Vendredi t\t\ Samedi tyr Dimanche ty4 Lundi «jg* Jeudi ryn avril iQai

Vrijdag Zaterdag Zondag Maandag Donderdag April

1. Eclair Journal

Actualités sonores

2. L'Australie inconnue

Documentaire du service scientifique de l’U. F. A.

ENTR'ACTE [Pendant ('entr'acte - Audition de disques

1. EclairNieuwsberichten

Aktualiteiten op den klankfilm

2. Het ongekende Australië

Dokumentarische film van de kultuurafdeeling der U. F. A.

POOS

Tijdens de poos - Uitvoering van grammofoonpl.

PAJRL.OPHONE

Potpourri des air« célèbres des films U.F.A. Muzikale mozaiek van gekende aria’s uit de U.F.A.

présentés:pencf$|>t la saison 193031 films vertoond tijdens het seizoen 193031

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3. CalaisDouvres

Grande comédie musicale Scénario: Scenario ;

J. V. Cube & A. Litvak

d’après la pièce de naar het tooneelwerk van

J BERSTL

Réalisation r Verwezenlijking:

Ant&tol Litvak

A daptation française Fransche aanrassing

et couplets: en koepletten:

Jean lk»ver

3* DoverCalais

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Mischa Spoliansky

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Dr. Leistner

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DRAMATIS PERSONÆ

Macferson André Roanne

.Jean .... . Armand Bernard

Jack .... . Robert Darthez

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CALAIS-DOUVRES

Le jeune milliardaire américain Mac-ferson, qui a eu maille à partir avec plusieurs jolies femmes, est atteint de misogynie violente et décide de partir sur son yacht pour une croisière de cinq ans, en compagnie de son domestique Jean et des seuls hommes d’équipage, tous maris ou amants malheureux, qui ont voué, eux aussi, une haine mortelle au beau sexe.

Comme son ami Jack le met au défi d’accomplir son vœu sans faiblir, Macferson lui propose d’appuyer sa conviction d’un important pari: si, dans cinq ans, à pareille heure, Macferson a tenu bon, il gagnera l’enjeu de 500.000 dollars, fixé d’un commun accord.

4 ans et I I mois se passent, et le yacht Odysseus poursuit sa croisière autour du monde, ne faisant escale que pour se ravitailler en vivres et combustibles. Aucune femme, bien entendu, n’est jamais montée à bord, et l’équipage commence à trouver le temps long. Les moins patients sont même sur le point de se révolter, lorsqu un jour le cri « Un homme à la mer! » attire matelots et capitaine sur le pont. A quelques encablures du yacht, un nageur est en détresse. Les hommes de Y Odysseus ont vite fait de repêcher le candidat à la noyade et de le hisser à bord. Surprise! Le nageur était une nageuse qui s’entraînait en vue de la traversée de la Manche: Calais-Dbuvres. Les matelots, bien entendu, ouvrent de grands yeux et sont d’autant plus ravis de leur sauvetage que la jeune fille est absolument délicieuse. Mais Macferson, impitoyable, donne Tordre de reconduire à terre, dans un canot, Miss Gladys O’Halloran, représentante trop désirable du sexe faible. Celle-ci, furieuse de ce manque de courtoisie, saute par-dessus bord et s’enfuit à longues brasses, promettant à Macferson de tirer de lui une éclatante vengeance: « Je suis reporter du Times, s écrie-t-elle. Je vous jure qu on parlera dans mon journal de vous et de votre équipage! ».

Très ennuyé, craignant un scandale, Macferson donne à ses hommes l’ordre de repêcher à nouveau Miss Gladys et de la séquestrer à bord. Dès lors, c’est la guerre entre Gladys et Macferson. Guerre où, bientôt, la jeune fille prend l’avantage, car elle réussit rapidement à mettre tout l équipage de son côté. De plus, sa séduction opère peu à peu sur le jeune capitaine, à tel point que celui-ci craint de ne pouvoir rester maître de lui et prie Jean, son valet de chambre, de le surveiller jour et nuit! Mais un soir, alors que le yacht arrive en vue de la Côte d’Azur, une chaloupe de police accoste le yacht, et deux détectives montent à bord, demandent à parler au capitaine: « Nous vous informons qu’une certaine Nelly Merrivan s’est échappée de la prison de Calais. C’est une aventurière des plus dangereuse; ne savez-rien à son sujet? » — « Absolument rien », répond Macferson, après une légère hésitation; mais dès que les policiers se sont éloignés, il se précipite vers la cabine de la jeune fille: « Mademoiselle, je sais que vous êtes une aventurière, je vous livrerai aux autorités, demain, en débarquant à Nice». Nelly Merrivan ne proteste pas, mais le lendemain, lorsque Macferson veut obliger la jeune fille à descendre à terre, il ne trouve plus personne! L’oiseau s’est envolé! Dès lors, Macferson ne songe plus qu’à retrouver la fausse journaliste et lance son équipage à la recherche de Gladys-Nelly.

Le carnaval de Nice bat son plein, rendant fort difficile la découverte de l’aventurière. Toutefois, au milieu de la bataille de fleurs, un des hommes de Macferson

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cinq heures et demi, les cinq ans étaient écoulés! ».

L’autre, furieux, proteste: « Comment? C’est vous qui êtes cause... Croyez-vous que je vous avais engagée pour me trahir de la sorte? ». Alors, Gladys se tourne, souriante, vers Macferson: « Oui, avoue-t-elle, Mir. Jack, votre ami, m’avait enga gée pour vous obliger à faiblir... Mais j’en suis venue à prendre vos intérêts, car j'étais... beaucoup plus engagée de votre côté! ».

Et les deux jeunes gens scellent, par un baiser, la conclusion définitive de cet arrangement.

aperçoit Gladys, dans une des voitures les plus somptueusement fleuries. 13 la suit, l’accompagne jusqu’à l’hôtel où elle se cache sous un faux nom. Quelques instants plus tard, Macferson fait irruption dans la chambre de Gladys, stupéfaite: « J’ai eu du mal à vous retrouver, mais je suis bien heureux d’y être parvenu! Croyez-mois, abandonnez votre métier. Il est dangereux, fatigant, voici un chèque de 30.000 dollars qui vous permettra de vous faire une vie honnête... ». Mais la jeune fille déchire le chèque, méprisante: «Merci...

Je gagne assez d’argent moi-même... je vous déteste ». Elle s’enfuit, bondit dans son roadster qui stationnait devant l’hôtel.

Médusé, Macferson reste un moment immobile sur le trottoir, puis il hèle une puissante voiture de louage qui passe sur la promenade des Anglais: «10.000 franc! P Une pureté Sans pareille, pour vous si vous rattrapez cette voiture i

Les voicr partis à une allure folle sur ùrement minéralisée, elle cort-route de la Corniche. . ,

Une demi-heure plus tard, la voiture d' Se S nécessaires à débai-Gladys s’arrête, et Macferson, qui suivaianisme des impuretés ((tii toujours, court vers la jeune fille: « Gla dys... Nelly... pourquoi avez-vous?... m

Mais elle, souriante, lui tend la dernièrj

édition d’un journal, où Macferson, ahuri’ous tenez A VOtTC »nté peut lire en première page: « L’aventu . .. , _

rière internationale Nelly Merrivan arrêtéQ régulier de OChweppCS, à Londres, gare Victoria ». Il pousse un ci de joie: » Ce n’est pas vous! ». Et oublianl . . . „ .

vœu et pari, il tombe dans les bras de 1<| “ E,/\U vjlil jeune fille. Mais une voix ironique retenf i J!

tit derrière eux: « Eh bien, mon cher, ti;C;.y<--Sy (Ql (9

as perdu les 500.000 dollars! ». 1

vient, à l’échéance fixée, constater la défaite de son ami. Mais Gladys prend h parole pour protester: «Pardon, cher mon sieur, cela m’a coûté ma dernière goutte d’essence, mais Mr. Macferson a gagné il est en effet six heures moins dix; or, à

DOVER-CALAIS

De jonge Amerikaansche miljardair Macferson, die, zooals zooveel anderen, heel wat te lijden heeft gehad van verschillende mooie vrouwen, heeft, in zijn haat tegen het zwakke geslacht, besloten op zijn yacht de zeeën te doorkruisen gedurende 5 jaren, in gezelschap van zijn knecht Jean en enkele manschappen: ongelukkige echtgenooten of verliefden.

Hij heeft zelfs met z’n vriend Jack een weddenschap van 500.000 dollar aangegaan dat, gedurende deze 5 jaar, geen vrouw hem naderen zou.

4 jaren en 11 maanden zijn alzoo voorbijgegaan... zonder vrouwen, en de Odysseus legt alleen aan om zich te voorzien van voedsel en brandstof.

kere Nelly Merrivan, een zeer gevaarlijke avonturierster, en die uit de gevangenis van Calais wist te ontsnappen. « Niemand gezien », antwoordt de kapitein. Doch pas zijn de detektieven weg of hij gaat Gla-dys-Nelly verwittigen dat hij ze s anderdaags aan de politie zal uitleveren. Zij zegt niets, doch den volgenden dag is de vogel gaan vliégen. Macferson denkt er nog slechts aan ze terug te vinden.

Te Nice viert prins Karnaval zijn intocht. Het is heel moeilijk in dat gewoel de avonturierster op te sporen.Toch wordt zij ontdekt in een der bloemenwagens. Na den stoet valt Macferson in haar kamer in het gasthof binnen en biedt ze 30.000 dollar aan om een nieuw leven te beginnen. Doch zij scheurt de check aan stukken en snelt de kamer uit, recht in een auto, die in vliegende vaart wegrent. Macferson roept een huurauto aan, belovend

10.000 dollar wanneer men de andere inhaalt. Razende tocht op de gekende Cor-niche-weg.

Wanneer eindelijk Gladys stilhoudt en Miacferson ze inhaalt, toont zij hem een dagblad. Op de eerste bladzijde een artikel: « De internationale avonturierster

Nelly Merrivan te Londen, in Victoriastation, aangehouden! ». Macferson begrijpt en, vergetend eed en weddenschap, werpt hij zich in de armen van het jonge meisje. Als een stem weerklinkt: « Gij hebt uw 500.000 dollar verloren! » Het is Jack, die de nederlaag van zijn vriend kwam vaststellen.

Doch Gladys wedervoer: « Het heeft mijn laatste druppel nafte gekost, doch Mr. Macferson heeft gewonnen: het is 5 uur 50, en om 5 uur 30 was de weddenschap verstreken! ».

En zoo vernam Macferson dat Gladys hem verleiden moest. Maar... zij schaarde zich aan zijn zijde. Ook voor de toekomst!

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De quel genre de flèche peut-il bien s’agir dans le dernier film d’Henri Fescourt: La Maison de la Flèche? Est-ce un motif architectural, un projectile, un signe directeur, une arme?

Questions embarrassantes sans doute! Vous verrez pourtant que la flèche en question se présente sous un aspect inattendu, mais des plus dangereux.

Connaissez-vous le strophantus? C’est un des poisons les plus violents, utilisé par de nombreuses tribus sauvages pour infecter leurs armes. Il offre en outre la curieuse qualité de ne laisser aucune trace dans l’organisme.

Otn comprend quelle arme redoutable il peut être, surtout dans les mains des criminels sans scrupules qui compliquent à plaisir la troublante énigme de La Maison de la Flèche.

Vraiment, ces redoutables malfaiteurs seraient vite parvenus à faire disparaître Mithridate lui-même, qui, rapportent les chroniques, s'était pourtant si bien habitué à absorber les poisons les plus divers qu’il ne parvint pas à se tuer par ce moyen.

Le roman possède Arsène Lupin, gentleman-cambrioleur, type caractéristique, populaire, déjà « personnage » dans le monde du « fabriqué ».

Sur le même plan, l’écran nous a présenté Langeac, silhouette inoubliable aussi et qu’a si bien personnifié Léon Mathot. Cet habile détective, flegmatique, perspicace, surprenant, nous a déjà étonné dans Le Mystère de la Villa Rose. 11 renouvelle ses exploits passionnants dans le film d’Henri Fescourt: La Maison de la Flèche.

Aucun détail n’a été négligé dans le nouveau film d’Henri Fescourt: La Maison de la Flèche, avec Léon Mathot, Ma-xudian et une splendide distribution.

Les faits les plus minimes ont leur importance, et tous les événements s enchaînent avec une logique rigoureuse. Ils sont du reste d’une extrême diversité et des plus inattendus. N’est-ce point vraiment ce qu’on peut appeler faire... flèche de tout bois!

C’était pendant que l’on tournait La Maison de la Flèche. Le studio où travaillaient Henri Fescourt et sa troupe était situé à côté d’une voie ferrée où passaient naturellement de nombreux trains. Les murs du studio n’étaient malencontreusement pas très épais, si bien qu’à chaque passage d'un rapide il fallait presque interrompre les prises de vues sonores du film.

Et les artistes prospèrent joyeusement de consulter F indicateur des chemins de fer avant de tourner les scènes importantes, mais tout s’arrangea et d’ailleurs la sonorisation de La Maison de la Flèche est une des meilleures qui soit.

L’excellent artiste Maxudian interprète dans La Maison de la Flèche un rôle étrange, et qui sera pour lui un nouveau succès.

On sait que le film a été réalisé à Londres, et Maxudian, qui préfère le soleil au brouillard, a traîné là-bas des jours sans joie, a C’était si triste, disait-il, que pour mettre un peu d'entrain dans l'atmosphère, je me coiffais parfois d’un turban de soie enrichi d’un merveilleux rubis faux, et j'allais souper dans un grand restaurant de nuit avec Gaston Düpray, qui chuchotait à qui voulait l’entendre:

— C’est le maharadjah de Nulllpart...

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Kent ge detektief Langeac niet? Het is hij die, door zijn speurhonden-neus geleid, door zijn helder doorzicht gediend, door zijn onomstootbare wil om te gelukken voortgedreven, het angstwekkend « Mysterie der Villa Rosa » wist op te helderen...

Nu sterft plots in haar woning te Dijon een rijke oude vrouw, op zeer geheimzinnige wiize. Op de jonge gezelschapsdame, die de aflijvige steeds had bijgestaan, wegen onheilspellende verdenkingen...

Het is dan dat dezelfde Langeac wordt ter hulp geroepen, om te trachten doorheen al het raadselachtige van het geval de waarheid te ontdekken.

Wij zien hem hier aan het werk, trot-seerend de menigvuldige gevaren welke zich opstapelen, en hem een oogenblik dreigen te overweldigen, ontkomend de listig bedachte hinderlagen, rusteloos achtervolgend de minste aanduiding die hem den sleutel van het duistere en vreeselijke geheim kan geven.

In deze vreemde atmosfeer, zwaar van mysterie en bloed: menschen die zich wederzijds begluren, ondoordringbare alibi’s... tragische gebeurtenissen, een troe-blant raadsel, een labyrinth van geheimzinnigheid.

Ein steeds en overal Langeac...

Leon Mathot — de onvergetelijke Graaf van Monte-Christo van enkele jaren terug — is Langeac: een karakteristieke uitbeelding, voortreffelijk door haar volgehouden soberheid.

Als onmiddellijke partenrin heeft hij Alice Field, die eveneens een zeer interessante schepping wist daar te stellen en die tevens bevalt door haar schoonheid.

Maxudian, een der meest persoonlijke Fransche artisten, vervult insgelijks een der leidende rollen.

Door het eigenaardig onderwerp, de rijke insceneering, het flinke spel der vertolkers, de lumineuze foto’s, zal dit poli-tiedrama ongetwijfeld boeien en al de toeschouwers op onweerstaanbare wijze, ander half uur lang, in spanning houden.

fr

Ce q ue n dit Ia Presse

Voici le prototype du film qui peut être vu et entendu avec intérêt par tout le monde. L’énigme policière qu’il soumet au public offre en effet à chacun un agréable et captivant divertissement.

Louons tout d’abord le réalisateur Henri Fescourt, qui a enchaîné et disposé ces scènes avec une maîtrise telle que pas un seul instant l’action ne trébuche. Enfin, il faut bien avouer que la distribution a été particulièrement heureuse.

Jean Châtaignier. Le Journal.

Film policier au sujet original, équilibré, sans faiblesses. Les effets dramatiques ont été traités avec maîtrise et sont fort bien

réalisés, l’action est captivante par son atmosphère et par l’imprévu des différentes situations. Le Matin.

Atmosphère inquiétante de l’intrigue présente... La réalisation du studio Jacq. Haïk est parfaite, tant au point de vue photographique que sonore.

L’Intransigeant.

Qui donc a dit que le film policier avait passé de mode? Jamais, au contraire, les intrigues mystérieuses patiemment élucidées par un grand détective n’ont autant passionné le public; on s’en apercevra, j’en suis certain, au succès que va recueillir La Maison de la Flèche. L’Œuüre.

C'est un film policier à rebondissement et au dénouement inattendu, car si tout le monde est soupçonné au cours de Faction, les coupables gardent une quasi-certitude d’impunité. L’interprétation de La Maison de la Flèche est remarquable; si l’éloge de Léon Mathot n’est plus à faire, car il est parfait, peut cependant remarquer avec quelle aisance cet artiste s est adapté au film parlant.

Excellent film; une interprétation parfaite. Cinémonde.

Le cinéma, tant français qu’américain, nous a déjà beaucoup donné de films policiers. 11 en est peu d’aussi réussi que La

Maison de la Flèche, où l’on retrouve les remarquables qualités dont est fait le talent de M. Henri Fescourt.

Le Petit Journal.

C’est un film excellent, d’un intérêt soutenu. Paris-Midi.

Le film est réalisé avec soin jusque dans les péripéties d’un souterrain, d’une chaise à porteur truquée, de l’injection de poison. ..

Dans l’interprétation, il y a à relever surtout la composition par Maxudian d’une sorte de bohème dont les convoitises prennent un air affecté d’humilité.

Le Petit Parisien.

Dans La Maison de la Flèche, M. Henri Fescourt a su maintenir l’intérêt de bout en bout avec cette habileté qui lui est coutumière...

Le film bénéficie d’une très bonne ini -al

terprétation avec L. Mathot, Maxudian, Alice Field, la charmante Annabella, et leurs nombreux camarades. Excelsior.

M. Léon Mathot mène le jeu avec beaucoup d aisance.

L. W. Pour Vous.

Le film est bien amené par une excellente photographie et interprété par une troupe d acteurs de classe.

New-York Herald.

La Maison de la Flèche fait flèche de tout bois: rien, en cette œuvre nettement policière, n’est épargné pour nous séduire.

De si laborieux efforts méritent d’être récompensés; ils le seront.

Richard-Pierre Bodin. Figaro.

Cette production parlée, qui contient des parties de silence, des chuchotements, des scènes d ombre, et aussi des scènes de plein air dans la vieille et charmante ville de Dijon, est faite pour plaire. Qn n’a rien ménagé pour ce résultat.

Lucie Berain. Le Quotidien.

Dti même genre que le célèbre parlant Mystère de la Villa Rose, comprenant la même part de mystère et d’inexpliqué, et le sympathique personnage du détective Langeac, ce film doit connaître la même faveur. 11 est d’une formulaire destinée au succès populaire.

Jeanne Brindeau, juste, à la voix sonore, Léon Mathot, sobre et bien campé, Alice Field, très dans le ton voulu, jolie, mènent le film avec classe.

Cinématographie Française.

L’intérêt de ce drame est que pas un instant avant le dénouement on ne peut prévoir le véritable coupable. Alice Field, Màxudian, Léon Mathot sont excellents, et Annabella est une adorable Betty, elle a su donner à son irôle la grâce, la pureté

et le cynisme qui lui convient suivant la progression des événements.

L’Ami du Peuple.

Line nouvelle intrigue criminelle, une aventure policière; réalisée sobrement, puissamment, avec un savant dosage de l’émotion, un art éprouvé des contrastes, des coups de théâtre. Telle est l’œuvre qu Henri Fescourt a réalisée... La mise en scène est soignée et aucun détail n’a été négligé par Henri Fescourt pour obtenir le maximum d émotion. L’Auto.

Rien ne manque à l'intérêt de ce roman policier, ni les passages secrets, ni les mystérieux avertissements, ni les exécutions sommaires. Léon Mathot, qui a gagné ses galons de détective dans Le Mystère de la Villa Rose, se montre un redoutable Sherlock Holmes. Paris-Soir.

...L’intrigue est, de bout en bout, mystérieuse à souhait et attachante.

L’émotion, graduellement ménagée, jusqu’à la scène finale, on attend avec une certaine impatience le dénouement de tant de morts bizarres et d’événements fantastiques et la solution de toutes ces anomalies. La République.

L’action conduite dans un rythme excellent tiendra en haleine tous ceux qui se délectent de mystères. Le soupçon effleure tous les acteurs du drame. Qui a tué? Et l’enquête se déroule impeccablement jusqu’au dénouement qui nous donne une explication lumineuse, qui nous permet d’arracher le masque du coupable.

Ajoutons enfin que la technique du film accuse de sérieux progrès et nous permet d'entrevoir que le cinéma parlant est engagé dans la voie personnelle qui le conduira au succès. Cinémonde.

Ce film policier passionnera nombre de spectateurs. Bordeaux-Ciné.

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Een samenloop van omstandigheden der en rechter, doet hem vermoeden, dat Wellicht zijn

G OKïEE-VIERING-K

GOETHE IN DEN FILM

Goethe s leven heeft zich in betrekkelijk weinige plaatsen en landschappen afgespeeld.

Deels ligt dit wel aan de in dien tijd nog zóó beperkte verkeersmiddelen, deels echter ook aan de natuur van Goethe zelf. Het is immers bekend dat de dichtér eèn diep in zich zelf gekeerde, statische levensbeschouwing, waarbij alle principes van orde en tucht tot het uiterste gedreven waren, verkoos boven afwisseling en ontspanning.

Dit geldt hoofdzakelijk voor den tot man gerijpten Goethe. Met uitzondering van de twee reizen naar Italië, die in zijn geestelijke vorming als noodwendig schenen, en de, in lateren leeftijd, ieder jaar herhaalden tocht naar Bohemen s badplaatsen, blijft Goethe s leven, 58 jaren lang, te Weimar ingesloten. Dte weinige, onbeduidende uitstappen naar Zwitserland en het Harzgebied, en de dienstreizen die zich bij gelegenheid voordeden, spelen daarbij geen rol.

Van beteekenisvollen invloed op het menschelijk noodlot en het werk van Goethe waren de verschillende plaatsen waar hij verbleef, tijdens zijn jeugd, in de « Sturm- und Drang »-periode. Het oude Frankfurt, Leipzig met zijn hoogeschool, Straatsburg en Wetzlar zijn pleister-plaat-sne die uit Goethe s fel-bewogen liefdesroman niet uit te schakelen zijn, die integendeel een bepaalde richting in zijn geestes-evolutie hebben aangegeven, wat ook in de geniale gedichten en denkwijzen van den jongen Goethe weerspiegeld wordt.

Door een gelukkig samentreffen zijn de meeste, en de voornaamste, dezer Goe-the-plaatsen in hun ouden vorm en archaïstisch uitzicht bewaard gebleven,»

haast onberoerd en als omgeven nog van den ouden toover. Geen groote dichter is door de pieteit der nakomende geslachten in zulke hooge mate vereerd geworden als Goethe.

Het is alsof Tasso’s woorden hier werkelijkheid werden: « De plaatsen, door een goed mensch betreden, zijn gewijde plaatsen!... ».

De regisseur die Goethe’s leven in den film heropwekken wil heeft geen valsche schermen noodig om de plaatsen, de bouwen en landschappen vóór den geest te roepen, in dewelke Goethe zich bewoog. Hij kan in de volle werkelijkheid putten. En waar iets ontbreekt, daar heeft hij slechts het wonderbare beeldenmaterieei te raadplegen van de Goethe-verzamelin-gen: verzamelingen die hun gelijke niet hebben in gansch de wereldliteratuur.

Tusschen de steden, die Goethe’s jeugd hebben gekend, is in de eerste plaats Frankfurt-am-Main te noemen. De ruime patriciërswoning aan de oude » Hirschgraben », waar Deutschlands grootste dichter ter wereld kwam, is onverkorven behouden gebleven. De oude stad, met den prächtigen Dom en het stadhuis, de enge mozaïek der talrijke pittoreske kleine straatjes, is nog heden zóó als ten tijde dat Goethe als jongeling den zevenjarigen oorlog doorleefde en nadien de kroning van den aartshertog Jozef als Roomsche koning, zooals hij dat zoo heerlijk in « Dichtung und Wahrheit » heeft afgeschilderd.

Ook van het oude Leipzig, waar Goethe de reeks zijner liefdesvoorvallen en zijner liefdesgedachten inzette, — de stad welke Goethe voorkwam als het « Klein-Parijs » tegenover de stille kalmte van Frankfurt, —- ook hier zijn voorname ge-

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bouwen in hun oorspronkelijken staat behouden gebleven.

Nog meer is dit het geval voor Strasbourg en het Flzasser landschap, met hetwelk zijn ij Sturm- und D'rang »-tijd verbonden is, de stad in dewelke Goethe, bij den aanblik van de kathedraal, de majesteit van de Gothiek in zich voelde sid-l deren, terwijl de visioenen van Faust en Götz in het diepste van zijn wezen werden opgewekt.

Daar ook zat hij te dweepen met zijn vrienden Herder, Lenz, Merck en Wagner, daar ook leefde hij zijn liefde uit voor Frederika Brion...

Dan komt het oude Wetzlar, het kleine nest, waar Goethe zijn juristen-loopbaan aan het;« Reichskammergericht » begon. Het daagt op als een roerend droombeeld uit den Rokoko-tijd en houdt in zijn muren gevangen, onsterfelijk, Werther en Lctte’s geest...

Al die verblijfplaatsen worden echter in de schaduw gesteld door Weimar, de kleine residentiestad uit Thüringen, welke Goethe heeft verheven tot een centrum en een symbool der klassieke kuituur, tot een der voornaamste doelwitten van de geestelijke menschheid.

Het Goethehuis aan de Frauenplan met zijn tallooze relikwieën, het tuinhuisje in het park, de vele andere herinneringen van Goethe s leven en streven, zij leven voort, piëteitvol gehoed, als gedekt door Goethe s adem:

O Weimar, dir fiel ein besonder Los.

Wie Bethlehem in Juda, klein und grosz!

In de beide Goethe-films, die onder de leiding van D'r. N. Kaufmann werden verwezenlijkt door de U.F.A., worden al deze « Goethe-plaatsen » vertoond, terwijl regisseur Dr. Fritz Wendhausen ook de voornaamste verblijfplaatsen uit de Ita-liaansche reis in de biografische handeling heeft ingewerkt.

Hoe ontstaat een Week Journaal?

Wij herinneren ons nog: voor den stommen film kregen wij hem meermaals te zien: de « Man met de Kamera», en hoe hij, met het toestel op de statief en de statief cp den schouder, zich een weg baande door een menschen-massa en daarbij een aantal zijner mede-menschen omverwierp, hoe hij door het ongeluk werd vervolgd om ten slotte, trots alle herrie en gesukkel, toch op het gepaste oogenblik en de geschikte plaats de actualiteit te verfilmen...

Sedert de Film de klank heeft bijgekregen, moest begrijpelijkerwijze een week-journaal ook toonfilm zijn. D'och nu zit de « Man met de Kamera » in. een fijne limousine en bolt, doo.r toonmeester en toonhelpers omringd, van rechts naar links, van links naar rechts, door de stad en het land.

In auto dingt hij met auto’s en vliegtuigen naar den kamp, om ze bij hun re-kords af te luisteren en te begluren. Wanneer in Santiago cf Shangaï geweerschoten weerklinken, snorren zij ook voorbij zijn ooren, terwijl hij in dolle vaart van op het dak van den auto al maar door « draait ».

Waar ergens in de wereld een gewichtige gebeurtenis plaats grijpt, daar moet ook de toonfilmwagen zijn om ze in klank en beeld voor de nakomelingen vast te leggen. In vier minuten moet men opna-

D'oor den film is alzoo een aanschouwelijk, besloten beeld opgewekt van Goethe’s levenstocht zooals geen geschrift noch illustratie dit zou vermogen te doen.

En zoo ook heeft de Film deze grandioze viering der honderdste verjaring van Goethe s dood op wijdingvolle wijze gediend.

Sfr

me-bereid zijn. De in de auto ingebouwde toestellen kunnen echter ook uitgenomen worden, om gedragen te worden op plaatsen door de auto niet te bereiken, op berg of schip.

Zoo staan b.v. voor de Ufa-journaal I 12 cameramen ter beschikking: van Johan-nisburg tot Oslo, van Vancouver tot Wla-oiwostok. Steeds zijn zij op t » qui vive », want ieder oogenblik kan het bericht komen om... op jacht te gaan! In ieder land, waar de Ufa zelf geen operatoren heeft, trof zij verbintenissen met bevriende gezelschappen als Paramount, Eclair-Paris, Pathé-London e.a., om door ruildienst

het materieel te verzamelen.

Van op een schrijftafel wordt het week-journaal opgesteld. Eher loopen de draden bijeen die met de 112 cameramen verbinding geven. Op de tafel, de gewichtigste bijhoorigheden voor iederen redacteur: de telefoon, een atlas, het wegboek. Plier wordt vastgelegd wat in beeld opgenomen hoeft te worden; van hier uit worden de noodige onderrichtingen, gegeven omtrent de banen welke de verschillende auto’s moeten volgen.

Er zijn natuurlijk opnamen die lang op voorhand kunnen voorbereid worden, als de verfilming van gewichtige gebeurtenissen, van groote feestelijkheden, koersen en dies meer.

Daartegenover staan de opnamen van gansch onverwachte voorvallen, als ka-tastrofen van ieder aard.

Van uit deze centrale redactie gaan ook in gezonde bemerkingen allerlei raad uit tot de operatoren, nl. voor wat betreft het vatten van het karakteristieke, het samenvatten der dingen onder den meest passenden hoek.

Iederen morgen wordt in de redactie krijgsraad gehouden tot vaststelling van

wat moet gefilmd. Is men het daar over eens, dan gaat de opnamestaf er op los: operator, toonmeester en toonhelpers.

Voor de opnamen die niet uitsluitend zuivere reportage daarstellen, zal ook een regisseur de kleine troep vergezellen.

Zijn de opnamen gemaakt en ontwikkeld (zoowat 200.000 meter negatief-film . par jaar!), zoo komt het tweede gedeelte der redactioneele bevoegdheid in het gedrang: de ineenzetting der onderscheidenlijke brokstukken.

Nu is het juist de kunst het journaal belangwekkend te maken. Zeer afwisselend en veelzijdig hoeft het te zijn, al mag dan ook een bepaalde lengte niet overschreden worden. Men begrijpt allicht dat men hier vóór geen lichte taak staat. Wel integendeel. Want, net als een speelfilm, moet het actualiteiten-journaal een stijgende lijn vertoonen, een climax voor de belangstelling.

fdet voorhanden zijnde materieel moet volgens zijn eigen dynamiek en intensiteit behandeld worden en het komt er vooral op aan hoe en waar ieder stuk in te schakelen om een degelijk geheel te bekomen, dat tot het einde de interesse blijft opwekken.

Ook de juiste titel-keus is een niet te onderschatten opgave en zij neemt dikwerf ook heel wat tijd in beslag, vooral nu men van het standpunt moet uitgaan dat het beeld zelf spreekt.

Eens dit type-negatief aldus samengesteld, gaat men over tot het afdrukken der talrijke positief-kopijen: circa 5 miljoen meter worden ieder jaar door de Ufa verwerkt voor haar week-journaal.

Heeft men wel eens aan al die moeite en dikwerf gevaren gedacht, wanneer, in een confortabele kinozetel uitgestrekt, men in een tijdspanne van 10 à 15 minuten de gansche wereld doortrekt?

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Cette fois, la chose paraît sérieuse. Un long article du « Daily », de Londres, consacré à un nouveau procédé de télévision se termine en effet par ces mots: « Le système expérimenté devant nous réunit toutes les qualités nécessaires pour passer facilement du domaine du laboratoire au domaine pratique; il est simple, bon marché, différent de tous les procédés imaginés jusqu ici, ce qui le met à l’abri des procès, et la qualité des images transmises égale celle des meilleurs films.

Le secret le plus absolu est gardé au sujet de cette invention. Elle est due à un jeune ingénieur anglais, M. G.-D.Walton. Au dire des techniciens, elle doit porter un coup très dur à la Baird, à qui elle est très supérieure.C’est au cours de 1931 que des financiers s’intéressèrent aux travaux de M. G.-D1.Walton. Une société, la Sco-phony, fut fondée, au capital assez timide de 15.000 livres. Des actions vont être prochainement lancées sur le marché, elles seront, espère-t-on, rapidement enlevées. Le prix des appareils de réception est, en effet, si bas (cinq et six livres), que leur placement sera aussi facile que celui d’un kodak.

Le « Dlaily » est persuadé que cette trouvaille va révolutionner le cinéma et influencer décisivement l’avenir.

Un documentaire sur « Les fêtes et foires de Paris». Assisté de Louis Leclerc, Michel J. Arnaud a fait prendre par l’excellent opérateur Jacques M'ontéran de nombreuses vues de la Foire aux Jambons et de la Foire à la ferraille pour le film: Fêtes et Foires de Paris.

Le Cinéma et la Paix

C ’est le titre d'un petit livre que Marcel Lapierre vient de faire paraître sur ce sujet. Ce livre est à la fois une étude sérieuse et une œuvre saine.

Après avoir passé en revue les films de guerre réalisés durant les hostilités: Les Poilus de la neuvième, La Maison du passeur, Alsace; puis, ceux tournés en pleine paix: Verdun, vision d’histoire, Dawn, La Grande Parade, Au service de la gloire, Marcel Lapierre parle de l’action de ces derniers, et plus particulièrement des films pacifistes, sur le public.

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, les films de guerre ne font souvent pas naître l’horreur et le dégoût de ce fléau dans l’âme des spectateurs. Certains films pacifistes, comme Quatre de VInfanterie, produisent parfois une excitation guerrière dans le public, qui va à l encontre du but cherché.

Marcel Lapierre nous cite, en effet, ces quelques paroles de Georges de la Four-chardière, qui sent singulièrement significatives. L’auteur de La Chienne assistait à la projection de Quatre de l’Infanterie: « Parmi les hurlements des blessés et les râles d agonie, on voit surgir sur l’écran une vague d’assaut qui envahit la tranchée allemande. Les baïonnettes et les grenades entrent en action.

» Une rumeur court dans la salle. Le public devient pariant cent pour cent:

» — Ce sont les Français! Bravo!

» Une tempête d’applaudissements... Le film pacifiste a l’effet d’un film guerrier. Ce long hurlement d’agonie, au lieu de dégoûter les spectateurs, exalte leurs vertus guerrières... »

Sans doute, comme le constate l’auteur du «Cinéma et la paix», tous les publics ne réagissent pas ainsi devant un film de

Sr

guerre d esprit pacifiste. Mais, du fait même que d’assez nombreux spectateurs, en voyant ces scènes d’horreur, frémissent d’une ardeur guerrière, montre que la leçon que contiennent ces films n’est pas suffisamment claire.

Alors?

Quels films tourner pour dégoûter la foule de la tuerie scientifique de peuple à peuple?

Des films où «toutes» les horreurs soient

montrées, ou, ce qui serait mieux, des films prêchant l’entr aide de toutes les nations. Une œuvre comme La T ragédie de la mine, où l’on voit des Français et des Allemands s’unir pour sauver des mineurs victimes d’une catastrophe, fait plus pour l’extinction des haines de races et la disparition de la guerre que bien des films de guerre.

Telle est l’opinion de Marcel Lapierre. C’est aussi la nôtre.

UIT FILMLAND

Alb. Préjean en Annabella, de sympathieke Fransche filmvedetten, werden gewond bij een ongeval dat hun te Boedapest overkwam. Zij begaven zich per motorfiets naar het studio in de Hongaar-sche hoofdstad. Op zeker oogenblik slipte de motorfiets. Fréjean werd licht aan handen en beenen gewond. Annabella liep een hersenschudding op.

Men is te Moscou begonnen aan de verfilming van een groote klankfilm over Lenin. Hij zal bestaan uit drie deelen.

Het eerste toont ons Lenin aan den arbeid; het tweede wordt gewijd aan de nagedachtenis van den Bolsjewiki-leider; het derde zal het werk bevatten van verschillende auteurs uit Sovjet-Rusland en het buitenland, betrekking hebben op Lenin.

De gekende insceneerder Ludw. Berger is, na verschillende jaren in Amerika getoefd te hebben, naar Berlijn teruggekeerd. Hij zal er een film verwezenlijken met Lilian Harvey en Willy Fritsch.

Dte beroemde Italiaansche tragédienne Emma Grammatica heeft haar glansrol in « Dte medailles van een oude vrouw » nu ook vooi de geluidsfilm gespeeld. Dë « première » te Rome moest echter worden uitgesteld, omdat de film op hoog be-

vel gewijzigd moest worden. In zijn oor-spronkelijken vorm werd het werk « schadelijk voor het aanzien van het nieuwe Italië » genoemd.

Elisabeth Bergner zal, onder de leiding van Czinner, te Parijs de hoofdrol vertolken in den film Me/o, naar het too-neelwerk van Henry Bernstein.

Erich Pommer, de bekende Ufa-pro-ducer, gunt zich, op dokters uitdrukkelij-ken raad, eenige rust te Juan-les-Pins.

De Amerikanen deinzen voor niets terug! Zij zijn in allerijl begonnen met de opname van een film: De Roof van den kleinen Lindbergh. Zij verwachtten daar veel van. Gewetens- en gevoelsbezwaren hadden zij niet te overwinnen!!!

Een der gekendste werken van den humorist Tristan Bernard gaat tot grondslag dienen voor een film: Les deux Canards.

Berichten doen de ronde dat Greta Garbo Hollywood zou vedaten en aan filmland vaarwel zeggen, om een rijke Zweedsche grondbezitter te huwen.

De jongste berichten melden echter dat zij toch bij de Métro zou verbonden blijven, op voorwaarde dat men haar circa

500.000 frank per week zou betalen.