Bron: FelixArchief nr. 1968#692
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j—~ — Programme 2 Speel wijzer -
Vendredi *| Q Samedi q/\ Dimanche f%+ Lundi t\€\ Jeudi ije septembre iq'iq Vrijdag ***- Zaterdag Zondag Maandag Donderdag September
1- Eclair-Journal
Actualités filmées
2- Un film comique
3- Chant d Amour
Comédie dramatique
Scénario de
1- Eclair-Nieuwsberichten.
Verfilmde aktualiteiten
2- Een komische film
3 Liefdezang
(La Païva)
Dramatisch filmspel Scenario van
Karl VOLMOELLER
Adapté à l’écran par Voor de rolprent bewerkt door
Sam TAYLOR
Directeurs artistiques: Kunstleiders:
W. CAMERON MENZIES & PARK FRENCH
Prise de vues: Opnamen:
Karl STRUSS & O. W. BITZER
DRAMATIS PERSONÆ:
Karl von Arnim William Boyd
Comtesse (Gravin) Diane des Granges Jetta Goudal
Nanon del Rayon Lupe Velez
Baron Kurtman .... George Fawcett
Baron Girod Albert Conti
Papa (Vader) Pierre .... Henry Armetta
Monsieur Dubrey Franklin Pangborn
CHANT D’AMOUR
En 1868, Karl von Arnim, secrétaire à 1’Ambassade de Prusse, est fiancé à la Comtesse Diane des Granges. Le jeune homme ne songe qu à son amour et aux moments heureux où il peut être avec la Comtesse. Une lettre de Diane trouble sa quiétude, une migraine empêche la jeune femme d'accompagner son fiancé au bal. Le Baron Hartman, l’Ambassadeur, devant la mine déconfite du jeune amoureux, lui conseille d’aller porter à la Comtesse le consentement du Roi à leur mariage, consentement qui vient d’arriver; certainement cette bonne nouvelle calmera le mal de tête! Karl se précipite. Malgré les gestes désespères du valet, le jeune homme se dirige vers le boudoir de Diane. La Comtesse n’est pas dans cette pièce, mais certains indices montrent clairement que celle-ci n’a pas passé sa soirée dans la solitude. Par un jeu de glace, Karl aperçoit en effet sa fiancée, dans sa chambre, se séparant tendrement d’un homme. Avant que Karl soit revenu de sa surprise, l’inconnu a disparu par une porte dérobée.
Le jeune secrétaire se précipite vers la Comtesse. Celle-ci est terrifiée, mais espère pouvoir donner le change à son fiancé. Karl refuse toute explication, et déclare qu’il épouserait plutôt une vulgaire femme des rues, qu’une femme ayant un amant. La Comtesse jure de se venger.
Le Baron Girod, intime de la noble dame, est chargé par elle de trouver une femme capable de la seconder dans son projet. Un soir, après de nombreuses et vaines recherches, le Baron est venu s installer au cabaret du « Chien qui Fume ». Ses yeux sont bientôt attirés vers une jolie brune, au visage angélique... C’est Nanon
del Rayon, la chanteuse du cabaret, la favorite des habitués, qu’elle charme par son entrain endiablé.
Le Baron Girod l’invite à souper et, pendant le repas, lui propose de quitter son milieu, pendant un certain temps, pour goûter à la grande vie, avoir des toilettes, des bijoux. Il s’agit simplement, par plaisanterie, de rendre un jeune homme du monde amoureux d’elle. Nanon se laisse tenter. Elle quitte Papa Pierre, le patron du « Chien qui Fume », ainsi que ses camarades, et part vers l’aventure.
La Comtesse donne un professeur de maintien à sa protégée. Celle-ci se plie difficilement aux exigences du monde, mais sa grâce et sa beauté trouvent là leur véritable cadre. Diane des Granges n a pas perdu de vue sa vengeance. Elle donne une réception à laquelle elle convie toute la noblesse et le corps diplomatique. Karl von Arnim ne peut se dispenser d accompagner l’Ambassadeur, mais malgré l’accueil aimable de la Comtesse, cette soirée est pour lui un véritable supplice.
L’attention des invités est bientôt attirée par les premiers accords d une jolie mélodie. Nanon commence à chanter. Karl, comme malgré lui, va s’accouder au piano et contemple la chanteuse: Il oublie sa rancœur et n'a plus d’yeux que pour la jeune fille. La Comtesse s’aperçoit du changement. Elle présente Nanon à ses invités, et, par un signe convenu, lui indique le jeune homme dont elle devra se faire aimer.
Les événements donnent satisfaction à Diane. Karl ne cache pas que Nanon lui plaît, mais la jeune fille se laisse prendre à son propre jeu et oublie qu'elle doit simplement tenir un rôle. Le Baron Girod,
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qui s’est pris de sympathie pour sa petite protégée, lui ouvre les yeux... il lui rappelle la différence sociale qui existe entre I le jeune homme et elle... elle ne doit pas oublier son passé; Karl, sachant la vérité, n’aurait plus que du mépris pour elle. Le jeune secrétaire a annoncé sa visite, Na-non le reçoit la mort dans l’âme. Karl fait l’aveu de son amour et lui demande de bien vouloir être sa femme. La jeune \ chanteuse éclate en sanglots, mais refuse
(sans vouloir donner d’explication. Karl la quitte en lui remettant une rose... Si Na-non lui envoie cette fleur, c’est qu elle consentira.
La Comtesse a entendu toute la conversation. Elle s’empare de la rose que Na-non a laissé échapper. Elle convainct la jeune fille que le bonheur est là, que le mensonge n’est rien, et sans laisser le ' temps d’une réponse, sonne pour faire remettre la fleur à Karl von Arnim. Nanon I ne demande qu’à coire... dans sa recon-j naissance, elle bénit la Comtesse qui lui I demande comme faveur de lui laisser of-? frir le dîner de mariage.
Karl et Nanon oublient ce qui n’est pas eux, mais la Comtesse pense toujours à sa vengeance. Le soir du mariage, elle annonce une surprise à ses invités, et leur offre un concert. La mariée reconnaît avec terreur les musiciens: ce sont ses anciens camarades du «Chien qui Fume». Papa Pierre, de son côté, reconnaît sa petite chanteuse, mais prévient ses compagnons pour qu’ils ne commettent pas d’impair. Aimablement, la Comtesse prie Nanon de chanter sa romance favorite. Celle-ci, accablée, ne peut refuser, mais bientôt, les nerfs à bout, elle éclate en sanglots et tombe dans les bras de Papa Pierre. Karl se précipite et demande une explication. Nanon lui apprend qu elle a chanté autrefois au Cabaret du « Chien qui Fume ». Devant la consternation du jeune secrétaire d’Ambassade, la Comtesse éclate d’un rire ironique et lui dévoile son plan de vengeance. La petite chanteuse se révolte devant une telle hypocrisie, elle apprend à tous les invités le rôle tenu par la noble dame, et après avoir crié son amour à son mari, elle lui rend sa liberté et s’enfuit.
Au Cabaret, la petite chanteuse a retrouvé les anciens habitués, mais son entrain n’existe plus... elle est maintenant comme un corps sans âme. Lorsqu’elle chante la romance que Karl aimait tant, elle voit partout l image de son mari, c est à lui seul qu elle pense. Un soir, cette hallucination prend corps, devant elle Nanon aperçoit le jeune homme qui n’a pu l’oublier, et qui, malgré les préjugés, vient rechercher celle qu’il trouve digne d’être sa femme.
LIEFDEZANG
Karl von Arnim, secretaris aan het Pruisisch gezantschap, in 1868, was verloofd met Gravin Diane des Granges. Op zekeren dag moet hij, gansch onverwachts, ervaren dat deze laatste hem bedriegt. Hij weigert naar welke uitlegging ook te luisteren en vertrekt. — De Gravin zweert zich te zullen wreken. Baron Girod, die bij de intiemen der edele dame behoort, krijgt opdracht van de Gravin een vrouw te vinden, die haar boos opzet kan ten uitvoer brengen. Na veel nutteloos zoeken leert de Baron, in het kabaret «De Rookende Hond» Nanon del Rayon kennen, de zangster van het lokaal.
Hij noodigt ze uit en stelt ze voor, tijdelijk dit bestaan te verlaten om een rijk leven te leiden, toiletten en juweelen te krijgen. Het komt er slechts op aan een jonge man verliefd te maken.
Nanon laat zich overreden en wil het avontuur wagen. De Gravin laat het meisje opvoeden, volgens de regels van haar nieuwen stand, maar vergeet haar wraakplannen niet.
Zij richt een avondfeest in, waarop zij de adel en het diplomatisch korps uitnoo-digt. Voor Karl von Arnim, verplicht de gezant te vergezellen, is dezen avond een ware marteling.
Maar wanneer Nanon, met haar fluwee-lige stem, een zoete melodie zingt, wordt al zijn aandacht op het meisje gevestigd.
Wanneer de Gravin ze aan haar genoo-digden voorstelt, doet zij haar teeken, welke jonge man op haar moet verliefd worden.
De gebeurtenissen geven Diana gelijk. Karl verbergt niet dat Nanon hem bevalt. Maar het jonge meisje laat zich vangen door haar eigen spel en vergeet dat zij yj
slechts « een rol vertolkt ». Baron Girod, die sympathie voor haar opvatte, opent haar de oogen en toont ze aan, welke sociale afgrond beide scheidt. Zij begrijpt. Wanneer Karl haar zijn liefde bekent, barst zij in snikken los, zonder nochtans de reden van haar smart te verklaren. Karei vertrekt en geeft ze een roos... Zoo zij ze hem zendt, is het een teeken dat zij zal toestemmen.
De Gravin heeft het gesprek afgeluisterd. Zij neemt de roos en geeft bevel, dat men ze Karl von Arnim drage en overtuigt het meisje, dat zij het geluk moet grijpen. Zij zelf zal het huwelijksfeest-maal aanbieden.
En terwijl Karl en Nanon de gansche wereld vergeten, denkt de Gravin aan haar wraak.
D'en avond van het huwelijk, kondigt zij een verrassing aan: een concert. En met ontzetting herkent Nanon in de muzikanten haar oude kameraden van « Den Rookenden Hond ».
Wel tracht zij haar zenuwen te bedwingen en zingt zij haar geliefkoosde romance. Tot zij, te zeer door de ontroering vastgegrepen, neerstort in de armen van Vader Pierre. Karl snelt naar haar toe en vraagt een uitlegging. En zij bekent hem dat zij eens zangster was in de taveerne van Vader Pierre.
Met cynischen lach verklaart de Gravin alsdan haar boos opzet. Maar Nanon zal dan aan al de genoodigden de schandige rol openbaren der « edele dame » om, na haar groote liefde voor haar man uitgeschreeuwd te hebben, hem zijn vrijheid weergevende, weg te vluchten, terug naar de « Rookende Hond ».
Maar zij is er nog slechts een lichaam, zonder ziel. Tot Karl, op zekeren dag, in de taveerne verschijnt en, alle vooroor-deelen ten spijt, zijn vrouwtje meevoert, naar hun beider huis.
GLOBE
Le Globe est une boisson rafraîchissante d’une pureté et d’une finesse incomparables.
Son goût exquis, son parfum suave et sa délicieuse fraîcheur, lui ont valu son surnom —
L'AME DU CITRON
CcDSûyEDîSHHHEIS = LONDON
LUPE VELEZ
Tot een reporter liet de Mexicaansche filmstar Lupe Velez zich vol vreugde uit over Amerika.
Of ik van dit land houd? Zeker! Ik houd van de Vereenigde Staten: ik ben er vrij. Ik kan er doen, waar ik plezier in heb. In Mexico is een meisje steeds vergezeld van haar moeder of tante of «duen-na». Want als zij alleen uitgaat, dan worden de hoofden bijeengestoken en spreekt men er schande over en zegt men: dat meisje deugt niet... Maar hier... hier zijn geen duenna’s, hier kan ik de straat cp-gaan, moederziel alleen en men zal het gewoon vinden. In Miexico werd ik steeds bewaakt, want de Mexicaansche jongemannen kunnen rare sprongen maken
maar ik houd er niet van bewaakt te worden, ik kan wel voor mij zelf zorgen. En nu zorg ik voor mijzelf, zonder hulp van vader of moeder, broeder of duenna.
Hier kan ik rooken. In Mexico rooken de meisjes niet... alleen de cabaret-girls. E,n weet u van wie ik leerde rooken? Van ... mijn grootmoeder. Die wist hoe zij mij moest opvoeden tot een meisje-van-dezen-tijd. Op een avond zeide zij: « Lupe, van avond komt ge bij mij... dan rooken en praten we wat tezamen. » Vaak zat ik tot twee, drie uur in den morgen met haar te praten, over alles, over groote en over kleine dingen. Zij had veel levenservaring en kon mij daardoor vaak helpen als ik in moeilijkheden zat.
Toch rook ik niet meer zooals vroeger. Ik geloof, dat ik het toen ook buitengewoon overdreven heb... omdat ik het interessant vond, dat een meisje van mijn leeftijd al rookte. Nu rook ik gemiddeld twee sigaretten per dag. Dat is meer dan genoeg, want ik houd veel van zingen en
kan dat alleen, wanneer ik niet te veel gerookt heb.
Wanneer ik met moeder op visite ging, dan moest ik mij steeds op den achtergrond houden. Wanneer er heeren in het gezelschap waren, mocht ik ze niet aanspreken en als zij tegen mij lachten, zelfs zonder de minste bedoeling, dan toch moest ik mijn oogen zedig neerslaan. Ik geloof, dat door deze ouderwetsche toestanden, door deze conventie, het Mexicaansche meisje er niet op vooruitgegaan is. Men heeft van haar iemand gemaakt, die vaak leugentjes verzint en « smoest », om zelf ook eens buiten de knellende banden van vader, moeder of duenna een pretje te hebben. Als meisje moogt ge in Mexico niet lachen en praten en zeggen wat ge meent. Ge zegt maar steeds: « Si senor »... dat is al meer dan genoeg, vindt « men ». Maar hier, in de Vereenigde Staten...
Hier ben ik vrij. Hier kan ik praten, lachen, vrienden maken. Dte heeren praten met de dames als vrienden. Zij zijn geen vreemden van elkaar, het meisje beschouwt hier den jongen niet als haar natuurlijke vijand. Wat is dat alles heerlijk. De jongens staan hier in rijen, wanneer er een aardig meisje te zien is. Ze spreken er elkaar over aan, zij wijzen elkaar den weg, om het schoone dametje te zien... Wat steekt daar voor slechts achter? In Miexico zou men dat alles heel verkeerd vinden. Mhar ik weet nu, dat zij daar ongelijk hebben. Een meisje is ook een mensch, wie niets menschelijks vreemd is...
Hier kan ik naar een dancing gaan en er blijven zoolang ik wil. Maar in Mexico zei mijn moeder, wanneer het tegen tienen
liep:
« Lupe, wij moeten naar huis, want ge weet: vader wil vroeg naar bed ». Is dat niet belachelijk. Vader is daar de baas, als vader om negen uur naar bed gaat, dan moet het heele huishouden om negen uur naar bed. Lodewijk de Veertiende zei: « De staat ben ik », maar de Mexi-caansche vader: « De familie ben ik ».
Ik ga altijd met mijn broer uit, die iets jonger is dan ik. Ik houd veel van hem. « Mten » denkt altijd, dat wij verloofden zijn. Mij best. Ik heb veel plezier met hem en een « verloofde » zou niet zoo goed en lief voor mij kunnen zijn als hij. Soms, wanneer wij in een cabaret zijn vraagt hij hardop, zoodat ieder het hooren kan: « Lupe, geef mij een sigaret ».
Dht doet hij om een man, een kerel te lijken...
In Miexico is het een hel om getrouwd te zijn voor een zelfstandig-willende vrouw. Want de man kan alles doen wat hij wil, de vrouw heeft niet te willen. Hij kan naar Dancings gaan en er zoo lang blijven als hij wil, zijn vrouw moet thuis blijven en... zwijgen. Want al wat zij zegt als verwijt is te veel gezegd...
Wanneer de vrouw uitgaat en laat thuis komt is « de heer der schepping » uiterst vertoornd en moet hij dadelijk weten, waar zij geweest is. Want wat is hij steeds kwaaddenkend. En als zij het verteld heeft, gelooft hij het niet en maakt ruzie. En iedereen geeft hem gelijk...
O zeker, meisjes onderling mogen met elkaar omgaan. Zij vormen partijtjes, komen op de tea. Mbar zegt u eens eerlijk: Wat is er voor aardigheid aan? Want u weet natuurlijk waarover het gesprek gaat, over allerhande futiliteiten, mooie japonnen, aardige hoedjes... Thuis vertelt ge, dat ge naar zoo n tea gaat. Maar dat doet ge natuurlijk niet, want ge belt uw
vriend op en spreekt met hem af. En als dat klaar is belt ge uw vriendin op, waar ge eigenlijk moet tea-en en zegt:
« Wanneer moeder opbelt en vraagt: « Fannie, is Lupe hier? », dan zegt ge natuurlijk: »Ja, mevrouw », en als ze me dan aan den hoorn wil hebben, dan moet ge de verbinding verbreken... »
Zoo, ziet u... leugens, leugens, leugens. Toen ik voor het eerst in Hollywood verscheen, was het als danseres in The Miusic Box Revue. Mijn moeder en broers en zusters hadden mij in den steek gelaten en waren niet mee gegaan. Ik was bang na afloop der voorstellingen alleen over straat te gaan, omdat ik steeds aan Miexico dacht. Maar er was een vriend, die mij steeds thuis bracht.
In de revue was Fannie Brice de «ster». Wat was zij lief tegen mij. Zij nam mij steeds bij de hand en leidde mij naar het tooneel voor het publiek, en zei:
« Hier ziet u Lupe Velez, zij is een beginnelinge, maar heeft een mooie toekomst ». En dan werd er geapplaudisseerd. Zoo hielp zij mij over de plankenkoorts heen.
Op het oogenblik is alles even mooi. Ik heb een prachtig contract bij United Artists. Ik draag mooie kleeren. Ik kan dansen, zooveel ik wil en zingen en vrij ademhalen. Iederçn dag kan ik Norma Talmad-ge zien en David Wark Griffith en Miss Swanson. Ik zeg tegen hen: « Hello », en zij antwoorden eveneens « Hello ».
Ik heb een eigen auto en een neger, Narcissus, die mij rijdt. Wanneer ik hem wil verschrikken, dan zet ik groote oogen op en zeg: « Gij leelijke, slechte Narcissus, wat hebt gij nu weer gedaan? » En dan kruipt hij in elkaar. Vreemd, want ik ben toch een klein meisje en eerlijk gezegd, niet veel waard al noemt men mij hier ook het » katje van het witte doek ».
RESERVE
VOORBEHOUDEN
AAN
DE MEULENAERE
Soms rijd ik wel eens alleen uit... 30, 40, 50 K. M'. in het uur. Vaak verschijnt er een agent midden op den weg en moet ik stoppen.
« Weet u wel, hoe hard u rijdt? »
Maar ik kijk den man dan erg droevig en terneergeslagen aan.
« Ik wist niet, dat het zoo hard ging », antwoord ik dan, « ik wist het werkelijk niet ».
E,n de agent:
« Voor ditmaal zal ik u nog laten rijden, maar een volgende maal... »
Langzaam rijd ik weg, tot hij uit het gezicht is, dan schakel ik de versnellingen over en gaat het er weer op los. Want ik vind het zoo heerlijk!
Ja, ik houd van de Vereenigde Staten... Hier ben ik vrij, hier kan ik dansen, springen, zingen, autorijden, hier kan ik alles doen wat mijn hart begeert.
Leve de Vereenigde Staten van Noord-Amerika!
’’CHANT D’AMOU V’ et la Presse Anglaise
Sunday Pictorial:
« 11 est vraiment réconfortant de retrouver dans a Chant d’Amour » le véritable, le grand D. W. Griffith. Avec quatre excellents artistes, tels que Lupe Velez, William Boyd, Jetty Goudal et George Lawcett, D. W. Griffith a produit en images son scénario de façon charmante. Ce qu'il y a de délicat et de direct dans son récit dramatique, élèvent ce film à un haut degré d’émotion. « Chant d’Amour » montre que Griffith est de nouveau complètement maître de son art, et ce n’est pas là un événement de mince importance dans l’histoire de l’art cinématographique. »
Bioscope:
« C'est une production pittoresque et bien jouée. Le scénario est intéressant et la réalisation de réelle qualité. Lupe Velez est jolie charmante dans son rôle de la Païva et porte les costumes de l'époque avec grâce et distinction. Jetta Goudal est excellente et William Boyd, George Lawcett et Albert Conti méritent des éloges. Les décors sont tout-à-fait réussis, et les costumes et l’atmosphère Second-Empire en font un film plein de couleur. »
Caily Chronicle:
« Chant d’Amour » est un film particulièrement intéressant du fait que la force de cette production montre que D. W. Griffith a pleinement retrouvé ses capacités directoriales de naguère. Tous ceux qui aiment une histoire vivante et pleine d’émotion doivent voir uChant d’Amour».
The Imperial:
« D. W. Griffith n'a jamais réalisé un film plus beau que celui-ci. Ce n’est pas un sujet épique comme certaines de ses oeuvres antérieures, mais une histoire d’amour très humaine, réalisée avec beaucoup de magnificence et interprétée par une impeccable distribution. Lupe Velez ect délicieuse à voir dans son rôle de la Païva. Jetta Goudal, très jolie elle aussi, joue le sien avec un égal talent. Il y a d’intéressantes et pittoresques scènes à la cour de Nappléon III, sur un yacht et dans un cabaret parisien. Quant aux décors ils sont d’une grande beauté. En résumé, k Chant d’Amour» constitue un spectacle de choix, convenant particulièrement aux salles fréquentées par un public choisi. D. W. Griffith effectue avec ce film une « rentrée » sensationnelle.
RESERVE
VOORBEHOUDEN
AAN
DE MEULENAERE
Soms rijd ik wel eens alleen uit... 30, 40, 50 K. M. in het uur. Vaak verschijnt er een agent midden op den weg en moet ik stoppen.
« Weet u wel, hoe hard u rijdt? »
Maar ik kijk den man dan erg droevig en terneergeslagen aan.
Ik wist niet, dat het zoo hard ging », antwoord ik dan, « ik wist het werkelijk niet ».
E,n de agent:
« Voor ditmaal zal ik u nog laten rijden, maar een volgende maal... »
Langzaam rijd ik weg, tot hij uit het gezicht is, dan schakel ik de versnellingen over en gaat het er weer op los. Want ik vind het zoo heerlijk!
Ja, ik houd van de Vereenigde Staten... Hier ben ik vrij, hier kan ik dansen, springen, zingen, autorijden, hier kan ik alles doen wat mijn hart begeert.
Leve de Vereenigde Staten van Noord-Amerika!
’’CHANT D’AMOU V” et la Presse Anglaise
Sunday Pictorial:
« 11 est vraiment réconfortant de retrouver dans « Chant d’Amour » le véritable, le grand D. W. Griffith. Avec quatre excellents artistes, tels que Lupe Velez, William Boyd, Jetty Goudal et George Fawcett, D. W. Griffith a produit en images son scénario de façon charmante. Ce qu’il y a de délicat et de direct dans son récit dramatique, élèvent ce film à un haut degré d’émotion. « Chant d’Amour » montre que Griffith est de nouveau complètement maître de son art, et ce n’est pas là un événement de mince importance dans l’histoire de l’art cinématographique. )
Bioscope:
« C’est une production pittoresque et bien jouée. Le scénario est intéressant et la réalisation de réelle qualité. Lupe Velez est jolie charmante dans son rôle de la Païva et porte les costumes de l’époque avec grâce et distinction. Jetta Goudal est excellente et William Boyd, George Fawcett et Albert Conti méritent des éloges. Les décors sont tout-à-fait réussis, et les costumes et l'atmosphère Second-Empire en font un film plein de couleur. »
Daily Chronicle:
The Imperial:
« D1. W. Griffith n’a jamais réalisé un film plus beau que celui-ci. Ce n’est pas un sujet épique comme certaines de ses œuvres antérieures, mais une histoire d’amour très humaine, réalisée avec beaucoup de magnificence et interprétée par une impeccable distribution. Lupe Velez est délicieuse à voir dans son rôle de la Païva. Jetta Goudal, très jolie elle aussi, joue le sien avec un égal talent. Il y a d’intéressantes et pittoresques scènes à la cour de Nappléon III, sur un yacht et dans un cabaret parisien. Quant aux décors ils sont d’une grande beauté. En résumé, u Chant d’Amour» constitue un spectacle de choix, convenant particulièrement aux salles fréquentées par un public choisi. D. W. Griffith effectue avec ce film une « rentrée » sensationnelle.
.—PROCHAINEMENT
EERSTDAAGS S
UN AMANT
SOUS LA
TERREUR
EEN MI.NNAAR
ONDER HET
SCHRIKBEWIND
d'après la pièce
SOPHUS
Mise en scène
naar het tooneelstuk
van
MICHAELIS
Insceneering
van
A. W. SANDBERG
La pièce qui a fourni le scénario est d’un auteur des plus réputés d’Allemagne et a connu le plus grand succès sur les principales scènes de la langue allemande, mais a été traduite et jouée hors de ce pays. Le scénariste Norbert Falk, est certainement le plus Connu, un des meilleurs scénaristes allemands de même que son collaborateur Liebmann. Quant à l’interprétation, qui ne connaît les noms si souvent applaudis de ces grands
artistes qui nous ont si souvent émus ou charmés: Costa Eckmann, un des plus beaux, des plus émouvants et des plus profonds artistes suédois; la belle et séduisante Diomira Jacobini; la charmante et gracieuse Karina Bell; Fritz Kortner, puissant et émouvant de force et de sobriété; Walter Rilla, jeune premier, qui, dans ce film, nous apparaît sous un emploi différent.
La réalisation est signée du grand met-
Interprètes: Vertolkers!:
DIOMIRA JACOBIN! KARINA BELL GOSTA ECKMANN FRITZ KORNER WALTER RILLA
teur en scène A. W. Sandberg et est en tous points marquée d’un goût, d’une sûreté et d’une grandeur qui font de « UN
AMANT SOUS LA TERREUR », un film
de haute classe et impeccable de tenue.
A. W. Sandberg a traité les passages de la Terreur qu’il évoque avec une fidélité et un respect qui emeuvent. L’action est menée dans une note d’une délicatesse et d’un grandiose qui attachent le spectateur par l’intensité vraiment prodigieuse des sentiments et la façon magistrale dont ils
cent exprimés par les grands artistes qui les vivent.
Un film de haute tenue, d une impeccable réalisation, d’une interprétation de tout premier ordre et surtout un film qui émeut, qui grandit l’âme des spectateurs, qui les élève aux plus hauts sommets de la grandeur humaine, telles sont les caractéristiques de « UN AMANT SOUS LA TERREUR », qui a fait partout une carrière exceptionnelle et qui sera un des plus beaux films qui aient été offerts au cours de cette saison.
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De aankleeding van een film
Zijde en satijn, camera’s en film, schoonheid en emotie zijn de meest gewilde zaken in Hollywood. De camera’s en film zijn natuurlijk noodig voor het fotografeeren van de stars, de zijde en het satijn trachten de schoonheid nog meer luister bij te zetten.
Vele duizenden meters kostbare stoffen worden jaarlijks in de filmkolonie gebruikt. In Paramount’s Hollywoodsche studio’s heeft men uitgerekend, dat het jaarlijksche kwantum de 15.000 meter nog overschrijdt.
Chiffon, fluweel, satijn, crêpe, goud- en zilverweefsel en wollen en katoenen stoffen, vormen de voornaamste benoodigd-heden voor de costuumafdeeling.
De behangerij gebruikt meest damast, fluweel, vitragestoffen en artikelen als geweven randen en dergelijke. Honderden meter mousseline worden aangewend voor muurschilderijen, terwijl voor geschilderde achterdoeken op groote schaal van zwaar linnen gebruik gemaakt wordt.
Een gedetailleerde lijst toont aan, dat alleen in de Paramount studio’s het jaarlijksche verbruik van geweven stoffen ongeveer het volgende bedraagt: 500 meter fluweel, 1000 meter chiffon, 800 meter satijn, 500 meter goud- en zilverweefsel, 1000 meter kant, 2000 meter katoenen stoffen. Deze cijfers werden opgemaakt door Frank Richardson, chef van de af-deeling costumes.
Jacob Pretz, chef van de behangerij, gaf de volgende cijfers voor zijn afdee-ling: 2700 meter damast en brocaat, 2500 meter velours, 2500 meter voeringstoffen en 800 meter mousseline.
Beiden legden den nadruk op het feit, dat het komende productiejaar dezer cijfers heel goed radicaal kan wijzigen. Het textielverbruik varieert natuurlijk met het productierooster van de maatschappij. Sommige films hebben slechts n klein aantal rollen en vereischen de medewerking van honderden spelers en een groot aantal uitgebreide tooneelen. Zoo had men bijvoorbeeld nog onlangs 700 figuranten noodig in een tijd, waarin de sleepjapon in hoog aanzien stond; het valt licht te begrijpen, dat voor een zoo groot aantal spelers ook een geweldige hoeveelheid stof noodig was.
Alleen voor de costuums van de vrouwelijke figuren waren de volgende hoeveelheden stof noodig; 100 meter fluweel, 300 meter chiffon, 200 meter satijn, 100 meter goudweefsel, 25 meter kant, 50 meter wollen stoffen, 500 meter satinet en 600 meter ratiné. Een groot kwantum bont, waaronder de fijnste kwaliteit hermelijn, werd ook nog gebruikt.
De voorraad behangersstoffen, die voor deze film aangewend werd, was eveneens zeer aanzienlijk. Vijf-en-vijftig grootsch opgezette tooneelen, waaronder de troonzaal van Lodewijk XI en het interieur van de Notre-Dame, moesten worden bekleed. Aangezien de film een 100 pet. Technicolor productie wordt, is een buitengewone zorg besteed aan het kiezen van de rijkste kleuren voor deze decora-tiestoffen. Natuurlijk werden voor deze diverse achterdoeken en muurschilderingen weer verscheidene duizenden meters linnen beschilderd.
Een staf van acht personen, was meer dan drie weken bezig met het preparee-ren van de decoraties, terwijl in de costuumafdeeling door ruim honderd coupeuses en naaisters gewerkt werd, om alle costuums op tijd gereed te krijgen.
L'enseignement par
Jk près le phonographe, le cinéma va! faire son entrée au Conservatoire de
D’après le quotidien 1 « Intransigeant », Ml. Georges Wagne emploiera désormais pour ses cours de mimographie plastique, le cinéma ralenti ou accéléré.
— Je crois avoir trouvé une méthode d’enseignement nouvelle, estime Ml. Georges Wagne. J’ai remarqué que beaucoup d’élèves, après avoir suivi les cours du Conservatoire assez longtemps, en sont encore à commettre les fautes les plus élémentaires. Souvent, cependant, ils ont saisi la démonstration que je leur ai faite. Mais il ne suffit pas que l’élève ait compris, il faut qu il se souvienne et que l’expression et le mouvement appris soient exécutés ainsi qu’un réflexe, sans effort de pensée. On n’arrive à ce résultat qu’avec beaucoup de travail, par suite beaucoup de temps dépensé.
» Vous devez comprendre qu’il m est impossible de répéter les mêmes choses à l’infini. C’est pourquoi j’ai cherché une méthode permettant une étude simplifiée pour l’élève et un cours plus facile pour le professeur.
» J’ai choisi le cinéma comme collaborateur.
» M1. Rabaud, à qui j’ai soumis ce projet, l'a accueilli avec beaucoup de sympathie. Et, l’année prochaine, le cinéma sera devenu professeur de plastique, comme le disque est déjà professeur de chant. Après les cours, nous tournerons des bouts d’essai pour chaque élève; celui-ci pourra se regarder à loisir et juger lui-même ses qualités, ce qui est bon, mais surtout ses défauts, ce qui est meilleur.
» Après, nous projetterons les expressions des grands artistes de théâtre et de
le film et le disque
cinéma. Nous irons du simple au composé, suivant la meilleure formule pédagogique possible. Le ralenti comme 1 accéléré sera aussi d'une grande utilité. Comme vous le voyez, le cinéma sera un professeur parfait, sans impatience, se prêtant merveilleusement à l’étude de toutes les formes de l’art si difficile, qu’est la mimique.
» Si difficile, insiste le grand artiste. Si vous saviez la différence infime et cependant énorme qu’il y a entre une expression et une grimace! »
Voilà un grand progrès qui facilitera la tâche des élèves et celle, si ingrate, du professeur.
N’est-ce pas un très bon exemple à suivre par le Conservatoire royal flamand de notre ville. 11 faut être à la page et rechercher les moyens les plus efficaces. N’arriverions pas les derniers!
Les films sonores et la médecine
Deux films parlants éducateurs sur des sujets de médecine, furent montrés récemment aux 4.000 délégués de l’Association médicale américaine, qui s’étaient réunis à étroit dans le plus grand hall de la ville.
En réponse à un questionnaire posé à chaque délégué, 95 p.c. votèrent en faveur du parlant comme moyen d’éducation.
Une motion fut également passée par la convention, autorisant le président un comité pour étudier la valeur des films sonores comme adjuvant à l’enseignement de la médecine et pour constituer un jury chargé d’approuver ou de rejeter le film sonore appliqué à cet art.
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La palette des couleurs
Un photographe américain s’est amusé à construire une véritable palette i des couleurs en prenant quelquesunes des plus grandes vedettes américaines en manière d inspiration.
L’idée était charmante... et nouvelle. (On a tant comparé les femmes et les fleurs, qu’il fallait bien un renouvellement) .
Voici donc cette palette psychologique et irradiante, puisqu’elles n est composée que d'étoiles.
Le blanc: Mary Pickford. La lumière ne peut être peinte sans le blanc, et, par cela même, aucune autre couleur ne peut prendre sa place.
Le jaune citron: C’est Ann Harding, et c’est, tout au haut de l’incendie, la pointe jaune, dansante, de la flamme. C est aussi la lumière pâle du soleil, en hiver.
L-e jaune de chrome: Couleur des gitanes, primitive, élémentaire. Voici Lupe Velez.
Le vermillon: Vibrante, dominatrice, pleine de dynamisme en sa teinte hardie, telle est Clara Bow.
Rose ardent: Estelle Taylor. Beauté riche, profonde, couleur fondue des roses et des rubis.
Le violet de cobalt: Tout près de la fragilité et à cause de cela d’une somptuosité précieuse. A la fois féminin et par son curieux mélange proche du sophisme; le violet de cobalt semble être la couleur représentative de Corinne Griffith.
Le bleu de cobalt: Il est clair, défini, du bleu poli des émaux, et c’est Billie Dove et tout son caractère.
Le vert pâle: Dans lui, il y a de la jeunesse; il est vert, pimpant et, parce qu’il est la couleur du printemps, Nancy Car-roll lui sourit.
Le bleu ciel: Il est souriant d’aspect et Vilma Banky est toute la perfection des cieux d’été sans nuages.
Le vert émeraude: Gai, vivant, hardi, sa couleur est mousseuse comme la personnalité de Marian Davies.
Le bleu outremer: Couleur des mers ensoleillés. Vigoureux direct, n’en doutez pas, c’est Mary Brian.
Pourpre: C’est le « coup de poing » de la couleur. C’est un peu de tous les rouges. Mais c’est aussi les dégradés des bleus transparents avec, toutefois, le pouvoir et la profondeur des tons foncés.
Gloria Swanson n’est-elle pas une synthèse de tout?
Le brun Van Dyck: Le ton des ombres de Rembrandt; il est à la fois profond, aigu, lointain et chaud comme Evelyn Brent.
Le noir d’ivoire: Il est impénétrable et sombre. Cependant, par quel miracle est-il capable des variations innombrables et nuancées de la beauté, vous le savez, vous qui l’incarnez, Greta Garbo...
Les sentiers de la civilisation
Une expédition cinématographique partira prochainement de Londres, pour se rendre au Cap, via le Caire, vallée du Nil, centre africain, et Zambèze. Les vues prises au cours de cette longue randonnée, serviront à monter plusieurs films, dont l’un, intitulé « Les Sentiers de la civilisation », retracera, depuis l’époque pharaonienne jusqu’à nos jours, les stades principaux du développement de l’humanité. A cette oeuvre maîtresse s’ajouteront quelques courtes pièces couleur locale, scène de sorcellerie, danses guerrières, etc.
ANEKDOTEN
To Shoot
Wanneer de Amerikanen filmopnamen maken, noemen zij dat « shoot » (schieten) . Het gebruiken van deze uitdrukking in een telegram, heeft Louis de Roche-mont, die de leiding heeft van verschillende opnamen in Britsch Indië voor Fox-Hearst, in groote ongelegenheid gebracht. Hij seinde nl. aan een van zijn ondergeschikten, James Seebach, den « sound-news cameraman » te Calcutta:
« Okay, proceed Simla, shoot Viceroy first opportunity ». (In orde, ga naar Simla en schiet onderkoning.) De Censor van Bombay, die in deze onrustige tijden alle telegrammen onder oogen krijgt aleer zij doorgeseind worden, kreeg direct den schrik om het hart, hij had een complot ontdekt, om den Onderkoning te vermoorden! Zes politieagenten haalden de Ro-chemont in het holle van den nacht in het Taj Mahal Hotel uit zijn bed, en brachten hem, in gezelschap van eenige van zijn medewerkers, die ook in dat hotel logeerden, naar het politiebureau, waar zij opgesloten werden. Toen zij door den chef van den veiligheidsdienst (C. I. D1.) wei' den ondervraagd, legde de Rochemont hem uit dat « shoot » bij cameramenschen een andere beteekenis heeft dan bij de politie en had er vrede mee dat het geïncrimineerde telegram werd herzien en redigeerde het aldus:
« Endeavor photograph His Excellency Lord Erwin ». (Tracht Z. E. Lord Irwin te fotografeeren).
Aldus eindigde voor Fox-Hearst deze « thriller ».
Filmacteurs en Spionnen
Ook filmacteurs hebben hun zorgen als ... staatshoofden. Zij, en de regisseurs nog meer, hebben doodelijke vijanden.
Die arme filmacteurs en regisseurs leven in de voortdurende vrees, dat hun trucs, costumes, ideeën, door concurrenten gecopieerd zullen worden. O'ok Douglas Fairbanks, die een uitgebreid archief houdt, waarin al zijn acrobatische «tricks» en technische hulpmiddelen, nauwkeurig aangeteekend, bewaard worden, maakt zich aanhoudend bezorgd dat insiders, als leden van zijn uitgebreid personeel ver momd, al te nieuwsgierig naar zijn, uit den aard der zaak, kostbare notities zijn.
Vooral wantrouwt hij huisknechten en kamermeisjes. Slechts één man vertrouwde hij ten volle, zijn Japanschen kamerdienaar Gato. Deze had den filmacteur eens medegedeeld, dat hij films als een uitvinding van den duivel beschouwde. Ten einde Gato op de proef te stellen, stuurde Douglas eens een « provocateur » op hem af. Tot geruststelling van Fairbanks mislukte deze opzet.
Uit Hollywood wordt echter gemeld, dat Gato, na een jaar trouwe plichtsvervulling, zich zeer tot zijn spijt genoodzaakt zag, afscheid van zijn baas te nemen. De Japansche Skotchikow Film-Cy, waarvan hij eerste regisseur was, had hem teruggeroepen, daar men niet langer zonder zijn leiding en adviezen wilde blijven. Verrijkt met tal van opgedane indrukken, trok Gato dan terug naar het land der Opgaande Zon.
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dat Gato, na een jaar trouwe plichtsver- j vulling, zich zeer tot zijn spijt genood- \ zaakt zag, afscheid van zijn baas te ne- jj men. De Japansche Skotchikow Film-Cy, 5
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DANS LE MONDE DU CINÉMA
Nouvelles de Lilian Gish.
Lilian Gish, qui avait abandonné la scène depuis 1913, époque où elle jouait un rôle d’enfant dans «Un bon petit Diable», avec Mary Pickford, au théâtre Belasco de New-York, vient d’y effectuer une rentrée très attendue dans le rôle d’Hélène de « L’Oncle Vanya », de Tchékoff. Son succès personnel a été considérable. Au même moment avait lieu, à San Francisco, la première de « One Romantic Night », le premier film parlant de Lilian Gish. Adaptée de la pièce de Ferenc Molnar, cette réalisation de Paul Stein a pour autres interprètes Marie D'ressler, Rod La Rocque, Conrad Nagel et O. P. Heggie. L’Industrie du film en Amérique.
Les principales banques du Wall Street viennent de dresser une statistique des sommes investies dans l’industrie du film américain.
Actuellement, on calcule que 2 milliards I 12.000.000 de dollars, son investis dans l’industrie du cinéma américain.
1.302.000. 000 de dollars reviennent à l'exploitation.
810.000. 000 de dollars reviennent à la production.
O'n constate une augmentation de 112 millions de dollars sur l’année dernière.
Le cinéma duns le monde.
Au cours de l’assemblée d'une compa gnie cinématographique anglaise, le président, M. John Mlaxwell, a déclaré que les films parlants avaient amené une grosse augmentation dans la clientèle des cinémas. Approximativement, 250.000.000 de personnes vont au cinéma chaque semaine dans le monde entier. En Angleterre, la comme dépensée dans les cinémas dépas-&—
se 80.000.000 de livres par an, aux Etats-Unis 400.000.000 de livres et, dans le monde entier, elle approche de 750.000.000 de livres. Oti évalue les dépenses totales entraînées par la production des films dans le monde à 35.000.000 de livres par an. La location des films en Angleterre n’est pas inférieure à 8.000.000 de livres par année. On ne constate aucun ralentissement dans le goût du public pour le cinéma, qui est presque devenu une partie fondamentale de la vie sociale de toutes les sections de la communauté. Il est facile aujourd'hui d’engager des troupes d’artistes français et allemands pour tourner des versions françaises et allemandes de films anglais, et l’Amérique n’est plus à même aujourd’hui de maintenir sa suprématie sur ce terrain.
Mary Pickford femme d'affaires.
Quelqu’un qui connaît bien M!ary Pickford nous la dépeint comme une femme d’affaires remarquable.
Nous n’avons pas à douter de la parole de cet homme bien renseigné, puisque c’est Douglas Fairbanks, son mari.
— Mary, dit-il, est d’une énergie qui ne cesse de m’étonner. Elle tourne et espère tourner longtemps encore, mais le cinéma ne suffit pas à son activité, elle dirige deux banques en Amérique, fait partie de plusieurs conseils d’administration, est membre des Chambres de commerce de Los Angeles et de Beverly Hills, s’occupe activement de nombreuses oeuvres de bienfaisance.
Pour conclure cette liste déjà imposante, Douglas Fairbanks ajoute, faisant allusion au sport qu’il aime par-dessus tout:
— Je souhaite qu’un jour elle devienne présidente d’un club de golf.
UIT FILMLAND
Leonce Perret, de gekende Fransche insceneerder, werkt aan zijn film « Arthur ».
4e Volgens een statistiek door het Ame-rikaansche vakblad « Exhibitors Herald-World » gepubliceerd, zijn er in de Ver-eenigde Staten 14.500 bioscopen. In dit getal zijn de allerkleinste buurtbioscoopjes niet begrepen.
Van deze 14.500 waren er op I Juli j.l. 10.234, 70 t.h. dus, van klankfilmappara-ten voorzien; 6769 theaters waren in het bezit van onafhankelijke ondernemers, terwijl 2252 den grooten filmproducenten toebehoorden, nl. 1013 aan Paramount, 601 aan Fox, 402 aan Warner Bros, 119 aan RKO, 1 17 aan Loew-Metro-Goldwyn.
4266 theaters waren op I Juli nog niet in het bezit van klank-apparaten, doch zullen op het einde van dit jaar « wired » zijn.
4* Op initiatief van de Romeinsche Centrale groep voor filmkultuur zijn te Rome een nationale filmschool en een officieele filmclub gesticht. Minister Bottai, minister voor corporaties, heeft het voorzitterschap van de filmschool op zich genomen. Alessandro Lesona, onder-staatssecretaris van koloniën, bekleedt het voorzitterschap van de Cine Club d’Italia.
Te Parijs is een nieuwe grootscheep-sche filmproductieonderneming opgericht, nl. de « Films Osso », een firma die van zich zal laten spreken.
4e De Hoogeschool te Madrid heeft beslist een leergang voor film-artisten in te richten. Een zeer ernstig onderzoek was voorafgaandelijk ingesteld door de leidende persoonlijkheden van het filmvak.
Richard Dix verlangt geen zware « cachetten ». Zijn aanstaande film moet hem slechts 4.000.000 fr. opbrengen.
4e D. W. Griffith werd verbonden door de Columbia Pictures.
4! Henny Porten’s eerste spreekfilm « Eva’s schande », behaalt een buitengewone bijval in Weenen.
4< Alessandro Blasetti gaat een nieuwe « Nero » draaien met Petrolini in de titelrol.
4< Jean Kemm gaat de zooveelste verfilming verwezenlijken van « De Poolsche Jood ».
4e Jean Angelo, Döljy Davis, Robert Noumet en Madeleine Gruthy zijn de hoofdvertolkers van « Het Laatste Wiegelied » naar een novelle van Pirandello. Righelli is er de insceneerder van.
4e Monty Banks is voor het oogenblik te Parijs.
4e Te Praag wordt de eerste Tzeksche klankfilm beëindigd: « Slavische Melodieën ». En ten onzent blijven al maar door de armen gekruist!
4e Een akkoord werd getroffen tusschen Duitsche en Fransche filmvakmenschen om wederzijdsche invoering der films te regelen.
4e Erich Pommer, de gekende Duitsche filmproducer heeft een nieuwe overeenkomst met Ufa afgesloten.
4e Antonio Moreno zal de hoofdvertolker zijn van den Spaanschen spreekfilm « The Bad Man ».
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