Programme de 29 avr. à 5 mai 1932



Livret de programme

Source: FelixArchief no. 1968#758

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Vendredi nn Samedi 7A avril Vrijdag Zaterdag April

Programme 35 Speelwijzer

Zont

1. De kleine Karavaan

Onze broeders, de Apen, spreken....

2. Eclair-Nieuwsberichten

Aktuaiiteiten op den klankfilm

3 Hollandsche Saus

Klankteekenfilm

Europa's laatste Pelikanen

Dokumentarische film van de kultuurafdeeling der U. F. A.

POOS

1 La petite Caravane

Nos frères, les Singes, qui parlent...

2. Eclair-Journal

Actualités sonores

3. Sauce Hollandaise

Dessin animé sonore

4. Les Derniers Pélicans d’Europe

Documentaire du service scientifique de l’U. F. A.

Pendant l’entr’acte - Audition de disques Tijdens de poos - Uitvoering van grammofoonpl. P A HE.OPHONTS LE CHEMIN DU PARADIS N« 17078 B DE WEG naar het PARADIJS

Tout est permi» quand on rêve

GASPARONE N° 48107 B GASPARONE

Pot-pourri sur l'opérette de Fantazie op de operette van

C MILLÖCKER

5. La Maison de la Flèche 5. Het Huis met den Pijl

Film parlant français Fransche spreekfilm

d'après le roman de naar den roman van

E. W. MASON

Réalisation de Verwezenlijking van

HENRI FESCOURT

Langeac. DRAMATIS PERSONÆ Léon MATHOT

Boris Waberski Maxudian

Ann Upcott Alice Field

Bettv Harlowe Annabella

M me Harlowe Jeanne Brindeau

Francine Juliard Nadia Debory

Jim Frobisher Gaston Duprav

Bex. Desfontaines

Thevenet De Garcin

Girardot. Robert Casa


LA MAISON DE LA FLÈCHE

Depuis quelque temps des lettres anonymes circulent dans la ville de Dlijon, où elles ont déjà provoqué plusieurs drames, plusieurs suicides. On n a jamais pu mettre la main sur l’auteur de ces lettres, qui semble un maître-chanteur très au courant des scandales de la ville.

Au moment où 1 action commence, une très riche Anglaise, domiciliée à Dijon, M!m

50.000 francs sur le secrétaire de son salon; si elle n obéit pas, des lettres compromettantes établissant qu elle fut la maîtresse de feu Simon Harlowe, avant de devenir sa femme, seront répandues dans tout Dijon.

La vieille dame ne se laisse pas intimider. Elle soupçonne son beau-frère, Waberski, d’être l’auteur de ce chantage; elle confie ses soupçons à sa filleule, Betty, qui constitue avec Waberski son unique famille; elle semble craindre qu’il n’y ait collusion entre Waberski et Ann Upcott, la demoiselle de compagnie de Betty.

Ce soir-là, Betty doit se rendre au bal en compagnie de son fiancé, le jeune avocat Maurice Thévenet. Elle part. Il ne reste dans la maison que Mme Harlowe, Ann Upcott, la garde et une femme de chambre.

Le lendemain matin, on trouve Mme Harlowe morte dans sa chambre.

La mort a paru naturelle, et le médecin a délivré le permis d’inhumer. En effet, MUHarlowe s'adonnait à la boisson et il paraît normal qu’elle ait succombé à une crise cardiaque.

Pourtant, quelques jours plus tard, Waberski, furieux de se savoir déshérité au profit de Betty, accuse celle-ci d'avoir empoisonné Mme Harlowe.

Les scellés sont aussitôt apposés sur un certain nombre de pièces, et 1 affaire est confiée à Langeac, directeur du Service des recherches, qui se rend aussitôt à Dijon, en compagnie de Jim Frobisher, l’avoué de Betty, chargé de ses intérêts en Angleterre.

L’enquête commence; l autopsie confirme qu’il n y avait aucune trace de poison dans le corps de Ml“16 Harlowe, mais à ce moment Langeac déclare formellement que M“e Harlowe est morte empoisonnée et qu’un crime a été commis dans cette maison. C’est que Langeac a découvert dans la bibliothèque un livre, publié récemment, où il est question d’une certaine flèche imprégnée de strophantus, le poison mortel des Indiens; une note de Fauteur indique que cette flèche-poison appartient à Simon Harlowe, de Dijon, et i que le poison de la flèche peut garder toute sa virulence pendant plus de quinze ans. Langeac affirme que Mmt Harlowe a été tuée à l’aide de cette composition, qui ne laisse aucune trace dans l’organisme.

Qui a pu commettre ce crime? Waberski affirme qu il était allé pêcher la truite aux environs de Dijon; malheureusement pour lui, personne ne l’a vu.

Ann Upcott déclare que, s étant endormie dans la bibliothèque, elle a entendu des voix dans la chambre de M!““ Harlowe à 10,30 h. Elle a cru que la garde et la femme de chambre lui faisaient encore une piqûre pour prévenir une crise alcoolique; elle s’est enfuie pour ne pas entendre les cris de douleur de la patiente, s’étant déjà évanouie deux fois à la vue de ce spectacle.

Seule, de toutes les personnes qui avaient intérêt à la disparition de MP“e Harlowe, Betty possède un alibi indiscu-

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table. Si un crime a été commis, il l'a été à 1 heure indiquée par Ann Upcott, qui a remarqué l’horloge placée sur le secrétaire: il était 10,30 h. C’est à ce moment qu elle a entendu les voix de deux personnes occupées à dégriser Harlowe; or, Thévenet a ramené Betty du bal à

Néanmoins, Waberski persiste dans son accusation: c’est Betty qui a empoisonné Mme Hailowe à l’aide du poison de la flèche, et ce poison a été préparé par un chimiste besogneux de Dijon, Jean Cladel.

Langeac et le juge d’instruction décident de se rendre immédiatement chez Jean Cladel; mais ils y arrivent pour entendre un cri d’agonie; un homme vient d’être assassiné à quelques pas d’eux. Ils enfoncent la porte: Trop tard! L’assassin s’est enfui par une autre issue; il a eu le temps de jeter le cadavre dans une automobile et de s’enfuir.

Qui donc Jean Cladel a-t-il tué? Quel témoin gênant a-t-il voulu supprimer?

A la stupéfaction du juge d’instruction et du commissaire, Langeac déclare que le criminel est toujours à Dijon et qu’il ne manquera pas, dans les 48 heures, d’essayer de commettre un autre crime, afin de réduire au silence celui ou celle qui, par une involontaire déclaration, risquerait de le désigner à la justice.

A ce moment, tous les soupçons se portent nettement sur Ann Upcott et sur Waberski. Ann Upcott, craignant d’être arrêtée, supplie Betty de l’aider à s’enfuir. La jeune fille, émue par les prières de sa compagne, consent; il est convenu qu’avec l’aide de Thévenet, tous deux conduiront Ann Lîpcott à un endroit d où elle pourra facilement, par avion, regagner l’Angleterre.

Langeac les laisse partir tous les trois. Waberski, mystérieusement, s’élance à la

poursuite de l’auto. Langeac sait maintenant que les criminels ne peuvent plus lui échapper, car il a, dans l’intervalle, découvert leur secret; il entraîne avec lui lavoué Frobisher. Tous deux rentrent dans la villa déserte; là, Langeac découvre à Frobisher un passage secret qui mène à une villa mitoyenne. Cette deuxième demeure appartenait également à Simon Harlowe et était abandonnée depuis sa mort. Ils y découvrent la machine à écrire avec laquelle furent tapées les lettres anonymes dont Dijon était infesté. Ils y découvrent le cadavre de Jean Cladel, assassiné la veille par les véritables coupables; ils y découvrent enfin la solution de strophantus et la seringue, qui attendent la dernière victime.

Une demi-heure plus tard, Thévenet et Betty surviennent dans cette deuxième villa; avec l’aide de la femme de chambre ils y transportent un corps inanimé: celui de Ann Upcott, qui, par ses déclarations, risquait d’indiquer, involontairement, au juge d’instruction les véritables coupables: Betty, et surtout Thévenet, jeune arriviste dénué de scrupules, et qui n’avait pas hésité, pressé par des besoins d’argent, à commettre ces forfaits.

Tous deux, ainsi que la femme de chambre, sont immédiatement arrêtés. Waberski revient, la figure ensanglantée au cours d’une rixe où il avait tenté de défendre Ann Upcott; et seul un détail reste obscur: l’alibi invoqué par Betty Harlowe; celle-ci, étant rentrée à 1,30 h. du matin, n’avait pu commettre le crime qu’Ann Upcott affirmait avait dû être perpétré à 10,30 h.

Cette dernière explication est fournie par Langeac. Ann Upcott avait vu dans une glace l’horloge que Mf1“ Harlowe avait déplacée quelques heures auparavant, et le renversement des aiguilles avait causé cette erreur.


HET HUIS MET DEN PIJL

Een zeer rijke Engelsche dame, Mrs. Harlowe, wonend te Dijon, ontvangt op zekeren dag een naamloos schrijven, waarin geëischt wordt dat zij, den-zeifden avond, een som van 50.000 frank op haar lessenaar neerlegge. Zooniet zullen in de stad brieven verspreid worden, waarin haar verleden wordt blootgelegd. Zij stoort er zich niet aan en verdenkt haar zwager Waberski ervan de bewerker van deze schanddaad te zijn.

Aan haar pupil Betty — die met Wa-berski haar eenige familie uitmaakt openbaart zij haar vermoedens en verdenkt tevens Ann Upcott, Betty’s gezelschapsdame, van medeplichtigheid. Dienzelfden avond gaan Betty en haar verloofde, Maurice Thévenet, een jonge advocaat, naar een bal. In het huis blijven achter: Mts. Harlowe, Ann Upcott, de op-paster en een kamermeisje.

Den volgenden morgen vindt men Mrs. Harlowe dood in haar kamer. Natuurlijke dood, zegt de dokter: hartaderbreuk.

Nochtans, enkele dagen later, wanneer Waberski verneemt dat hij onterfd is, beschuldigt hij Betty Mrs. Harlowe vergiftigd te hebben.

Langeac, directeur van den Opsporingsdienst, komt naar Dijon, in gezelschap van Jim Frobisher, zaakgelastigde van Betty in Engeland. Alhoewel de lijkschouwing geen enkel spoor van vergift aangeeft, verklaart Langeac zonder omwegen dat men vóór een misdaad staat: een moord door vergiftiging en wel door een vergift dat geen sporen nalaat: de strophantus, het gift der Indiërs, hetwelk werd bewaard in een pijl welke Simon Harlowe had medegebracht van zijn wereldreizen.

Het toeval had Langeac met deze bi-zonderheid in kennis gesteld. Wie bedreef

den moord? Waberski beweert dat hij gaan visschen was op den beruchten dag, in de omstreken van Dijon, doch niemand kan het bevestigen.

Ann Upscott was in slaap gevallen in de bibliotheek en schoot wakker door t hoo-ren van stemmen in de kamer van Mrs. Harlowe, rond 10,30 u., doch zij was weggevlucht. Betty alleen kon een onweerlegbaar alibi opgeven. Otn 10,30 u. was zij in het bal en Thévenet bracht haar naar huis om 1,30 u.

1 och blijft Waberski bij zijn beschuldiging: het gift werd bereid door een chemist uit Dijon: Jean Cladel.

Wanneer Langeac bij dezen binnenvalt, hoort hij nog slechts een kreet: Een man werd vermoord! Men beukt de deur in. 1 e laat! De moordenaar is reeds heen en voerde het lijk mede, langs een achterdeur, in z’n auto.

Ann Upcott, vreezend aangehouden te woiden, smeekt Betty ze te helpen vluchten. Betty en Thévenet voeren ze per auto weg. Waberski zet hen echter achterna.

Intusschen heeft Langeac een geheime gang ontdekt, voerend naar een verlaten villa, naast cjeze van Mrs. Harlowe. Hij ontdekt er de schrijfmachine waarmede de dreigbrieven werden getypt, het lijk van Jean Cladel en een dosis strophantus, voor het laatste slachtoffer.

Een half uur later komen Thévenet en Betty in de villa, meevoerend de bewuste-looze Ann Upcott.

Waberski keert, kort daarna, terug met bebloed hoofd: in een woest gevecht heeft hij getracht Ann Upcott te verdedigen.

Betty en Thévenet worden gedwongen hun misdaden te bekennen en worden aangehouden, en de kamermeid, medeplichtige, deelt hun lot.

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Le Chemin du Paradis

De Weg naar het Paradijs

d'après le scénario de naar het scenario van

FRANZ SCHULZ & PAUL FRANK Réalisé par verwezenlijkt door

WILHELM THIELE & MAX DE VAUCORBEIL Musique de Muziek van

WERNER R HEYMANN

LILIAN HARVEY

Lilian Bourcart

René LEFEBVRE Jean Henry GARAT Willy Jacques MAURY Guy

Gaston JACQUET M. Bourcart Olga TCHECHOWA Edith Jean BOYER L'Huissier - Deurwaarder

Danses réglées par - Dansen geregeld door Orchestre de - Orkest van HEINZ LINGEN LEWIS RUTH Comœdian Harmonists


C 'est bien le film qui a remporté un succès aussi formidable que mérité: sa carrière est tout simplement triomphale. Dans tous les pays du monde il fut une véritable révélation: le prototype

d’une nouvelle formule cinégraphique. Il est et reste l’effort le plus intéressant dans la voie de l’opérette filmée. 11 grouille de trouvailles visuelles et sonores. Il constitue un spectacle charmant, étourdissant: feu d’artifice d’esprit, de vie, de mouvement, où tout est bien, sans longueur, sans ennui, où tout est gai, alerte, plein d imprévus et de situations cocasses.

Et quelle musique îavissante! Les quatre chansons du film: « Avoir un bon copain », « Tout est permis quand on rêve », « Pourquoi sous le ciel bleu? », « Les mots ne sont rien pour eux-mêmes » ( 1 ) sont sur toutes les lèvres, de par leur irrésistible mélodie, car la musique de Werner H. Heymann, tantôt gaie, tantôt tendre et

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touchante, est toujours charmante et parfaitement enregistrée.

Le Chemin du Paradis est encore jusqu’à ce jour la fantaisie musicale la plus originale et la plus entraînante.

Est-il nécessaire de rappeler les interprètes hors pair de cette production hors série?

La ravissante Lilian Harvey, chanteuse, danseuse, fantaisiste, artiste complète: véritable apparition d’un monde délicieusement irréel, fée moderne... !

Henri Garat, qui doit au Chemin du Paradis sa... marche vers la gloire et qui s est révélé un des jeunes premiers les plus sympathiques et les plus méritants.

René Lefebvre, Jacques Maury, Olga Tchechowa, Jean Boyer, tous rivalisent de talent et de bonhomie.

Qui ne voudra pas revoir Le Chemin du Paradis?

( 1 ) Sont en vente dans la salle.


De WEG naar het PARADIJS

Deze bekoorlijke weg, welke wel door iedereen wil opgegaan worden, is ook voor de rolprent een gansch nieuwe en succesvolle weg: de weg van de integrale filmoperette. Geen bewerking van een bestaand tooneelspel, doch een voor den film uitgedachte en alleen door den film te verwezenlijken opgave...

Een opgave die door en door modem is, en deze maal niet door den naam alleen. Inderdaad het is niet voldoende opdat een operette modern zij, dat zij door een tijdgenoot geschreven werd. Hoeveel worden er niet samengesteld, die met modern in den waren zin van het woord niets te maken hebben, omdat zij niet geboren werden uit den geest en de eigenaardigheid van dezen tijd?

Met « De Weg naar het Paradijs » staan wij alleszins vóór een onvergelijkelijk modern element, vermits gansch de verwikkeling loopt rond een naftehouder en auto’s.

Doch daarrond: welke fantazie, welke humor! Muziek, dans, rythme. Het spettert ervan, van het eerste tot het laatste tooneel...

D'aarbuiten, vóór de kleine tank, zingt Lilian Harvey een dans-blij duet met Henry Garat, afgewisseld met een two-step, en begeleid door het getoet van den klaxon: het naturalistisch filmbeeld, in pikant getrippel, met dans en refreinen! Drie jonge vrienden, die niets meer bezitten, dansen door de ledige kamer. De deurwaarder kan die alles beheerschende

dansmaat niet weerstaan en de meubels vliegen als vanzelf weg door de realistisch gefotografeerde lucht. Sjouwers in koor, bedienden in ganzenpas, diie bestuurders die, muzikaal, hun wetten opleggen, het gansche gezelschap schijnt het zwaartepunt veiloren te hebben.

Dat drie jonge lieden het zelfde jonge meisje liefhebben, dat heeft men reeds gezien; maar dat gansch het ensemble bij het slot een finaal uitvoert, waarbij de dikke rechter in den dans geraakt en het personeel unisono cprukt, dat is waarlijk een nieuwigheid voor den toonfilm.

Het is een lustig moment, een zoeken naar een nieuwen vorm, eenigszins aan-vet want .met de Fransche operette.

Gansch de handeling is zóó frisch, zóó levendig, zóó geestig, zonder eenige overdreven sentimentaliteit, en toch doorweven met een fijn gevoel, dat men onvermijdelijk onder de bekoring komt van deze filmoperette. Wat een jeugd, welle een gracie bij de vertolkers, die het spel ophouden met een spettering van blijmoedige, nooit falende opgetogenheid, welke spontaneïteit in die rythmen, die zich aan elkaar schakelen tot een geheel van verbluffende opgewektheid.

Dó film, verwezenlijkt door Wilhelm I hiele die ons reeds « Liefdewals » had gebracht -— in samenwerking voor deze Fransche versie met Max de Vaucorbeil, wemelt van visueele en klankvondsten, brengend bekering en vreugde, als in een roes.


Lilian Harvey is de verrukkelijkste, de snoezigste Lilian die men indenken kan, die speelt, zingt en danst om van te snoepen, die, zonder vrees voor tegenspraak, met dezen weg naar het paradijs een nieuwen weg naar den roem opgaat.Ook Olga Tchechowa heeft een zoo verleidelijke stem als zij verleidelijke oogen heeft.

Henri Garat, René Lefebvre en Jacques Maury maken een trio uit, vol fantazie en soepele jeugd. Zij spelen met evenveel losheid, als zij zwierig dansen. En al de andere rollen zijn in niet minder goede handen.

Buitendien werd deze operette luxueus aangekleed, zoodat men ook de oogen den kost kan geven.

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Pendant les prises de vues d’„ Autour d’une Enquête

« Parvo T » n’est pas le nom de quelque star exotique. Et cependant il ne fut question que de ça dans les studios de la Ufa, de Neubabelsberg. « Parvo T» est un nouvel appareil de prises de vue qui a été expérimenté pratiquement pour la première fois, il y a quelques mois, à la Ufa, On s'en est servi pour le film d'Erich Pommer: « Autour d’une Enquête », qui a été réalisé par le metteur en scène Robert Siodmak, avec la collaboration d’Henri Chomette.

« Parvo T » a l’aspect de quelque puissant animal qui, dans un silence absolu, peut remuer une énorme tête mécanique (dans laquelle l'appareil est caché à l'abri de tout bruit). Tous les mouvements peuvent se faire automatiquement dans toutes les directions et sans aucune aide étrangère. 11 suffit d appuyer sur un levier et voilà notre animal qui se met à marcher et même danser, si telle est la volonté du metteur en scène. Une plate-forme cette machine est d’assez grandes dimensions — donne place au metteur en scène, ainsi qu'à l’opérateur, qui, à l'aide d’un viseur, peut contrôler les images que prend « Parvo T » au cours de ses inquiétantes pérégrinations dans les coulisses. L objectif est préservé par un verre aux dimensions énormes, qui semble être l'œil largement cuvert d’un monstre. Voulez-vous voir battre son cœur brillant comme de l'acier? Vous n avez qu à ouvrir un clapet qui est disposé le long de son gros ventre noir.

« Elles ne sont pas de très bon goût les pièces que « Parvo T » doit traverser à la hâte (car, bien entendu, il peut courir également). Ce sont des chambres surchargées d’étoffes et de tableaux inutiles dans lesquelles habitent deux demoiselles.

De banales maximes brodées au canevas! sont suspendues au-dessus du lit: « Ré- j pandez autour de vous les fleurs de j l'amour, et vous préserverez un cœur de j toute peine ». A vrai dire, les occupants j de ce logement ne paraissent pas vouloir | prendre ce précepte en considération, car ( il règne dans ces deux pièces une atmos- ) phè re de violente surexcitation. Une gra- j

cieuse jeune fille se tient près de la porie, en chemise de nuit de soie rose. Gautier Grouls, de fines lunettes de métal sur le nez, protégeant son ventre avec un chapeau melon norr, se trouve là également, en compagnie de Colettt Darfeuil. Tous deux attendent leur réplique, tandis que, dans la pièce d à-côté, la jeune comédienne Odette Florelle fait une scène à Pierre Richard-Willm.

« Parvo T » est là aussi le long d un

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mur et attend également la réplique pour fixer les gestes de ces scènes très animées, dont trois microphones recueillent les paroles. C’est Siodmak qui règle le jeu: « C est ici qu'il faut vous tenir quand vous commencez, et ensuite, vous courez là-bas vers la porte ». L’opérateur Tschet installe « Parvo T ». Autrefois 4 hommes au moins étaient nécessaires pour une pareille prise de vue. Et les rails de bois qu il fallait placer dans la coulisse étaient la terreur de tous les écouteurs du sonnen raison du crissement des roues du véhicule supportant l’appareil.

« Allez -y! » crie le metteur en scène. Et Pierre Richard-Willm, au milieu de; la pièce, commence: « Laisse-moi donc partir, Etna! Lorsque j’aurai de l’argent, je te rendrai tout. Je ne veux pas de tes cadeaux ». Erna le toise de la tête aux pieds et, très excitée, piaille: « Pas de cadeaux? » Elle lui arrache sa cravate. « Pas de cadeaux?» Elle 1 attrape par la manche. « Pas de cadeaux? » Elle lui déchire la manche de sa chemise; un bouton de manchette roule à terre. « Dis-moi, quelle est cette femme? Dis quelle est cette femme? » Et une chaise tombe avec fracas. « Laisse-moi tranquille! » crie Pierre Richard-Willm en courant vers la porte auprès de laquelle se tient la jeune fille en chemise de nuit. « Laisse-moi tranquille, je te répète... » Et...

... comme si une formule magique était venue le délivrer de sa douloureuse immobilité, voilà « Parvo T » qui lui court après, sur ses pieds caoutchoutés comme les pattes d’une tortue. Le microphone transmet des cris de femme à la camera des sons, auprès de laquelle se tient le maître Thiery. Les artistes se précipitent vers la porte. Le gros bonhomme cache peureusement son visage derrière son chapeau. « Parvo T » se met à leur poursuite

avec sa sinistre tête de cyclope. 11 roule, il galope à travers l’appartement, puis il se penche et s arrête finalement à une certaine distance des artistes au bord de l’escalier.

« Et maintenant, la version allemande! » annonce Siodmak. « Parvo T » retourne dans la pièce d’où il est parti. Dteux électriciens sont en train de ramasser un bouton de manchette qu’ils ont trouvé sur le plancher, a Çà, mon vieux, c’est le man-chin qui va le rendre suspect, c’est la pièce à conviction », explique l’un des poseurs de câble à son camarade. Et il remet à Pierre Richard-Willm cet important accessoire. «Parvo T» attend qu’arrive à nouveau sa réplique — en allemand cette fois.

Les Allemands commencent à jouer. Gustav Fröhlich a pris la place de Pierre Richard-Willm et Fraulein Meinhardt a remplacé Colette Darfeuil en face de « Parvo T » et, derrière la porte, M. Gautier Grouls s est transformé en Jacob Tiedtke. « Lass mich, Erna! » crie 1 Allemand et « Parvo T » donne alors signe de vie. L opérateur Tschet a mis le contact. Il se déplace avec la machine et de nouveau recommence le voyage à travers la pièce dans laquelle le Grouls allemand tient devant sa figure un autre chapeau noir. L’arrêt a lieu cette fois encore à 1 entrée de l’escalier, où le dernier microphone capte le bruit des pas du jeune homme qui s’enfuit.

Erich Pommer, installé dans une coulisse latérale, son éternel chapeau gris largement enfoncé sur la nuque, donne de la tête comme s’il pensait que cette affaire ne lui inspire pas confiance. Et il a bien raison. Car dans la scène suivante, on trouve Erna morte dans sa chambre. Et non loin du cadavre, on découvre le bouton de manchette qui a été arraché...

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DE FILMA

De jonge man bezit alle hoedanigheden, noodig om een volmaakten film-- held te zijn: hij is groot, slank, zeer innemend, in één woord: een sympathieke verschijning...

Hij is trouwens een bekende uit Filmland. Maar nooit zal men hem op het doek zien. Ternauwernood wordt zijn naam vermeld, vooraan in den film, onder de rubriek: Schermen. Als het dan nog niet vergeten wordt!

En toch: het is een heele iemand.Want zijn taak berust niet alleen bij het samenstellen der architectonische motieven voor den film. Hij is de man tot wien men zich wendt wanneer het noodig is, zooals in (( De Tien Geboden », dat de Roode Zee zich opent om de Hebreeuwen toegang te geven naar het Beloofde Land en zich sluit over de Egyptenaren die ze achtervolgen; zoo ook wanneer de aarde zich openen moet als in « De Koning der Köningen » of een Zeppelin in volle vaart moet in tweeën breken als in « Madame Satan ».

Hij moet niet alleen een hoofd hebben vol fantazie en alle mogelijke filmtruks uitdenken, maar hij moet ook de nauwkeurigste berekeningen en wekenlange voorstudies op zich nemen. Speciale machines moeten gebouwd, honderden materialen onderzocht en beproefd, mathe-matisch-juiste formules opgezocht, wil men bij zulke opnamen alle ongevallen vermijden.

« Personen met eerlijke kunst-ambities vinden in den film doorgaans bevredigende verwezenlijkingen », verklaarde onlangs een der sterkste persoonlijkheden uit de film-architectenwereld: Leisen Mitcholl, degene wien men de heerlijke scheppin-

RCH1TECT

gen van Douglas Fairbanks Dief van Bagdad en Ramon Novarro s Zanger uit Sevilla dankt.

Want meestal beperkt de architect zich niet tot het ontwerpen van t kader waarin de handeling moet plaats vinden, maar ock de schetsen der kostumes worden veelal door hem bezorgd, hetzij voor geschiedkundige onderwerpen, baltooneelen of komische r evuetafereelen. Men kan alzoo indenken hoe verscheiden zijn arbeid kan zijn!

Maar hij moet ook ingewijd zijn in de geheimen der filmfotografie, wijl hij weten moet, zoo juist mogelijk, wat een camera opnemen kan en wat zij niet opnemen kan. Want zooniet is alle moeite tevergeefs geweest!

Zooals alle andere vakken in Filmland is ook dit van architect juist het tegenovergestelde van een « rustpost ». Zij die denken, op welk gebied Ook, een prettig leventje te leiden, flirtend met de stars, om tusschendoor even te gaan kijken of de schrijnwerker of de machinist de bevelen hebben uitgevoerd, deze hebben het mis.

Want in werkelijkheid wordt een ononderbroken intensieve arbeid van twaalf, deitien, ja, zelfs vijftien tot achttien uren per dag gevergd, wanneer met de opnamen van een film begonnen werd.

Maar men beleeft voldoening aan de gedane prestatie, wanneer men beseft dat, wanneer een film inslaat, dit niet uitsluitend te danken is aan de vertolking, doch ook — en dikwerf in zoo hooge mate — aan de insceneering, voor dewelke de architect de rechterarm is geweest van den regisseur.


Vedettes en location

HOLLYWOOD

Etoiles filantes

Un Nouveau Business

La location des « stars » devient maintenant chose commune dans la cité du cinéma. Les grandes vedettes de lécran ne sont plus aussi jalousement gardées que par le passé. De leur côté, les stars ne craignent plus autant de compromettre leur nom dans une production de qualité médiocre, et il arrive même qu’un premier rôle prêté par une firme est devenu célèbre au cours de cette fugue...

On se montre aussi moins anxieux au sujet du prix de la location. Auparavant, celui-ci n était guère que de 25 % au-dessus du salaire habituel. Maintenant, on paie volontiers le double et même le triple. Conrad Nagel est un des artistes les plus « loués » et de ce fait il bat le record du nombre de rôles: 28 en deux ans, sur lesquels cinq seulement pour la « Metro-Goldwyn», Lewis Stone et Ern. Torrence naviguent d'un studio à l’autre; lorsqu’ils ne sont engagés ferme, que par un seul.

Jadis, l'idée de changer de studio aurait rempli d’effroi une «star» et maintenant il en est comme John Bolls, qui déclarent: « Pourquoi pas? Il est préférable de travailler n’importe où que de ne pas travailler du tout et de recevoir un salaire pour se reposer ».

Il n’est pas rare de rencontrer un véritable commerce d’échanges. C’est ainsi que Pathé « Exchange », parbleu! a loué Anne Harding, à Warner Bross, pour son salaire habituel, plus 20.000 dollars au comptant.

D’autre part, Pathé a reçu en location le metteur en scène Al. Green. Fox ayant besoin de Constance Bennet pour « Common Clay » a dû donner en échange Edmund Lowe.

Les Etoiles d’Hier

Quand les étoiles du film arrivent à leur apogée, tout le monde les jalouse. Les journaux sont remplis de leurs faits et gestes et trompettent à travers 1 univers leur gloire.

Mais rien n’est plus factice, plus périssable que cette renommée, et il est surprenant avec quelle îapidité cette gloire décline.

Quelques-uns: Milton Sills, Lon Chaney, Valentino, Lya de Putti, Max Linder, Anita Berber, Barbara la Marr, sont partis pour le voyage dont personne ne revient.

Mais les autres sont à suivre dans leur vie parfois pleine de désillusions!

Betty Blythe et Charles Ray sont presque oubliés. Julianne Johnston, la brillante princesse du « Voleur de Bagdad », danse dans les hôtels et clubs de nuit en province. Dorothy et Lilian Gish ont encore un peu de succès sur les théâtres de Broadway. Lilian était trop grande artiste!

D’autres ont jugé prudent de chercher une fin dans le mariage, comme Olive Börden, Florence Vidor et May Mc Avoy.

Parmi celles qui ont eu la bonne idée de faire des économies, se trouvent Norma et Constance Talmadge. Cela leur permet de vivre tranquillement.

Le fameux cow-boy William Hart a fait acquisition d'un ranch, qu’il exploite lui-même.

D1’autres n’ont pas eu les prévisions nécessaires pour 1 avenir et on voit, parmi les comparses, des figures vidées ou flétries qui, il y a seulement quelque temps, souriaient sur les affiches de toute leur beauté.

Rien n’est plus exact qu’une « star » filante dans le monde des films.

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Dans le Monde du Cinéma

La fille de Gloria Swanson.

Gloria Swanson, la célèbre étoile du cinéma américain, d’accord avec son mari,

M. Farmer, a décidé de baptiser sa fille, née il y a une semaine à peine, des prénoms de Michèle et Brigitte.

Ces deux noms ont été choisis à la gloire de M. Farmer: Michèle, étant le féminin français (donc, sans doute, plus distingué) de son prénom Michael; et Brigitte, nom de baptême très courant en Irlande, étant un complément à l’adresse de lori-gine irlandaise de M. Farmer.

Oïl sait, d autre part, que Gloria Swanson ne cesse de répéter qu elle ne pense plus mener qu une vie saine et agricole, digne de son nouveau nom: Farmer, fermier.

Une initiative de Mary Pickford.

Fendant que son mari, voyageur infatigable, vogue vers l’Océanie, Mary Pick-ford, elle aussi, vient de quitter Hollywood, à destination de New-York, pour y préparer, en compagnie de Frances Marion, son scénarist, le découpage et la mise au point de « Happy Ending », le prochain film qu elle se propose de tourner .

Maiy Pickford vient d avoir une bonne idée. Elle propose de faire treize petits films, sous le titre général » Farade d’Hollywood ». Chacun de ces films sera consacré à une vedette du cinéma, montrant les résidences, les habitudes, les plaisirs, les yeux. 11 sera curieux de voir comment les stars joueront ces scènes où elles s efforceront d’être semblables à ce qu elles sont quand l’appareil enregistreur n’est pas là.

Mais il y a une généreuse pensée dans l’initiative de Mary Pickford. Ces films seront tournés au bénéfice des chômeurs de l’industrie cinématographique américaine. C est un autre côté de la question, ce n’est pas le plus brillant. 11 n’y a pas mal de chômeurs à Hollywood.

La résurrection de Betty Aniann.

La mort de Betty Amann a été annoncée par tout le monde. C est une erreur et elle a eu au moins ce plaisir de lire des nécrologies flatteuses à son égard à cause de sa... mort. Elle n était que gravement malade. Quelqu un a télégraphié à travers le monde la nouvelle de sa mort. Elle ne comprend pas bien cette plaisanterie, elle se porte bien et continue le film de la vie.

POTINS.

9 May Murray vient d’intenter un procès à un théâtre américain, réclamant deux millions de francs de dommages-intérêts pour un petit accident qui lui est arrivé quand elle se trouvait dans 1 ascenseur.

Le film de Douglas Fairbanks; « Le tour du monde en quatre-vingts minutes » sera projeté fin de ce mois avec ï>a version allemande.

L installation de reproduction des films du Fox Film Corporation, laquelle peut être considérée comme la plus importante du monde et qui reproduit environ 165 millions de mètres de films, vient d’être vendue.

9 Marlene Dietrich a fait poser des portes grillées en fer devant les fenêtres de la maison qu elle habite à Hollywood, de crainte qu'on lui enlève son enfant.

9 De New-York est signalé que le nouveau film avec Greta Garbo: « Grand Hôtel », obtient un tel succès, que les places sont vendues pour deux mois d avance.


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1 La petite Caravane

Nos frères, les Singes, qui parlent...

2. Eclair-Journal

Actualités sonores

3. Sauce Hollandaise

Dessin animé sonore

4. Les Derniers Pélicans d'Europe

Documentaire du service scientifique de l’U. F. A.

ENTR'ACTE

1. De kleine Karavaan

Onze broeders, de Apen, spreken....

Eclair-Nieuwsberichten

Aktualiteiten op den klankfilm

Hollandsche Saus

Klankteekenfilm

4. Europa's laatste Pelikanen

Dokumentarische film van de kultuurafdeeling der U. F. A.

POOS

Pendant (’entr'acte - Audition de disques Tijdens de poos - Uitvoering van grammofoonpl. PAFtLOPHONE LE CHEMIN DU PARADIS N* 17078 B DE WEG naar het PARADIJS

Tout est permis quand on rêve

GASPARONE N° 48T07 B GASPARONE

Pot-pourri sur l'opérette de

C MILLÖCKER

Fantazie op de operette van

5. La Maison de la Flèche 5. Het Huis met den Pijl

Film parlant français Fransche spreekfilm

d'après le roman de naar den roman van

E. W. MASON

Réalisation de Verwezenlijking van

HENRI FESCOURT

Langeac . DRAMATIS PERS0NÆ Léon MATHOT

Boris Waberski Maxudian

Ann Upcott . Alice Field

Bettv Harlowe Annabella

Mme Harlowe Jeanne Brindeau

Francine Juliard Nadia Debory

Jim Frobisher Gaston Duprav

l!ex. . . Desfontaines

Thevenet De Garcin

Girardot. Robert Casa