Source: FelixArchief no. 1968#487
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Deux amies — Suzanne et Marise, petites Françaises de quinze ans — se présentèrent un jour au studio de 1’ « Eclair > ... et toutes deux firent carrière.
apportant à l’écran leur fraîche beauté et ces qualités d'esprit, de goût -et de mesure, apanages des âmes artistes.
Suzanne Grandais,
-compagne de Marise, fut emportée trop tôt à notre sympathique admiration et nous pleurons encore cette femme au charme personnel, cette « instinctive d’art », qui -sut émouvoir, attrister ou faire rire, sans pathos, sans préciosité, avec naturel.
Reportons sur Marise Daitvray, l’amie et la confidente de Suzanne, notre sympathie; c’est même grâce, talent égal, que nous retrouvons.
Brune, comme une héroïne de Mistral, Marise Dauvray est un de ces types ethniques bien latin» dont la beauté s'adapte au paysage, l’anime et le complète; son jeu souple, se mariant aux décors, permet de livrer à l'écran mieux que les sites et les monuments d'une contrée: les dons physiques et le charme de sa race, de son âme;
Tôt, aux metteurs en scène qui la dirigèrent, elle se révéla un des grands espoirs du cinéma français, car elle est de type comme d’esprit, de geste comme •de cœur; la vraie jeune femme française.
Toute jeunette, c’est par série qu’elle collabora è
l’éclosion de scènes animées. V. Jasset, alors unique metteur en scène avec L. Feuillade, qui tourna chez Gaumont, trouva en elle une interprète compréhensive, au talent souple et personnel. Puis le temps apporta des modifications dans le personnel attaché aux grandes maisons françaises. Marise tourna avec Chautard, puis avec Henry Krauss, qui avait pris la place du regretté directeur Jasset.
Et dès lors, ce fut sous les ordres de celui qui deviendrait son époux — M. Henry Krauss — que M»e Dauvray évolua devant l’objectif. Tour à tour naquirent La Dame de Monsoreau, Chéri Bibi (de Leroux), Trompe la Mort (de Balzac) et d’autres productions d’envergure.
Ces belles réalisations, parfaites au point de vue interprétation, Marise Dauvray — aujourd’hui M1"« H. Krauss — s'y est attachée avec cet enthousiasme et cette conscience artistique qui sont les traits marquants de son caractère. Puis, elle tourna avec Burguet La Course du Flambeau et avec Gance, J’accuse. Ce dernier film, projeté par toute l'Europe et jusques en Amérique, fit voir aux Yankees ce qu’est une grande vedette française, quand on la charge d'interpréter un rôle digne d’elle.
Et ces dernières années, M. et Mm Henry Krauss les ont passées à Milan, attachés à la Lombardo Film. Le metteur en scène prévoyant' la crise du cinéma français apporta aux studios d’Italie, en plus de son expérience et de son énergie, une excellente interprète en la personne de sa femme. La délicieuse et fidèle compagne du maître tourna L’Ultime Roman, Li-Pao Mandarin, La grande Décou-
Marise Dauvray dans La Flamme Sacrée.
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Ossini et Morise iJauvray, dans La Flamme Sacrée. Mise en scène de Charles Krauss.
verte du Docteur BerchtoJd, Les Requins, Cendres rouges, La Flamme sacrée, La Femme d'Osiris, et plusieurs films d'aventures. L'interprète de ces films, parfaits au point de vue technique, photo et mise en scène, nous réserve d’autres merveilleuses productions où s'affirme sa grâce et son talent. Merise Dauvray est la protagoniste de ces œuvres, qui toutes eurent l’heur de plaire en Italie comme dans d'autres pays d'Europe. M. Henry Krauss, et sa charmante interprète, auraient-ils trouvé la vraie formule du film internatlionaLsous toutes les atitudes? C'est la grâce qu’il faut souhaiter à ce couple de cinéastes fervents. MARNIX.
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Bon de Participation
Concours de la CFemme 'Helge la plus cPbohgénique
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au Concours de la femme belge la plus photogénique.
désire prendre part
A la Direction de Ciné-Revue,
(Signature)
N. B. — Remplir le présent bon de façon très intelligible et le faire parvenir à l’adresse suivante s Ciné-Revue, 10-T2, rue Charles De Coster, Bruxelles.
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Les figurants. — Le personnel du studio. Exigences d’étoiles. — Les dessous du studio.
Le figurant lui aussi mérite quelques lignes; on ne sait pas exactement si ce pâle personnage appartient au monde des acteurs ou au matériel d’accessoires, c’est un mannequin, une espèce de machine, un être à la face immobile. II devient tour à tour jeune, vieux, bossu, aveugle, seigneur, paysan, c’est l'acteur multiforme, le caméléon dramatique.
Dans un studio où l’on tourne un film qui nécessite une grande figuration, le monde des figurants «st un monde plutôt mêlé; on ne demande pas de références artistiques aux figurants et on prend selon les besoins, pour un jour ou deux, ce qui représentera le peuple ou la soldatesque à l’écran. Certaines compagnies ont aussi un certain nombre •de figurants réguliers, parmi lesquels se trouvent ceux qui exécutent ponctuellement les mouvements indiqués par le metteur en scène; ces derniers servent d exemples aux autres qui n’auront alors qu’à reproduire les mouvements des premiers; on remarque surtout, dans cette première catégorie.
des amateurs qui ne demandent pas de « cachet »; ces néophytes sont très recherchés par les chefs de figurants qui cherchent toujours à économiser sur la somme à eux remise pour payer leur personnel.
Ce procédé que je n’hésite pas de qualifier de malhonnête n'existe pas partout, fort heureusement, c’est ainsi qu’il n’a jamais été connu aux Etats-Unis, où les « extras », terme yankee qui signifie: figurant, passent à la caisse, munis d’un bon donnant droit au paiement de un ou plusieurs cachets. Le règlement des figurants se fait aussi correctement que celui des acteurs. Il est à déplorer que ce procédé ne soit pas encore adopté partout; peut-être un jour, avec la force des choses....
En Amérique, on a remarqué plusieurs « stars » sorties des rangs de la figuration, pour ne citer qu’un seul cas, Rudolph Valentino, le fameux Rudy, le brillant Julio des Quatre Cavaliers de l'Apocalypse et le héros du Scheik n’est autre qu'un ancien figurant à qui la chance a daigné sourire; toutefois ceci prouve que parmi les « extras », il se trouve quelquefois des éléments intéressants et qui grâce à leur travail arrivent à un résultat fort appréciable.
Quelques mots aussi au sujet du personnel
Constance Binney, une des plus gracieuses actrices de l'écran; la voici dans sa paisible demeure de Los-Angeles, goûtant un repos bien gagné après l’affairant labeur au studio.
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ïtDVSV5!S Vue intérieure tie studio fermé de la " Paramount „ à Long Island City (Etat de New-York). artistique et administratif du studio et de ses dépendances. Commençons par le bâtiment administratif; celui-ci n'est pas de moindre importance, bien au contraire, le personnel qu'il occupe varie entre cent et cent cinquante personnes, hommes et femmes. Le département administratif comprend: la direction générale, le secrétariat, la comptabilité, le service de publicité, le service d'édition des films, vente des productions et le service d’achat. Ce dernier département est chargé des achats tels que film vierge, négatif et positif, produits chimiques, bois et cprtons pour la construction des décors, étoffes servant à la confection des costumes et tout le matériel nécessaire tant pour le service administratif que pour le département artistique. C'est aussi un département des plus important que celui des achats; au reste, il est certain que n’importe quel service d’un studio ou de ses dépendances ne peut manquer d’intérêt. Le département artistique comprend les services du studio, des laboratoires, du peintre décorateur, du costumier, du coiffeur, du chausseur et de l’armurier. Le vie de tout ce monde au studio peut être comparée à un vaste fourmilière; ajoutons à cela que tout le travail s'exécute avec méthode et réflexion; au reste, pour tout ce qui touche à l’industrie du film, il y a une espèce de fièvre qui règne parmi tout le personnel et qui empêche de songer aux obstacles. Chaque * star » a ses exigences, dans ce malheureux monde des acteurs de cinéma. Que voulez-vous, la chose est à peu près compréhensible, quand on saura que, aussitôt qu'une étoile est arrivée à être « gobée » du public, comme on dit eh argot théâtral, celle-ci n’a plus aucune difficulté pour trouver un engagement, bien au contraire, des compagnies concurrentes font de véritables folies, o’est le cas de le dire, pour s'attacher leur personne. On comprend plus aisément dès lors l’exigence de ces Messieurs et Dames, Par trop souvent l’acteur, aveuglé par son succès, se croit à lui seul, selon l'expression d’Hoffmann, un loyer qui réfléchit partout la lumière. (A suivre), Henry-A. PARTS. [pianos FEUR1CH A -.: MICHEL MATTHYS - 16, Ru« de Stewart, BRUXELLES Téléphone: 153.91 10,000 francs de prix en espèces Nombreux prix en nature Concours de la 7~emme ‘-Belge la plus ‘-Be lie et la plus ‘-Photogénique Malgré la bonne volonté évidente, de milliers de jeunes filles s’offrant chaque jour pour l’interprétation de films, il est souvent difficile aux metteurs en scène de trouver un élément réunissant toutes les qualités désirables pour faire une bonne artiste, cinématographique. Pour permettre aux femmes belges, qui se croient des dispositions pour Ift carrière des studios, de se faire connaître et s'assurer peut-être un avenir brillant, CINÉ-REVUE a décidé d'organiser Je Concours de la femme la plus photogénique. Cette compétition intéressera toutes les classes de la société, puisqu’elle donnera à toute candidate les mêmes chances de réussite, et que seront admises à concourir toutes celles qui suivront les données facilement exécutables de son règlement. Ciné-Revue fera paraître les portraits de toutes les candidates; de plus, les photos originales des compétitrices seront réunies dans un album, mis ù le disposition des metteurs en scène belges et étrangers, leur permettant de luger des trésors de beauté et de grâce dont dispose la Belgique. Après un premier triage, un certain nombre de candidates seront représentées à l’écran, et parmi celles-ci le public sera chargé de désigner la femme la plus photogénique. Il sera alloué pour ce Concours 10.000 francs de prix en espèces et de nombreux prix en nature. Enfin la jeune fille ou femme la plus photogénique qui aura réuni le plus de suffrages, sera proclamée; La femme belge la plus photogénique, et (si elle montre des dispositions pour le travail cinématographique) un engagement lui sera assuré pour tourner un grand film, Règlement pour les Candidates 1" Peuvent prendre part au Concours, toutes les femmes ou jeunes filles de nationalité belge, ayant atteint f’âge de 16 ans au 1*r mars 1933, et qui se conformeront aux directives contenues dans le présent règlement. 2° La candidate fera parvenir à l’adresse de Ciné-Revue: a) Deux de ses portraits, l’un de face, l’autre de profil, format carte-postale, mais de telle sorte que le visage ait au moins deux centimètres de hauteur; A) Le bon à détacher de Ciné-Revue, dûment rempli (voir page 12), L’enveloppe, contenant portraits et bon, devra porter à l’adresse suivante: C1NÉ-RH VUE, 10-12, rue Charles Decoster, Bruxelles, et l’indication; Concours de la femme belge la plus photogénique. 3° Les envois dont il est fait mention à l’article 2 seront reçus à partir du 1*r mars jusque et y compris le 15 mai 1923, — Passée cette date, nulle candidature ne sera prise en considération. Au fur et h mesure de leur réception, les portraits des candidates paraîtront dans Ciné-Revue. 4° Un jury composé de: Trois cinématographistes; trois artistes belges; trois écrivains ou journalistes belges, sera chargé de faire un premier triage des milliers de candidatures, et de désigner 20 candidates parmi lesquelles le public belge sera chargé d’élire la femme belge la plus photogénique. t Ces 20 candidates seront convoquées aux frais do Ciné-Revue, pour être filmées; elles seront, en effet, présentées à la fois à l'écran et dans les numéros de Ciné-Revue, de manière è faciliter le choix des votants.
naître. Comme il peut dominer la jeune fille même à distance, celle-ci sent bientôt l’emprise se refermer sur elle. Mais elle n’ose révéler le secret à ses trois amis.
Un soir, Chandra Dak vient heurter à la porte de l’atelier. Cymba lui ouvre. « J,e te donne jusqu’à minuit, fit-il, sinon tu t’endormiras pour toujours... »
Cymba, terrorisée, ne put cependant se décider à revenir près de son redoutable maître. Dans la nuit, elle adjure ses amis de ne pas abandonner son corps et de toujours veiller sur elle, si elle venait à... ne pas se réveiller; puis, à minuit, elle s’endormit... Les jeunes gens, respectueux de sa volonté et la croyant morte, l’enterrent dans la cave même de l’immeuble.
Mais, dès le lendemain, Chandra Dak succombe à ht morsure d’un cobra. En mourant, pris de remords, il avoue avoir endormi Cymba à' distance et supplie qu’on aille à son secours, car elle est peut-êtré enterrée vivante, et, dès qu’il sera mort, elle se réveillera.
Prévenus quelques instants après, les trois amis, en toute hâte, dégagent Cymba qu’ils trouvent évanouie, mais respirant encore. Bientôt' délivrée de l’affreuse obsession, elle reprend force et santé.
Les trois jeunes gens l'aimaient également et auraient voulu tous trois en faire leur femme.;. Mais c’était à Paul de Guyssac qu’était allé son cœur.
Ainsi se termine en des séries de comédies, un film qui s’annonçait comme un drame, et qui tient du début à la fin les spectateurs anxieux.
Nous avons dit plus haut le mérite de l’interprétation; au réalisateur vont aussi nos félicitations pour sa mise en scène soignée, où nul détail ne choque; et l’opérateur a droit également à notre sympathie pour les photos tour à tour pittoresques, typiques et jolies qu’il offre à nos regards oharmés.
« Chasteté » est une belle œuvre américaine digne de figurer à l’écran de nos plus beaux établissements.
Nous avouerons tout d’abord que 1« « titre à effet » de ce film nous rebutait un peu; d’autant plus que l’œuvre n’a point besoin d’une telle entrée en matière pour en souligner la tendance et la valeur. Les personnages — ils sont cinq principaux: trois jeunes gens, une femme, un Hindou mystérieux — sont rendus avec vérité. Voici d’ailleurs les noms des artistes et leurs titres à notre sympathie:
Helen Gardner, une des actrices de cinéma les plus uopulaires, connue sous le nom de « La Vampire de l’Ecran », pour son art d’interpréter les rôles de femme-vampire. Elle joua le rôle principal dans les grands films américains «U,n Souffle d’Arabie », « Miss Jekyl et Madame Hyde », « La Femme de Caën », « L’Histoire étrange de Sylvia Gray », « Fleur de Lys », « Un Vampire du Désert », « Cléopâtre ».
Templier Saxe, né en Angleterre, fit ses études aux universités de Bonn et de Bruxelles. Ses études terminées, il débuta comme baryton à Londres dans la « Carl Rosa Opera Company ». Il débuta à l’écran en Amérique dans un film dé la Vitagraph, « La Force des Faibles ». Il joua plus tard « Le Lion et la Souris », « Miss Ambition ». Pour la Paramount, il joua « Les Dents du Tigre ».
Peggy O’Neal, le plus beau modèle de New-York, ayant posé pour des artistes renommés. Dans le présent film, elle pose sans voile pour les artistes et son corps est une vraie révélation artistique.
Lejarres O’Hiileiy un peintre et dessinateur de réputation universelle, reconnu comme un des plus grands artistes de l’Amérique.
Six beaux modèles créent une ambiance artistique dans ce film. Elles y exposent les charmes de leurs jeunes corps, véritables modèles pour les grands artistes. Ceux qui sont amoureux de la beauté férr,’nine, leur seront, reconnaissants pour cette. vision de beauté.
Scénario. — A Paris vivaient il y a une trentaine d’années, trois artistes pauvres mais au grand cœur, et tous trois épris de Beauté: Robert Whittier, Joe Raylus et Pau! de Guissac. Fort nécessiteux, ils se partageaient un unique atelier.
A cette époque, un Hindou mystérieux, Chandra Dak, faisait sensation par ses expériences d'hypno tisme. Il pouvait à volonté plonger son medium, Cymba, une femme qui venait on ne sait d’où, dans un sommeil cataleptique qui ressemblait à s’y méprendre à la mort.
Cymba était, grâce à ce pouvoir surnaturel, sous l'entière domination de Chandra Dak. Mais un jour, celui-ci s’étant épris d’une violente passion pour son médium, perdit tout pouvoir sur elle. Aussitôt, Cymba s'enfuit et se réfugie chez les trois artistes qui la recueillent et auxquels elle sert de modèle. La flamme de Chandra, privée d’aliment, s’éteint peu à peu... En même temps, son redoutable pouvoir se mit à re-
iC
*** Cecil B. De Mille, le célèbre metteur en (scène de la Paramount, vient d’annoncer les résultats et les gagnants de son « Concours d’idées ». il y a quelques semaines, M. De Mille annonçait dans les colonnes du «Times», un grand quotidien de Los Angeles, qu’il offrait un prix de mille dollars à celui ou celle qui lui fournirait une «idée» ou un «thème» pouvant servir de base à sa prochaine production. il reçut environ 20,000 réponses de toutes les villes des Etats-Unis. Au lieu du prix annoncé de 1,000 dollars, M. De Mille a offert huit prix, de mille dollars chacun, à huit personnes différentes qui lui ont suggéré l’«idée» en question. L’«idée» gagnante est: « Les Dix Commandement» de Dieu», et les huit personnes gagnantes ont reçu chacune un chèque de 1000 dollars. Aussitôt après avoir terminé « I,a Côte d’Adam » qu’il tourne actuellement, Cecil B. De Mille préparera immédiatement une super-production avec, comme thème, les «Dix Commandements ».
Chaque année, le conseil d’administration do la « Famous Players-Lasky » (Paramount) se réunissait à New-York, le centre commercial du film américain. Or, cette année-ci,. Josse L. Lasky, premier vice-président de la compagnie, a décidé de réunir tous les directeurs et administrateurs de la Paramount, à Los Angelès. A cet effet, M. lasky s’est rendu à New-York, afin de convaincre ces messieurs, que c'est, à Los Angelès et non à New-York qu’ils devraient tenir leurs réunions annuelles, et un télégramme vient d’arriver, dans lequel’ M. Lasky annonce le chaleureux accueil que sa proposition a obtenu. Cent membres du conseil d’administration et directeurs de la Paramount sont en route pour Los Angelès, et dorénavant cette ville sera considérée non seulement comme le centre de production mondial du film, mais encore comme le marché commercial du film américain, car si la « Paramount » choisit I.os Angelès comme •centre d’exploitation, toutes les autres compagnies suivront bientôt cet excellent exemple!,..
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veut En_ jetant de la poudre aux yeux II s’dd- gon-fle_danssesdiscoursLa_mnt et le jour Toujours II s’dé.-gon-fle:_commeunballon c’est lacrevai-son Tout du. long II s>dé- gon-flo rapi-de-(
iWd
ment II s’dé.-gonfle_ ômaiseomment II s’dé-gonfle II S’dé- gon- fie.
Raoul de Saint-Hubert et son ami le Cheik
C'était Omair; le brigand, le pillard redouté des caravanes
— Hélas! reprit encore Diana. Et un long frisson agita tout son corps.
Depuis qu'elle avait été emportée à travers le désert jusqu’à la demeure du puissant cheik Ahmed Ben Assan, Diana était plongée dans le plus noir désespoir. Captive! Elle était captive, elle, la fière Anglaise, la fille de tant de héros! Elle était captive d’un chef de tribu, dans ce désert, que l’océan des sables sépare du reste du monde.
Ahmed sans doute était revenu à des sentiments de civilisé. Aux premiers jours de sa conquête, il avait voulu exercer sur sa captive tous les droits que donne la victoire aux g-uerriers d’Allah. La jeune fille avait résisté désespérément. Et Ahmed, se souvenant des sentiments raffinés que Paris lui avait enseignés, s'était repris, refoulait désormais sa passion brutale, entourait de soins empressés la jeune fille dont il voulait conquérir le cœur.
Diana résistait, aidée de toute sa fierté un peu sauvage.
Or, voici que Raoul de Saint-Hubert allait venir. Un Français serait témoin de l’asservissement, de la déchéance d’une jeune Anglaise.
Non, cela ne serait pas.
Elle échapperait au moins à cette honte.
C’était l’heure de la promenade. En compagnie de Brissac, le valet de chambre d’Ahmed, qui lui servait en même temps de guide et de gardien. Diana parcourait à cheval les bords de l’oasis.
— Diana, j’ai une heureuse nouvelle à vous apprendre.
— Serais-je libre?
— Est-ce donc ainsi que vous répondez à mon amour, Diana? La liberté? Vous désirez la liberté? Quand je vous offre la royauté sur ma noble tribu. A Qu’est-ce donc que la liberté comme vous le comprenez encore? Est-on libre en Europe?
Pendant les années que j'ai passées à l’Université de Paris, étais-je libre? Non certes. Les Européens sont enfermés, enchaînés par une multitude de lois qui, sous le vain aspect de garantir une multitude de libertés, chargent leur vie de mille obligations.
— Non, Diana. La bonne nouvelle, c’est que mon ami le romancier Raoul de Saint-Hubert nous arrive de Paris. Il sera ici demain.
EE CHEIK
Un combat dont Diane est le prix.,-
Mais quelque chose était changé.
Ahmed ben Assan, le beau jeune guerrier, était couché dans soh lit, la tête enveloppée de linges blancs. Ht Diana lui prodiguait ses soins. C’est que Ahmed s'était battu comme un jeune dieu avec le brigand Omair. On l’avait relevé, le front fendu de plusieurs coups de cimeterre, qu'il avait reçus après avoir repris la jeune fille et tandis qu’il la défendait contre un retour offehsif de la horde.
Ahmed reposait.
Et Diana, assise près du lit du jeune cheik regardait le beau visage bronzé, pâii par la souffrance, et où passaient des frissons brefs.
(A suivre.) Jean BLAISE.
Le beau guerrier était couché dans un lit, la tête enveloppée de linges blancs
*** Da nouvelle version de «Tess of the Stom Country » de Mary Pickford, vient d'être présentée au public de Los Angeles. A cet effet, Miss Dickford a fait racheter, par ses agents du monde entier, toutes les copies du «Tess» qu’elle a produit, il y a environ une dizaine d'années. La nouvelle version peut donc être considérée absolument comme, un nouveau film... Les vieilles copies seront toutes brûlées.
Elle se souvenait seulement d’un moment où elle s’était de nouveau sentie emporter par un homme au visage hideusement sauvage. Cotait Omair, le brigand, le pillard redouté des caravanes, qui passait, avec ses bandits. Elle se souvenait de la répulsion instinctive' qu'elle avait manifestée sous le regard de bête fauve de cet homme. Sous le coup de sa chute, et peut-être, d'un commencement d'insolation, elle ne gardait de tout cela que des souvenirs confus, une nuit grise traversée par quelques éclairs.
Puis, il y avait eu un combat.
Ahmed ben Assan avait réuni ses guerriers. Montés sur les méharis, à la marche sûre et rapide, ils avaient traversé le désert et bientôt rencontré le brigand Omair, qui emportait sa proie vers son repaire.
Bataille.
Elle avait entendu comme dans un rêve la fuvt*~ lade, les cris des combattants; elle avait vu l'assi dans l’éclair des lances et des cimeterres.
Puis, encore une fois, sous l’émotion, elle avait perdu connaissance.
Et voici qu’elle se retrouvait maintenant dans la demeure du jeune cheik, avec Raoul de Saint-Hubert, arrivé de Paris.
Bataille
Soudain, profitant d'un moment d’inattention de Brissac, la jeune fille cravacha sa monture, et la voilà galopant vers le Nord, vers Biskra, vers la liberté. Course affolante! Le sable se Soulève Sotts le galop du cheval. Hardi [ Les vagues succèdent aux vagues. Les dunes sont franchies de bonds fantastiques. Diana se reprend à espérer.
Un choc.
Un subite sensation d’abtme.
Puis, plus rien. ,
Le cheval avait buté. Diana se trouvait évanouie isolée, au milieu du désert.
Comment elle se retrouva le même soir dans la demeure d’Ahmed ben Assan, elle ne le savait pas très bien. Des événements s’étalent succédé, avec la facilité de prodiges, et sans qu'elle pût eh réformer la trame complète.
Des bribes seulement flottaient dans sa mémoire.
Etait-elle restée longtemps évanouie?
Elle l’ignorait.
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ROYAL - ZOOLOGIE CINEMA
La Princesse inconnue
Veuve d’un prince régnant sur une province du Caucase, la princesse Olga s’était réfugiée à New-York où elle s’intéressait tout particulièrement aux artistes pauvres. Elle était aidée dans sa besogne par Browson, un de ses rares intimes. Son auteur préféré, est le poète Owen Carey à qui elle vient en aide, mais de crainte de quelque désillusion, la princesse veut rester inconnue. Cependant Owen Carey hérite de l’immense fortune de son oncle. Pressé de profiter de sa nouvelle richesse, il part au bord de la mer, emmenant avec lui un compagnon des mauvais jours, Franck Manners. Owen prenant son véritable nom de Craffeller est assailli par une multitude de solliciteurs et en particulier par M. et Mme Colben, qui cherchent à faire épouser leur fille Annie par le millionnaire. Fuyant l’indiscrète insistance de son consulat, la princesse venait se réfugier sur ce coin de plage. Immédiatement elle prenait en grippe Craffeller. Celui-ci désirait faire sa connaissance et réussissait peu après à se faire présenter à elle. Mais la princesse montrait immédiatement l’aversion la plus profonde pour celui qu’elle croyait un vulgaire milliardaire et par contre entreprenait la conquête de Franck Manners qu’elle prenait pour le poète. Cependant à quelques temps de là se présentait un jeune Russe qui demanda à voir la princesse. Se trouvant soudainement en sa présence elle demandait à Craffeller de l'emmener immédiatement car elle redoutait, d’être rappelée à son pays natal. Elle partait donc en compagnie de Craffeller pour la montagne et là se trouvait dans le même hôtel que les Colben, qui, pour brusquer lés événements, s’étaient décidés à jouer le grand jeu. Par une ruse bien féminine arrive-t-elle à faire déjouer le plan des Colben. Cependant le Russe mystérieux réussissait à retrouver sa trace. En même temps Craffeller venait d’apprendre qu’un "testament de son oncle avait été découvert et qu’il se retrouvait sans le sou et la princesse mise au courant de la véritable identité n’hésitait plus à lui faire connaître son amour. Mais celui-ci refusait d’épouser la richissime princesse. L’arrivée du jeune Russe allait les mettre d’accord. Il venait apprendre à la princesse que ses biens étaient confisqués par le gouvernement. Et comme ils étaient aussi pauvre l’un comme l’autre, rien ne les empêchait plus d’être heureux désormais.
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Défilé des Nations
marche
L. Frémaux
KMITO
Revue scientifique
Patrie (valse de ballet) E. Paladhile
Quand le Cœur a parlé
Comédie dramatique avec Edith, ROBERTS dans le rôle principal
La Juive
Fantaisie
Halévv
La Princesse inconnue
Comédie interprétée par Alla NAZIMOVA
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Défilé des
marsch
Nations
L. Frémaux
Wetenschappelijk
Patrie (wals uit het dansspel)
E. Paladhile
Als het hart gesproken heeft
Dramatisch tooneelspel met Edith ROBERTS in den hoofdrol
La Juive
Fantasie
Halevv
De onbekende Prinses
Tooneelspel vertolkt door Alla NAZIMOVA
SEMAINE PROCHAIN LE FI SENSATIONNEL
NERON
Merveilleuse reconstitution de la cour Romaine sous Néron l’impudique. Nous assistons aux intrigues de Poppéa, à la persécution des chrétiens, à la destruction de la cité impériale, pour satisfaire à un caprice du tyran, et finalement à sa chute et à sa mort. Il n’y a qu’un mot qui puisse décrire ce film: « PRODIGIEUX ».
La mise en scène est formidable. On reconstitua la fameuse Maison Dorée, le Palais de Néron, et aussi les façades des maisons de Rome, qui devaient être incendiées par la suite. On tourna les extérieurs à Tivoli, à la villa d’Este, dans les Alpes italiennes, et les scènes du cirque Maximus au véritable Colisée de Rome.
L’Interprétation est de tout premier ordre et il convient de faire une mention spéciale pour M. Jacques GRETILLAT, qui tient le rôle de Néron avec une véritable maîtrise et Mlle Paulette DUVAL qui est une Poppéa belle, cruelle el vraie. Comme figuration on obtint le concours de 65.ooo personnes.
Ce film passera "avec une adaptation musicale spéciale.
Be Onbekende Prinses
Een arme dichter, Owen Carey wordt beschermd door prinses Olga, een zijner bewonderaarsters. Deze, weduwe van een Kaukazische prins, is naar New-York gevlucht maar haar konsulaat wil haar dwingen tprug haar plaats aan het Hof in te nemen, zooniet zullen haar goederen verbeurd verklaard worden. Olga wil haar leven leven en trekt zich terug in een wel-bezochte badplaats aan den Stillen Oceàan. Op zekeren dag verneemt Owen dat hij millioenen erft van zijn oom... ’t Is een tij-iing om van te smullen, maar vreezend overrompeld te worden door een zweem van lastigaards en ook omdat hij de overtuiging had dat alleen de armoede gepaard aan het latent, de bewondering, afdwingt, zoo neemt hij een vriend Franck Manners in dienst als zijn sekretaris en laat deze voor hem doorgaan, Owen Carey...
Dan verlaat hij ook zijn deknaam en herneemt zijn echte personnaliteit: Craffeller. De prinses wou dat Owen Carey geheel onkundig bleef wie en hoe zijn beschermelinge was: zij zelf kent slechts zijn werk. De millionnair en zijn sekretaris ontmoeten de prinses die zich eerst in den strik laat vangen maar toch eindigt met den echten Owen Carey te beminnen.
Op het oogenblik dat beiden elkaar hun liefde bekennen wordt de dichter verwittigd dat het testament van zijn oom nietig werd verklaard... Maar ook de prinses wordt op de hoogte gesteld van de inbeslagname harer goederen.
Beiden nemen het nieuws heel luchthartig op: zij zullen mekaar beminnen. En dat is toch zoo al het voornaamste!
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