettre un baume sur la plaie, il ne restait plus qu’à demander les offices d’un bon clergyman qui voulut bien, lorsque les hostilités eurent cessé, unir l’heureux couple, devant Dieu et devant les hommes.
Harold Lloyd reste_ lui-même au cours de toute cette action: il est excellent comme toujours; ses partenaires, cependant, Jobyna (la nurse), John Aasen (Colasso), James Mason (Jim Blake) et quelques autres, sont dignes d’évoluer à ses côtés.
Et une splendide photo, limpide à souhait, ne cesse de régner sur la bande. MARNIX.
Une porte ouverte à tous les espoirs cinématographiques
« Le Bureau chargé de la distribution des rôles recevra toutes les demandes d'emploi, de 5 à 6”. » Ceci est imprimé en gros caractères à la porte du Bureau de Distribution des Rôles du Studio Paramount à Hollywood.
La découverte de Betty Bronson a amené les dirigeants de Paramount à examiner soigneusement toutes les demandes qui pourront leur être faites. Betty Bronson, choisie par Sir James M. Barrie our jouer le premier rôle de Peler Pan a donné espoir de faire des trouvailles parmi les inconnues. Miss Betty Bronson n’est pas la seule « trouvaille »; Mary Brian en est une autre. Cette dernière, incon-une jusqu’à présent, fut choisie parmi les meilleures actrices pour tenir le rôle de Wendy dans Peter Pan, rôle également très important.
* Notre Bureau de Distribution des Rôles recevra en particulier chaque nouveau venu demandant à travailler », a dit M. Jesse L. Lasky, premier vice-président des films de la Famous Players Lasky Corporation, mais, ajoute-t-il, « je ne saurais trop insister sur le fait qu'il n’y a qu'une seule personne sur 10.000 possédant les qualités requises pour faire du cinéma ».
« Nous ne conseillons à personne de venir à Hollywood. Ils sont rares ceux qui réussissent à se faire une situation dans le cinéma. Parmi tous ceux qui viennent à Hollywood, combien s’en retournent le cœur brisé. Je ne connais pas de carrière plus dure et plus décourageante que celle-ci, mais la découverte de Miss Bronson nous a déterminés à ne laisser passer aucune chance de découvrir d'autres étoiles parmi ceux qui ont confiance dans leur valeur.
Pour cette raison, nous avons décidé d’accorder une interview à tous ceux qui viendront à nous. Notre Bureau de Répartition des Rôles assume là une lourde tâche, mais il l’accepte gaiement.
Il est une chose que je voudrais que l’on comprenne, ajoute Mr Lasky, c’est que tous ceux qui viennent à Hollywood doivent avoir suffisamment d’argent pour attendre, un an peut-être, avant de tenir un rôle. Combien y en a-t-il qui ont dû attendre longtemps avant d’avoir une chance de « tourner ».
Tom White, le directeur du Bureau de Distribution des Rôles de Hollywood dit que son aide et lui verront tous les nouveaux arrivés.
« Personnalité », voilà la grande chose. Si le candidat ne possède aucune personnalité, aucun caractère, il n’a aucune chance pour lui. Si notre impression n'est pas favorable, il serait cruel de notre parti de l’encourager. De tous ceux qui seront inscrits, nous n’engagerons qu'une faible partie par semaine, mais nous verrons tous les nouveaux venus dans l'espoir dei trouver une autre Betty Bronson ou une Mary Brian ».
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venaient jurir sur où ils
Richard s’était réfugié dans la petite auberge des époux Huiler, là-haut, sur la montagne, parmi les hauts sapins des cimes neigeuses, où l’air plus pur, .tout’chargé d’oxygène, offre la vie aux poumons malades.
Des braves |
ces Huiler.
La mère, émue
l'affaissement profond du héros de la grande guerre — en avait-elle vu déjà de ces f garçons qui achever de i les hauteurs l_ croyaient trouver salut! — avait chargé l. fille Clarice du service du malade. Elle-même faisait souvent à son hôte des recommandations maternelles. « Mangez, mon ami, mangez. Tant que l'estomac est bon, il n’y a pas grand mal ».
L'estomac I songeait Richard. L’homme possède aussi d’autres viscères, des viscères plus nobles comme disait Cyrano, le cœur notamment.
Mais le cœur était malade autant que les poumons et l'estomac. Richard avait apporté de la vallée une blessure morale. Il se demandait si vraiment sa fiancée Suzanne restait fidèle à l’amour ancien, ou si, dans la vie artificielle et complexe qu'elle menait maintenant, il y avait place pour un amour sincère, loyal et profond.
Il souffrait.
Des jours et des nuits, il resta entre la vie et la mort, brûlé de fièvres, rongé de délires, perdu dans une grande détresse.
A son chevet une figure douce veillait.
C’était Clarice.
Clarice Huiler, comme une petite infirmière attendrie, n’avait pas quitté le lit de souffrances du jeune homme. Emue de pitié d’abord devant le jeune héros victime de la guerre, elle avait senti peu à peu un autre sentiment monter dans son cœur, un sentiment plus doux, plus tendre, auquel elle se livrait plus entièrement parce qu'elle éprouvait à s'y abandonner une joie nouvelle, inconnue jusqu’alors, et si frémissante qu’on eût dit une aurore de printemps rose sur les sommets neigeux.
Dès que Richard entra en convalescence.
mandation à Thotellière.
il s'aperçut vite de l'attrait qu’il exerçait sur la jeune fille. Lui-même, un peu par reconnaissance d’abord, un peu aussi par ce charme mystérieux d’un éveil d'amour qui appelle l’amour, se laissa doucement aller sur la pente. Il songeait bien encore à Suzanne. Mais Suzanne était loin, emportée par le tourbillon de la vie dansante et luxueuse, loin de la nature, parmi les complexités rares et précieuses d'une vie enfiévrée. Ici c’était la paix, la nature, la vérité. Là c’était le trouble, l’artifice, le mensonge. Sans doute on lui avait dit que Suzanne était venue le voir dans sa fièvre. Mais elle était redescendue vers la vallée.
Clarice était restée.
Elle l’avait veillé. Elle l’avait sauvé. Elle l'aimait.
— Cher, cher, je vous aime disait-elle, sa joue appuyée contre la sienne, dans une attitude charmante.
— Moi aussi, je t’aime,'Clarice, petite amie, répondait-il.
Et le mariage fut décidé ce jour-là.
Le même jour, dans la vallée, une autre scène réunissait Suzanne et l’ami de Richard, retourné lui aussi à l’hôpital pour y soigner ses blessures de guerre, toutes ses blessures.
— J’aimais, raconte-t-il, à la‘petite Suzanne qui l’écoute les larmes aux yeux. Comme mon ami Richard avait sa petite Suzanne, j’avais ma petite Marguerite. Nous étions au front. Nous nous battions pour notre pays, mais surtout pour elles,
pour leur faire un avenir heureux où nous aurions notre part, un avenir sûr de quoi abriter notre amour et son enfants.
Chaque fois que nous recevions une. lettre, c’était fête au cagna. Les Boches pouvaient nous bombarder, monter à l’assaut, que nous importait les Boches I Nous vivions là-bas au pays avec nos fiancées chéries. Leur pensée était avec nous dans la tranchée. Elle veillait comme une petite lu-mièrej ah 1 Suzanne écoutait, haletante, cette voix fiévrëuse où tremblait de l’engoisse.
— Et après? in-terrogea-t-elle.
— Après? Je
• suis revenu, commet
Richard et Clarise.
tous les combattants, chargé des lauriers de la gloire, pauvre d'argent. Nous avions pourtant le cœur plein d'une joie formidable et bienfaisante. Mais tout cela ne pèse pas grand'chose dans une petite tête qui sait calculer. Marguerite eut peur de l’avenir, sans doute, elle me reprit sa parole et elle épousa...
— Elle épousa?
— Un nouveau riche, un de ces êtres misérables qui surent monnéÇ'er les souffrances de leur patrie.
Le malade était retombé sur l’oreiller.
Un rictus de mépris barrait sa face pâle.
Suzanne eut peur.
Elle sortit.
Et voici qu'elle se mit ‘à songer à l’épouvantable destinée de cet homme, â sa cruelle déception, à son avenir vide de sens désormais. Il était ami de Richard. Elle du moins n’avait pas repris sa parole àRichard.Elle lui gardait sa foi. Elle l’aimait toujours.
Au loin la musique du bal défoulait ses gammés sautillantes, et l’invitait.
Elle l’aimait toujours.
Suzanne s'arrêta. Au'vrai l'aiipait-elle encore et agissait-elle du moins comme une fiancée qui aime son fiancé? Non. Elle ne pouvait se rendre cette justice. Elle avait eu tort de songer à son plaisir plus qu’à son amour. Elle avait eu tort de n’être pas au chevet de son ami qui souffrait dans la montagne.
Elle sentait bien tout cela et que pourtant elle aimait Richard. Et elle décida de redevenir la petite fille simple qu’il aimait et de l’aller retrouver tout de suite, là-haut, sur les sommets neigeux.
Pourvu que lui...?
Quand elle arriva, Richard et Clarice s'approchaient de l'autel dans la petite église où un prêtre allait les unir.
Un cri.
Suzanne tomba évanouie.
Quand elle reprit ses sens, une jeune fille en voile de mariée lui souriait avec des larmes dans les yeux et lui disait:
— Heureusement vous arrivez à temps. Votre place est auprès de Richard. Regardez-le. Il vient vers vous pour vous prendre.
Et la jeune fille en voile de mariée s'échappa de la petite chapelle où l’on entendit l’écho déchirant d’uq sanglot. Jean BLAISE.
Devant 1'
Confidences,
Souuenirs d’interuieurus
(Suite de la pagre 4.)
— Scénario?
— Scénario?
— Pas de scénario???
Ici, un ami obligeant traduisit nos conversations, réciproques, que je résumerai en français.
— Je ii’utilise pas de scénario écrit et découpé à
l’avance..
— Mais cependant..
— Je n’utilise qu'un résumé, et but condensé.
— Mais cependant..
— Car un metteur en scène ne peut prévoir toutes
les trouvailles que l’on fait en tournant un film.
— Mais cependant, les méthodes modernes....
— Nous employons donc un résumé et nous
improvisons au cours de la réalisation les innombrables gages et détails qui font tant rire et pleurer, le public.... (
— Et votre tendance à styliser vos décors?
— Evolution vers le film d’avant-garde à la fois
artistique et commercial.
Et vos décors formidables..
— Ne seront rien à côté de ceux de mes prochains films.
A' ce moment précis de notre conversation, je voulus amener Douglas à parler de philosophie et sciences.
Doug fut interrompu .à ce moment par une jeune fille sollicitant un autographe. Quelques confrères profitèrent de la diversion pour s'accaparer de Doug, qui de loin en loin me criait:
— N’est-ce pas, Mr W. B.
— Mais, oui, Doug.
— N’est-ce pas, Mr W. B-
— Mais, oui, Doug.
Comment ne pas donner raison à ce diable d’homme qui, rien qu'avec son sourire, vous aurait fait manger des cailloux au lieu de pain, et boire de l'eau au lieu de vin, tout comme aux noces de C-A-N-A.
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Scandale dans le Monde du cinéma en Amérique
« L’Idée par semaine » de M. Lucien Doublon, dans La Cinématographie Française, revêt ce s jours-ci la forme suivante:
Un scandale vient de révolutionner le monde du cinéma en Amérique.
Rudolph Valentino, ayant laissé pousser sa barbe, la mode nouvelle était lancée et les Américains suivant la nouvelle décision du Roi de la Mode, laissent pousser leur poil... au grand désespoir dés garçons coiffeurs jde la libre Amérique.
Ceci n’est pas uhe galéjade, mais la stricte vérité. A tel point qu’au cours d’une réunion du syndicat des coiffeurs, il fut décidé qu’une démarche pressante serait faite auprès de Valentino, afin qu’il se présente aux regards de ses admirateurs avec son habituel visage... rasé.
Un des syndicalistes se fit remarquer par sa véhémence et proposa de se mettre à la tête de la délégation qui s’en irait protester auprès de Rudolph Valentino. La proposition fut acceptée avec enthousiasme et Valentino accueillit avec un sourire les envoyés de la Sainte... Barbe qui venaient le mitrailler de leurs revendications.
L’élégant jeune premier, froidement, écouta les doléances des délégués et leur promit d’examiner dans un certain délai les protestations qui lui étaient soumises.
Mais, le plus véhément d’entre eux, déclara qu’il lui fallait une réponse immédiate.
Valentino s'inclina, les pria d’attendre quelques instants et disparut dans son cabinet de toilette. Cinq minutes après il reparaissait devant les » barbiers » impatients, mais complètement rasé. Ce fut un des plus grands succès de sa carrière. Son entrée en « scène » fut saulée d acclamations enthousiastes et, un quart-d’heure plus tard, les journaux annonçaient par des éditions spéciales successives, et la démarche des « raseurs » et la capitulation de Valentino.
Pendant huit jours, les salons de coiffure n’arrê-
jrent pas de travailler à... pleins bras.
Mais un journaliste malin éventa la mèche et révéla que c’était tout simplement une affaire de publicité et que le délégué « véhément » du syndicat des coiffeurs n’était autre qu’un « publicityman » habile, familier de Rudolph Valentino.
On rigola pas mal de New-York à Los Angeles, mais le coup était porté et la... copie gratuite insérée et publiée à des millions d’exemplaires.
Voulez-vous que nous fassions ce petit truc en France et que nous nous mettions d'accord avec Mathot qui porte les cheveux longs en disant à ses admiratrices: « Dorénavant, la mode n’est plus aux cheveux courts, il faut avoir le crâne rasé et qui plus est, passé au papier émeri! Mathot en a décidé ainsi».
Je parie avec vous que personne ne marchera, sauf les habituées de l’hôpital Saint-Louis auxquelles on polit le Crâne dans un but hygiénique.
Nous ne sommes pas habitués en France, du moins pas encore, à ces facéties, mais soyez certains qu'on y arrivera petit à petit.
En attendant, je propose que les directeurs de cinémas se tiennent dorénavant sur le seuil de leurs établissements et qu'ils aient tous une corde au cou. Ils attendront dans cette position l’arrivée du contrôleur de l'Assistance publique qui n’aura plus qu’à serrer le nœud coulant.
Lucien DOUBLON.
Notre dessin ne reproduit pas un accident aux suites fâcheuses, mais il s'en fallut de peu que ce ne fut le cas. La scène reproduite ici est en effet extraite de “ A Gaichy Gril „ dans lequel Mary Philbin joue le rôle principal. La chute du lustre-géant sur le parterre d'un grand théâtre, faillit coûter la vie à de nombreux figurants et à un artiste de premier plan.
Impressions d’un photographe sur les “ stars „ de Paramount.
L’homme qui connaît et comprend les femmes est à Hollywood: c ’est Kenneth Alexander de New York qui, depuis vingt ans. à part les années de guerre ou il servit dans la marine comme premier photographe, ne photographie que des femmes. Les hommes, il s’y refuse... mais il a étudié des milliers de silhouettes féminines au travers de la lentille de son appareil.
Non seulemeut il connaît les femmes, mais il veut dire ce qu’il connaît d’elles, et de chacun de ses sujets, il donne une libre et franche analyse.
Pendant cinq ans, il étudia les beautés d’Hawaï. Lorsqu’il vint en France, les plus jolies femmes de la capitale passèrent devant son objectif, puis ensuite celles de New-York, et maintenant il est en train d’en-
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Son remarquable talent a été consacré par les nombreuses médailles qu’il a obtenues l’an passé à l’Exposition internationale des Arts et Métiers, à New-York.
La pemière femme qu’il photographia à son arrivée à Hollywood, fut Pola Negri. La jolie artiste abandonna son travail au studio Paramount où elle tournait Forbidden Paradise et consacra une matinée à une séance de pose. Voici les impressions d’Alexander sur elle; “ Miss Negri a des yeux d’une expression extraordinaire; c’est une artiste consommée et elle a la vocation du cinéma. On peut lire toutes ses pensées dans son regard qui révèle une nature d’une sensibilité intense „.
De Betty Compson, il dit: „ Miss Compson est douée d’une clairvoyance rare. Si elle avait choisi une carrière dans les affaires, elle aurait certainement réussi aussi bien qu’au cinéma. De sa beauté, je ne puis rien dire, elle est trop connue pour mériter des commentaires de ma part „.
La physionomie d’Agnès Ayres dénote une grande intelligence, nous dit Alexander. Elle a un très grand sens des affaires, tout en gardant un caractère excessivement renfermé
Alexander fut particulièrement enthousiaste sur le choix de Sir James Barrie pour l’adaptation à l’écran de ‘Peter Pan: sur les 17 ans de Betty Bronson, mais il hésita beaucoup à dire ce qu’il pensait d’elle. “ Je crains de n être pas compris, dit-il. Je trouve que Miss Bronson a dans les yeux une expression vieille, et ceci est surprenant chez une jeune fille de 17 ans. Vieux ne signifie pas expérience. Je veux dire que son regard dénote une intelligence et une compréhension des choses rares à cet âge. Et c’est pourquoi Barrie a choisi entre mille cette rayonnante jeunesse à la nature grave et réfléchie
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