Source: FelixArchief no. 1968#328
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LE- LRUIT DEPENDU
S’il était possible de typer chaque production cinégraphique d’un seul mot — rendant le caractère essentiel de l’œuvre — nous dirions qu’au Fruit défendu revient sans'discussion l’épithète de « Somptueux ».
C’est qu’aussi, Cécil B. de Mille, le réalisateur de cet œuvre — dont le scénario est dû à Miss Jean-nie Mucherson — a créé une mise en scène dans laquelle richesses et beautés sont répandues à foison, dépassant vraiment tout ce qui s’est vu jusqu’à ce jour dans le genre de la féérie.
Beaucoup de scènes du Fruit défendu se passent, d’ailleurs, dans la somptueuse résidence d’un homme d’affaires multimillionnaire, ce qui a permis au metteur en scène de réaliser le cadre luxueux qui, convenait; le faste de cet intérieur est encore accentué par la présentation d’un autre
milieu — pauvre celui-là, — où vit l’héroïne.
Et l’on comprend que Mary Paddoch quitte sa demeure modeste, où un mari débauché et paresseux ne lui réserve que déboires et amertumes, pour préférer ce que lui offre un heureux hasard: des toilettes, des bijoux, des palais merveilleux... et un prince charmant! Tout comme Cendriilon. Et cela, grâce à une sympathique fée moderne.
L’évocation féérique du conte bleu qui charma notre enfance dépasse en splendeur tout ce qui se peut imaginer. L’appari tion de la bonne marraine qui transforme Cendriilon en un bijou, et les scènes du bal ont nécessité des efforts extraordinaires, et de la part du metteur en scène, et do celle des interprètes. Cela dure à l’écran quelques minutes, et pourtant il a fallu des semaines de travail pour établir costumes, éclairagg, décors,
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et les mille détails aidant à obtenir l’effet magique qui se dégage de ces scènes.
Rappelons que les décors du bal furent entièrement construits en glaces, avec grands escaliers de cristal, piliers à glace surmontés de fruits et fleurs translucides, dont chaque est une fontaine d’où jaillit un filet lumineux. L’agencement fut conçu de telle sorte que les personnages se réfléchissent à l’infini dans les glaces, ce qui crée des
effets vraiment magiques!
Il est vraiment regrettable - comme le disait un spectateur enthousiaste — qu’au cinéma, on n’ait pas encore trouvé le moyen de donner satisfaction à ceux qui crieraient « bis », car ce féérique tableau serait certainement rappelé, bissé, .., et cela tout à l’honneur de Cécil B. de Mille, dont le génial talent de mise en scène fait revivre à nos yeux le pays des fées de notre enfance...
Il est peu d’artistes, d’artistes français, qui sans renoncer au théâtre, aient accomplis dans les studios une tâche aussi variée et aussi heureuse que celle de cet homme de grand talent: Signoret.
Grande est l’action qu’il exerce sur le public, non seulement en France, mais même outre-Atlantique, car il est un des rares dont nos amis des Etats-Unis admettent la comparaison avec les grandes étoiles américaines.
C’est qu’aussi le talent de Signoret lui permet d’interpréter avec un maximum de moyens tous les caractères de nos jours et d’hier: « Homme, rien d’humain ne lui saurait être étranger». Et cette faculté d’adopter avec les traits du personnage, sa mentalité et, semble-t-il, ses mœurs et ses goûts, lui a permis d’incarner en moins de deux
lustres, les rôles les plus divers, les types d’étres humains les plus divergents.
C’est de 1&10 que date le début de sa brillante carrière écranesque. Il fallait à MM. Henri Lavedan et Le Bargy quelqu’un qui fut apte à comprendre la personnalité à la fois délicate et complexe de ce Cardinal Ximénès, dans cette histoire de Philippe II, qui, à l’écran, a pour titre: « Rival de son Père ». L’habileté de Signoret à composer un personnage, attira sur lui l’attention des réalisateurs, et quoiqu’il n’eut jamais tenu aucun rôle devant l’objectif, il se montre à la hauteur de la tâche qui lui fut confiée: nous vîmes ce prélat sanguinaire, alliant le fanatisme à la joie de châtier, tel qu’il dût apparaître à ses contemporains.
Louis Delluc.
Suzanne Graudais.
Signoret dans Bouclette.
Menant de front la carrière théâtrale où ses succès ne se comptent plus depuis « Le Vieux Marcheur », « Main Gauche », «Les remplaçantes», « Asile de nuit », etc.., et la carrière d’artiste de ci-né, Signoret interpréta peu après avec avec brio, la production « L’Usurpateur» pour compte du Film d’Art... Puis, pour la Maison Pathé, en collaboration de Mme Robinne et de M.. Alexandre, «La Comtesse Noire », « L’Amour plus fort que la haine » voient l’écran.Et cette brillante série continue; c’est d’abord «Le Noël du Vieux Vagabond»et«LeVieux Ca-bottin», où Signoret campe 'des types navrants de misérables et de dévoyés; «L’Orage» et « l’Usurier» qui permettent à l’artiste de donner toute la mesure de ses qualités de naturel, de sensibilité sincère et de compréhension. La guerre interrompt cette série glorieuse; pourtant, le soldat n’oublie point ses obligations artistiques; pendant de courtes permissions, il prête son concours à l’élaboration de « Mères Françaises » dont le scénario avait été écrit par Jean Richepin, et «Le Tournant », a vec Suzanne G ran-dais, morte hélas depuis.
Les hostilités closes, nous retrouvons Signoret à son poste, au studio. Il aide M. Marcel L’Herbier à imposer la personnalité de ses conceptions hardies dans « le Torrent », tandis que peu après il interprète le personnage principal de « Bouclette » où Gaby Deslis; jadis simple vedette de music-hall, s’affirme artiste véritable.
Enfin voici la période de la Baroncelii, la plus longue, et sans doute la plus glorieuse pour le réalisateur comme pour son premier interprète: « Le Roi de la Mer», «Le Délai », « La Cigarette », « l’Homme Bleu », « Le Se
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cret de Lone Star », « Fil-pette», «La Rose»; se sont autant de vraies créations d’art qui firent affluer aux cinémas, dont l’afliche proclamait le nom populaire de Signoret.les foules avides d’œuvresbellemen t conçues, et interprétées avec talent et sensibilité. Dans ces derniers temps, nous vîmes « Le Rêve », réalisation de l’œuvre de Zola. « Le Silence » une production bardie de K Louis Delluc nous est promise. Signoret tient dans cette dernière bande le rôle principal, avec une remarquable maîtrise qui n’est égalée que par son œuvre dernière « Le Père Goriot ».
Telle est jusqu’à ce jour cette abondante carrière écranesque. Les artistes les plus côtés du cinéma français ont collaboré avec Signoret à la création de ses chefs-d’œuvre de l’écran; d’autres, de moindre envergure, considèrent avec raison comme un honneur le seul fait d’avoir pu évoluer avec le grand artiste devant l’objectif... Car il sied de la répéter, ce qui fait 4 science et le talent de Signoret, c’est son étude minutieuse de la pensée du scénariste, puis aussi sa collaboration continue avec le metteur en scène, en vue d’obtenir le maximum d’effet. Signoret est l’homme dont le masque mobile sait traduire toutes les pensées, tous les instincts, toutes les joies et les souffrances. Ajoutons à ces qualités précieuses du mime, une grande connaissance technique des choses de la cinématographie; ce sont là des moyens utiles, gages d’un talent qui saura sans cesse se renouveler.
Signoret possède en lui la synthèse des qualités de l’artiste de ciné.
Marnix.
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L’ORPHELIIME
6e -épisode: LE TRAQUENARD
Aussitôt débarqué à Marseille, don Esteban, se rend chez le père Boulot. Il apprend le départ de Jeanne enlevée par Némorin. « Il doit du reste revenir prendre Phrasie. et les bagages » ajoute le père Boulot. Esteban se rend ensuite chez deux de ses complices, et quand Némorin et Phrasie, confortablement installés dans un fiacre, regagnent la chambrette où Jeanne les attend, ses accolytes, jouant le rôle de policiers, arrêtent la voiture et s’emparent de Némorin en lui disant qu’il est inculpé d’assassinat. Némorin parvient à s’enfuir, mais que faire? Le hasard de ses pas le ramène dans les parages de son domicile, il monte à. sa chambre et constate le départ de Phrasie et de Jeanne. Alors qu’il médite, assis sur son lit, on frappe à la porte et une voix crie: « Au nom de la loi, ouvrez ». Némorin enfonce sur ces oreilles son chapeau et crie à son tour: « Entrez ». Mais personne ne vient. Est-ce une hallucination? Il le croit. Ce sont tout bonnement les policiers, le croyant en fuite, venaient piller son appartement.
Semaine prochaine 7c épisode: A L’OMBRE DU CLOCHER.
Proipiiie du l nu 12 janvier
Gaumont
KINETO ï
Revue scientifique
L’ORPHELINE
6e épisode: LE TRAQUENARD
AuPIEDdu VOLCAN
DE WEES
(ie episode: DE VALSTRIK
Zoodra te Marseille aangekomen, begeeft don Esteban zich naar vader Boulot. Hij verneemt er het vertrek van Jeanne door Némorin ontvoert. « Hij moet Phrasie en liet reisgoed nog afhalen » zegt vader Boulot. Esteban gaat naar twee medeplichtigen, en wanneer Némorin en Phrasie, rustig in een rijtuig gezeten, naar de kamer rijden waar Jeanne hen wacht, spelen deze gasten do rol van politie-agent, houden het rijtuig stil en verzekeren zich .van Némorin, zeggende dat hij van moord beschuldigd wordt.
Némorin gelukt erin te ontvluchten. Maar waarheen? Zijne stappen brengen hem in de nabijheid zijner woonst, en in zijne kamer gekomen bestätigt hij hel vertrek van Phrasie en jeanne. Terwijl hij al nadenkende op zijn bed zit, wordt er aan de deur geklopt, en eene stem roept « In naam der wet, open ». Némorin trekt zijnen hoed over de ooren en roept op zijne beurt « Binnen ». Doch niemand komt. Hij denkt dat hij droomt. Het was niemand anders dan de twee pseudo agenten, welke, denkende dat hij gevlucht was, zijne kamer kwamen plunderen.
Aanstaande week 7e episode: IN DE SCHADUW VAN DEN TOREN.
Grand drame en 6 parties interprété Edith ROBERTS
par
van 7
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Wetenschappelijk
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6e episode
WEES
; DE VALSTRIK
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Groot drama in 6 deelen vertolkt door Edith ROBERTS
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Qv0
Semaine prochaine le film sensationnel
WHIR TCR A. P EL,
Grand drame policier en 6 parties.
Prochainement: he film célèbre
(Le Cabinet du f)octeur Caligari
Conte fantastique et hallucinant. Premier film cubiste.
Grand
drame en DEAN,
UES HORiS-UR-UOI
6 parties, interprété par la grande vedette Priscilla l’héroine du film „La Vierge de Stamboul”
AU PIED DU VOLCAN
L’action se situe au Mexique, dans un pays montagneux où les éruptions volcaniques sont fréquentes. Une jeune fille, Dolce Alvarez, y vit en compagnie de sa mère, et elle est aimée en secret par un Indien poltron, Pancho. Dolce devant s’absenter, elle confie la garde de sa mère à l’Indien; mais celui-ci, peu brave, ne peut empêcher que la pauvre femme soit assassinée par deux bandits, Burke et Vasquez, qui prennent son or et ses bijoux do famille. Lorsque Dolce revient et se rend compte du drame qui vient de se passer, elle accuse Pancho de pusillanimité et de couardise, et décide de se rendre à Purisima, la ville proche, pour rechercher les assassins de sa mère et se venger sur eux. Car Purisima est une ville dévergondée, où les épaves humaines, les hors-la-loi et les criminels se coudoient dans les bouges les plus infects.
A Purisima, la jeune fille voit tous ces vices et toutes ces turpitudes; venue pour découvrir ceux qui ont lue sa mère, malgré tout, elle restera pure. Comment découvrira-t-elle l’auteur du crime? A un moment donné, l’un des meur-Iriers s’éprend d’elle d'une passion subite, et lui offre de l’or et des bijoux. Parmi ces derniers, Dolce reconnaît un collier qui, précisément, a été dérobé à sa mère lorsqu’on l’assassina...
Pancho, qui aime toujours Dolce, arrive également à Purisima, où la terre tremble, où le volcan va faire éruption. Les habitants, affolés,-quittent la ville, mais les deux bandits étant restés pour se livrer au pillage, Dolce restera également pendant que la ville chancelle sur ses bases et que tout est emporté dans une traînée de lave... Elle demande à Pancho une mort héroïque... Mais les feux intérieurs se calment, et, au lieu do trouver dans la catastrophe une fin lamentable et tragique, Dolce se réveille à l’amour, — l’éternel recommencement.
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Une histoire glorieuse d’Amour et d’A ventures en haute mer avec l’incomparable Elmo LINCOLN dans le rôle principal.
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Dans une précédente chronique nous présentions au public belge celui, qui dans le Prince Charmant et l'admirable Crighton, tient le spectateur sous le cbarme de ses merveilleuses ressources d’artiste de ciné; nous avons promis alors de parler plus en détail d’une œuvre interprétée par Thomas Meighan — c’est de ce néo-phite, attaché aujourd’hui à la Paramount, que nous voulons parler — ce sera tenir notre promesse et répondre au secret désir de nos lecteurs.
que de les entretenir d'Amour de Métisse, une production de l’Universal-Film, où l’action entière gravite autour des personnages princi paux: Meighan et Norma Talmadge.
Cette dernière interprète est fort connue de nos amateurs de ciné. Les rôles joués par elle sont aussi nombreux que peuvent l’être les caractères féminins. Il n’est, semble-t-il, pas un seul «genre» dans lequel elle ne se soit essayée avec succès. Tantôt, en proie aux plus ébouriffantes aven-
Quannah le cherchera et le tuera, dit-il; alors W etona court chez JohnHardin, agent du gouvernement américain, pour lui demander desauver son ami. Pendant leur conversation Quannah, qui a suivi sa fille, entre et se figure que Hardin est l’homme qu’il cherche.
Hardin qui aime W etona, sans avoir jamais osé le lui dire, accepte de l’épouser pour la sauver de la colèrede son père. Lescirconstances ultérieures montrent que l’inconnu est Anthony Wells, un in-structeur militaire, et Quannah se met à sa poursuite Entretemps Wetona qui a revu Wells s’est rendu compte qu’il ne l’aimait pas vraiment et donne définitivement son cœur à Hardin, après avoir obtenu le pardon de son père.
Ce scénario,
tures, nous la voyons comme femme du monde, comme aventurière ou comme simple boniche; tantôt,elle est une bourgeoise paisible, ou une jolie artiste qui a su garder sa vertu, malgré les embûche, du monde; tantôt, comme dans la présente production, elle triomphe dans le genre a Far-West ».
Amour de Métisse nous montre en effet Wetona, fille de Quannah, chef d’une tribu d’indiens comanches, et désignée comme vestale pour faire l’offrande au Grand Esprit à l’occasion de la danse des blés.un ancien rite de la tribu. Mais au dernier moment elle s’y refuse, se disant indigne de cette mission et avoue à son père qu’une jeune fille qui a comme elle un amour terrestre au cœur, n’est
pas digne de l’honneur d’être prêtresse. Le père est terrifié de cette réponse et cherche à savoir quel est l’homme qui a pris le cœur de sa fille.
Wetona avait eu une mère de race blanche et, selon le désir manifesté par celle-ci à son lit de mort, Wetona a été élevé dans un couvent dans
une ville du Nord. Elle avoue à son père que son ami était un blanc, mais elle ne veut pas lui en dire le nom.
forcément trop condensé, ne dit pas le dixième des attachantes aventures qui se déroulent au long de la projection de la bande. Mais, ce dont on ne peut se faire quelque idée à la vue des photos illustrant nos pages, c’est de la beauté des décors naturels, des merveilleux jeux de lumière, des admirables clairs-obscurs auquel donnent lieu les scènes d'Amour de Métisse. L’interprétation est des meilleures; d’ailleurs, les noms des deux vedettes fêtées du public, Mei-g-han et Talmadge, peuvent-ils être autre chose qu’un gage de succès et de bonne réussite?
La vision de ce film fut pour nous une fête des yeux, comme elle le sera pour tous ceux qui assisteront à sa projection sur l’écran.
Emka.
Faire de la publicité dans CINÉ-REVUE c’est, tout en soutenant un journal utile, faire un bon placement, une bonne affaire.
C’est un fait qu’Emile Zola, il y a deux ou trois ans, ne « se vendait » plus guère. Ses tomes épais, rangés en bataillon serré, ne quittaient plus que rarement les rayons du libraire ou la caisse du bouquiniste. Non que l’on trouvât moins de génie au créateur puissant des Rou-gon-Macquart.Mais le public semblait las de ces œuvres gigantesques, de cinq cents pages chacune, et dont la lecture exige des loisirs, ou simplement une patience qui ne paraissent plus en rapport avec notre vie affairée.
Mais c’est un fait, aussi, consultez votre libraire, que depuis quelque temps, l’aù-teur de l’Assommoir jouit d’une faveur nouvelle, qui va sans cesse grandissante.
On réimprime ses ouvrages à des prix, d’ailleurs, plus élevés. Et certains sont demandés avec une telle insistance, que l’éditeur ne peut suffire à toutes les commandes.
A quoi tient ce revirement?... Les goûts du lecteur ont-ils changé? Re-tourne-t-il aux longues lectures? Prise-t-il à nouveau le réalisme brutal de tels livres comme la Terre, comme JVana, comme Pot-Bouille?
Nous croyons plutôt que ta nouvelle gloire d’Emile Zola est due aux metteurs en scène qui adaptent son œuvre à l’écran, sous ses aspects les plus divers, et qui, faisant aimer les films extraits de ses livres, font aimer ses livres par surcroît?
Nous eûmes d’abord Germinal, cette évocation magistrale du prolétariat des mines, puis Travail, l’évangile des forces productrices, puis Pour une nuit d’amour, l’une des plus belles pages du maitre, puis Le Rêve, dont Baroncelli réalise à l’écran l’atmosphère très pure, et.
enfin, l’Assommoir, le drame de l’alcoolisme, que le bon scénariste de Marsan restitue dans toute son horreur. On voit que l’œuvre de Zola est mise en coupe réglée depuis que les metteurs en scène s’inspirent, pour leurs scénarios, de la littérature romanesque.
Ces diverses adaptations ont prouvé combien Zola plaît à l’âme populaire, par le moyen d’intrigues très simples, mais frappantes et concentrées, par les milieux sociaux qu’il évoque tour à tour et où circulent les types les plus représentatifs de la société d’hier, — et d’aujourd’hui.
C’est que le roman de Zola est, avant tout, un roman d’action. Ce n’est point, comme chez d’autres auteurs, la simple analyse psychologique, traînée péniblement au long de trois cents pages, et qui laisse dans une sorte de pénombre la personnalité « tangible » du héros. Les héros de Zola sont campés, pour ainsi dire, en chair et en os. Le décor, lui aussi, est brossé avec soin, avec un souci du détail qui n’a son pareil que dans Balzac. Enfin, l’action savamment combinée, soutient l’intérêt jusqu’à la fin, tandis qu’elle nous fait réfléchir à tel problème social que l’auteur nous propose. Il y a là t/>us les éléments d’un art qui s’adresse aux foules. Il est donc naturel que le cinéma, le langage nouveau le mieux fait pour la foule, exprime à sa manière, autrement puissante que le livre, les vérités enseignées par le grand écrivain, qui futaussi un apôtre.
Et quels trésors encore, pour le scénariste habile, et qui ose voir grand, quels trésors encore dans cette œuvre innombrable! Depuis
Emie Zola.
Maurice de Marson.
Thérèse Raquin, cette tragédie rapide, jusqu’aux fresques colossales de Rome, de Lourdes, de Paris, en passant par Nana, Pot-Bouille, l’Œuvre, la Terre, il y a là mille visions, mille tableaux, mille types qui vivront à l’écran, dans un avenir plus ou moins rapproché, d’une vie plus vraie encore que dans le livre. Songez, par exemple, aux toiles charmantes, tour à tour, et pathétiques que VŒu-vre a inspirées au peintre Balestrierie. Quel canevas merveilleux que l’histoire de Claude Lantier pour le scénariste qui voudrait évoquer la vie de l’artiste, dans le milieu de la bohème parisienne, avec toutes les affres de la création, toutes les rancœurs de la lutte contre l’incompréhension bourgeoise! Les phases du scénario ne sont-elles pas indiquées, d’avance, au cours des pages du livre? Ce sont là des prophéties faciles. Je gage qu’avant peu nous aurons, du grand romancier naturaliste, une édition complète à l’écran.
La gloire d’Emile Zola ne pourra qu’y gagner. Nous touchons ici, d’ailleurs, au rôle le plus beau du cinéma, qui est de rendre accessible,à la foulG, les œuvres de la pensée. Et ainsi se vérifie, une fois de plus, cette vérité déjà vielle, mais sur laquelle il faut revenir sans cesse, que le cinéma s’avère comme le meilleur instrument de diffusion intellectuelle et de moralisation des masses.
Fred.
Une amusante histoire
Une amusante histoire que nous conte Petronia, dans Eve:
C’était dans une de nos colonies, une île des Antilles qui fait partie, depuis des siècles,'de notre patrimoine national. Les descendants des premiers colons qui furent souvent des cadets de grande famille gardent, sans doute à cause- de cette ascendance aristocratique, le goût des manières raffinées et près d’eux, les hommes de couleur essaient de se former aussi à l’élégance. D’autant plus que la race noire à côté de ses qualités'indéniables, conserve ƒ besoin vaniteux et enfantin de se faire rema.r-1 quer en toutes choses. Parmi ses représentants, c’est à qui se montrera sous le jour le plus avantageux.
Donc, un noir écrivant à un ami, cherchait par quelle formule peu banale il finirait sa lettre. A ce moment-là, l’art du film jetait dans la colonie son plus vif éclat, et il ee désignait par un nom si mirobolant, si nouveau et interminable!
« Voilà mon affaire », pensa notre homme. Personne n’a encore dit çà. »
Alors, avant de signer, il burina cette phrase qui mérite de passer, en ce sens, à la notorité:
« Je reste, mon cher ami, votre cinématographe distingué. » Très authentique.
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posaient à notre admiration, quelques unes de celles qui ont compris l’importance de la toilette, en tant que « décors»: il sied, parmi ces artistes, de ne point oublié Gloria Swanson.
Les photos nous la mon trerft sur cette page, parée d’une robe de Lansin. Le jjojssage en est de dentelle de Venise, la jupe de velours noir. Puis, voici une.robe dessinée par Etel Chaffin, et constituée par du velours Sa-lomé broché, de couleur flamme; enfin, un costume «gosse», d’un pratique qui n’exclut pas l’élégance: c’est celui adopté par la jolie
S’il était de mode chez nous comme en Amérique et en France, d’organiser parmi le public des concours tendant à élire une reine de beauté parmi les vedettes de l’écran, ou, parmi les midinettes, ou tout bon-ment parmi l’élément îeminin, d’une contrée, d’une ville ou d’un quartier; si, comme on nous l’aprédit, l’élection d’une étoile, favorite de la majorité du public, devait avoir lieu; les suffrages du public belge, i raient, nombreux, à la délicieuse artiste que notre page reproduit en diverses attitudes.
Est ce parce que, dans
les rôles qu’elle créa, la brillante artiste des «Famous Players», fait montre d’un grand talent écranesque, d’une sentimentalité sincère, et charme le spectateur? Sans doute. Mais surtout, et c’est pour cela que Gloria Swanson, plait tant à nos élégantes amies qui voient en elle un modèle de chic et de distinction, — parce-que cette princesse de beauté, est reine par l’élégance et le goût.
Dans un précédent article, nous avons cité au hasard, parmi les centaines de vedettes qui s’imartiste dans une de ses dernières productions: « La marque du Mari ».
Nous aurions aimé présenter d’autres toilettes de Gloria Swanson, et particulièrement celles qui sont un desîéléments de richesse de la production: « les affaires d’Anatole ». Ce sera pour plus tard, ce film n’étant pas prêt d’être présenté. Disons à ce propos quelques particularités, concernant l’avis même de la jolie vedette, au sujet de c« t t, œuvre, dont la bande vient de sortir des ateliers d’Amérique. « Je suis triste que les prises de vue
aient cessé; nous raconte elle-même Gloria Swanson; en règle générale, vers la fin, les « pictures » commencent à devenir monotones; on a hâte d’en finir, après avoir recommencé tant de fois les mêmes scènes; mais tel ne fut point le cas pour la spirituelle production de M. De Mille. Jamais je ne me suis tant amusée qu’alors... »
Voilà donc une aimable artiste, qui sait rire, en travaillant. Pour qui sait combien durs sont parfois les moments passés dans la lumière crue des lampes aveuglantes, c’est là une crânerie qui n’est pas pour déplaire I
Emis.
ßes fßlorts vivent-ils?
Plus que jamais: poser la question n’est pas la résoudre.
Sans doute, il tiendra un temps (à Dieu plaise qu’il soit aussi éloigné que possible) où nous serons tous fixés d’irréfutable façon sur ce point: quand chacun de nous se sera, pour tout de bon « retiré dans sa terre » comme dit ce funèbre pince sans rire.
En attendant, comme la constitution saine des spectateurs de ciné, entretenue par la beauté des choses vues, et la bonne joie des comédies tissées d’humour, semble les mettre
encore à l’abri pour un temps, de la connaissance de l’an delà, divers metteurs en scène se sont ingénié à nourrir notre curiosité, par la création de productions où l’occultisme, le psychisme, voire la théosophie jouent le principal rôle.
Ces sciences sont à la mode, et le cinéma — miroir de la vie — s’en ressent.
Nous eûmes .tLabord une série de films aux titres suggestifs: Les Morts nous frôlent, belle production d’ailleurs, Les Morts ne parlent pas et la contremine de ce dernier: La parole du mort. Il y en eut d’autres, combien, je ne sais; et le public semblant prendre goût à ce genre, cela nous promet de nouvelles productions, inspirées par ce que nos spirites savent ( déjà., ou croient connaître de l’au-delà. Les histoires de dédoublement de la personnalité, de réincarnation, ne se comptent plus, et bientôt il n’y aura plus aucun loueur de films qui ne tiendra à honneur d’avoir dans ses collections, à côté des séries Cowboy, des comiques, ou des drames mondains, quelques bonnes histoires bien lugubres et fantaisistes, de quoi contenter notre goût d’émotions fortes et notre morbide curiosité.
, Mais ayant vu tout cela, le dilemme ne restera-t-il pas le même: oui ou non, les morts vivent-ils!
MARNIX.
Les Jolies Modes » présçnteim mensuellement des centaines de gracieux modèles des grands couturiers parisiens.
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Quand vous verrez affiché le mot
Entrez sans hésiter: vous êtes sûr de passer y. une bonne soirée
L’hiver nous est clément en ce début d’année. Mais le calendrier ne nous dit-il pas » que nous sommes en pleine saison de frimas? Et notre album de mode favori n’offre-t il pas .à" notre élégance curieuse, un choix délicieux de chauds manteaux alourdis de fourrure?
On ne peut résister a ces invites, et c’est parcequenous le savons, que Ciné-Revue vous offre encore ce jour.une des plus délicieuses séries de modèles de la saison: voici deux délicieux manteaux, confortables à
souhait, l’un fait de cacha-drap rouille rehaussé' de lourdes broderies multicolores; l’autre en drap soyeux, et doublé de taupe; les parements et le col se revêtent de même fourrure; l’ensemble est ravissant.
Puis, pour a recevoir », une très belle toilette de visite, rehaussée de belle guipure.
Voilà encore de quoi satisfaire nos coquettes! Voulez-vous plus encore: consultez la publication « Jolies Modes » de ce mois, dont ces figurines sont extraites.